Pour la première fois cette année et bien que nous ne soyons pas en période de carnaval, la rentrée scolaire sera masquée
Va-t-on continuer à gérer la santé comme un secteur économique dont le seul credo est le profit ?
Comme dans beaucoup de domaines, l’intérêt du marché prime sur les besoins réels de la population, au point de parasiter le discours scientifique et celui des politiques afin qu’il satisfasse ses objectifs.
Va-t-on, ensuite, nous imposer le port permanent d’une moustiquaire pour lutter contre le moustique tigre qui progresse en France ?
Les médecins généralistes possèdent ce qui manque à nos décideurs ministériels qui n’ont sans doute pas approché de malades depuis de longues années : l’expérience !
Le marché est mondial et gigantesque, actuellement plus de 120 candidats-vaccins contre ce coronavirus sont à l’étude dans le monde…
Si l’épidémie, comme le pensent beaucoup de médecins, tire à sa fin, ces tests perdent beaucoup de leur intérêt.
Tous les pompiers vous diront qu’un incendie qui nécessite de gros moyens d’extinction aurait pu être maîtrisé au début par l’usage d’un extincteur.
Un volet qu’on ne peut négliger, c’est le manque à gagner pour les laboratoires fabriquant ces vaccins, et ils entretiennent des liens étroits avec l’information médicale…
À propos des tests destinés à dépister et à isoler les sujets infectés, le ministre a prévenu : pas de tests systématiques sur l’ensemble de la population française. Mais de quels tests parle-t-on ?
Faute de prise en charge suffisamment précoce, ces pathologies, parfois mineures au début, peuvent leur faire prendre des risques…
Soyons sûrs que nos experts en expertise se poseront la question de savoir comment résoudre ce problème après la crise.
Affirmer que le confinement permet de sauver une vie toutes les huit minutes relève d’avantage d’une affirmation gratuite que d’une véritable étude scientifique.
Depuis des années, on a voulu faire avec le tissu hospitalier ce que fit la SNCF en favorisant les TGV au détriment de l’entretien du réseau secondaire. Nous avons supprimé les petites structures pour ne valoriser que les pôle d’excellence comme les CHU, et nous en payons maintenant les conséquences.
Il serait temps que nos responsables arrêtent de prendre les patients et les médecins pour des imbéciles et, plutôt qu’encourager les niaiseries visant à encenser les soignants, leur donnent les moyens de faire correctement leur travail.
Les mesures de dépistage seront donc les bienvenues, mais encore faut-il avoir les tests !
Nous payons maintenant la facture des mesures qui sont prises depuis une trentaine d’années…
Nous vivons actuellement la même hystérie médiatique que celle qui a entouré l’épidémie de grippe H1N1, il y a dix ans.
Cette épidémie met le doigt où ça fait mal.
Rien d’étonnant à ce que le tarif des assurances complémentaires augmente.
Le nombre de cas relevés pourrait continuer à doubler tous les 6 jours et atteindre un pic en avril…
On peut espérer que l’ampleur de cette épidémie fera réfléchir nos responsables politiques sur le système économique mondialisé, qui se développe pour son propre intérêt sans tenir compte des effets secondaires…
Devant l’accélération de la prolifération du virus, la Chine a pris des mesures drastiques : les 11 millions d’habitants de Wuhan ont été mis en quarantaine…
Cette pénurie a plusieurs causes, dont la diminution des accidents de la route, mais aussi et surtout, semble-t-il, l’opposition fréquente des proches d’un défunt qui ont peur de voir son corps mutilé…
L’usage de médicaments génériques n’est pas toujours signe d’économie.
Le docteur Jean-Paul Hamon, président de la Fédération des médecins de France (FMF), est monté au créneau, il y a quelques jours, pour défendre un
Cette extension de la recommandation de la vaccination devrait entraîner le remboursement du vaccin quel que soit le sexe, mais risque aussi de réactiver la polémique sur les possibles effets secondaires…
L’administration a voulu gérer les hôpitaux comme des entreprises, en appliquant des méthodes de gestion qui peuvent se justifier lorsqu’on fabrique des trottinettes ou du mobilier, mais qui sont difficilement applicables lorsqu’on gère de la souffrance et de l’humain.
Pour la première fois cette année et bien que nous ne soyons pas en période de carnaval, la rentrée scolaire sera masquée
Va-t-on continuer à gérer la santé comme un secteur économique dont le seul credo est le profit ?
Comme dans beaucoup de domaines, l’intérêt du marché prime sur les besoins réels de la population, au point de parasiter le discours scientifique et celui des politiques afin qu’il satisfasse ses objectifs.
Va-t-on, ensuite, nous imposer le port permanent d’une moustiquaire pour lutter contre le moustique tigre qui progresse en France ?
Les médecins généralistes possèdent ce qui manque à nos décideurs ministériels qui n’ont sans doute pas approché de malades depuis de longues années : l’expérience !
Le marché est mondial et gigantesque, actuellement plus de 120 candidats-vaccins contre ce coronavirus sont à l’étude dans le monde…
Si l’épidémie, comme le pensent beaucoup de médecins, tire à sa fin, ces tests perdent beaucoup de leur intérêt.
Tous les pompiers vous diront qu’un incendie qui nécessite de gros moyens d’extinction aurait pu être maîtrisé au début par l’usage d’un extincteur.
Un volet qu’on ne peut négliger, c’est le manque à gagner pour les laboratoires fabriquant ces vaccins, et ils entretiennent des liens étroits avec l’information médicale…
À propos des tests destinés à dépister et à isoler les sujets infectés, le ministre a prévenu : pas de tests systématiques sur l’ensemble de la population française. Mais de quels tests parle-t-on ?
Faute de prise en charge suffisamment précoce, ces pathologies, parfois mineures au début, peuvent leur faire prendre des risques…
Soyons sûrs que nos experts en expertise se poseront la question de savoir comment résoudre ce problème après la crise.
Affirmer que le confinement permet de sauver une vie toutes les huit minutes relève d’avantage d’une affirmation gratuite que d’une véritable étude scientifique.
Depuis des années, on a voulu faire avec le tissu hospitalier ce que fit la SNCF en favorisant les TGV au détriment de l’entretien du réseau secondaire. Nous avons supprimé les petites structures pour ne valoriser que les pôle d’excellence comme les CHU, et nous en payons maintenant les conséquences.
Il serait temps que nos responsables arrêtent de prendre les patients et les médecins pour des imbéciles et, plutôt qu’encourager les niaiseries visant à encenser les soignants, leur donnent les moyens de faire correctement leur travail.
Les mesures de dépistage seront donc les bienvenues, mais encore faut-il avoir les tests !
Nous payons maintenant la facture des mesures qui sont prises depuis une trentaine d’années…
Nous vivons actuellement la même hystérie médiatique que celle qui a entouré l’épidémie de grippe H1N1, il y a dix ans.
Cette épidémie met le doigt où ça fait mal.
Rien d’étonnant à ce que le tarif des assurances complémentaires augmente.
Le nombre de cas relevés pourrait continuer à doubler tous les 6 jours et atteindre un pic en avril…
On peut espérer que l’ampleur de cette épidémie fera réfléchir nos responsables politiques sur le système économique mondialisé, qui se développe pour son propre intérêt sans tenir compte des effets secondaires…
Devant l’accélération de la prolifération du virus, la Chine a pris des mesures drastiques : les 11 millions d’habitants de Wuhan ont été mis en quarantaine…
Cette pénurie a plusieurs causes, dont la diminution des accidents de la route, mais aussi et surtout, semble-t-il, l’opposition fréquente des proches d’un défunt qui ont peur de voir son corps mutilé…
L’usage de médicaments génériques n’est pas toujours signe d’économie.
Le docteur Jean-Paul Hamon, président de la Fédération des médecins de France (FMF), est monté au créneau, il y a quelques jours, pour défendre un
Cette extension de la recommandation de la vaccination devrait entraîner le remboursement du vaccin quel que soit le sexe, mais risque aussi de réactiver la polémique sur les possibles effets secondaires…
L’administration a voulu gérer les hôpitaux comme des entreprises, en appliquant des méthodes de gestion qui peuvent se justifier lorsqu’on fabrique des trottinettes ou du mobilier, mais qui sont difficilement applicables lorsqu’on gère de la souffrance et de l’humain.