Cinéma
Le film se fait une drôle d’idée de l’Église, institution qui ne pourrait se sauver qu’en étant mise au goût du jour.
Comment une ingénue occidentale de dix-neuf ans va se trouver une raison d’être dans un « projet divin ».
Récit d’un sauvetage qui engage la vie et la conscience, le film fait l’éloge du don de soi et du sacrifice.
Finement écrit, le film est porté par des acteurs de talent, dont Grégory Gadebois et Alexandra Lamy, inattendue.
Sans Russell Crowe, un peplum poids plume.
Clint Eastwood est de ces rares acteurs hollywoodiens à avoir pleinement réussi leur passage derrière la caméra.
Un travail beaucoup trop scolaire…
Trop sage, le film d’Ellen Kuras effleure à peine le sujet de la photo de guerre.
La recherche de la vérité importe moins au réalisateur que le résultat des urnes, le 5 novembre prochain.
Rien ne sert de se déplacer en salles, autant revoir La Valse des pantins de Martin Scorsese…
Coppola accouche d’une œuvre bancale, criarde visuellement et, politiquement, des plus manichéennes.
Depuis qu’il a fait innocenter un tueur multirécidiviste, Maître Jean Monier n’a plus plaidé aux assises.
Ce récit dramatique aux allures de thriller met en avant le combat intérieur d’une judokate.
Pour une première incursion dans l’adaptation littéraire, À son image est une belle réussite.
Le jury de Cannes a récompensé un film qui brille par ses poncifs.
Les auteurs célèbrent l’altérité parentale et expriment la difficulté d’être père, biologique ou non.
Le film nous range clairement du côté du tueur et non pas de la police : une tendance significative de nos sociétés.
Pensé comme un genre de thriller psychologique, « Le Jeu de la reine » est un véritable film de survie.
Une sous-exploitation du talent d’Anthony Hopkins dans le rôle de Vespasien.
Comme les quelque 7.295.727 spectateurs qui ont vu le film en salle…
Là où le film excelle, c’est dans sa façon de mettre en scène l’opacité des motivations et comportements humains.
Toujours disponible sur Netflix, il s’agit incontestablement d’un film à voir pour mieux cerner la personnalité de Vance
« Aucune menace caractérisée identifiée sur les Jeux »
Époustouflante par son niveau de détail et sa richesse visuelle, la mise en scène verse dans le gigantisme.
Le film n’échappe pas aux lieux communs sur Bachar el-Assad et ce que fut la guerre en Syrie.
Belle fresque romanesque, même si le héros n’a pas toute la complexité requise.
Avec subtilité et sympathie, le film décrit le phénomène des bandes de motards dans toute sa complexité.
À l’occasion de l’été, BV vous propose de redécouvrir des films mis en avant lors de leur sortie au cinéma. Aujourd’hui, L’Affaire Vinča Curie, de Dragan
Le film se fait une drôle d’idée de l’Église, institution qui ne pourrait se sauver qu’en étant mise au goût du jour.
Comment une ingénue occidentale de dix-neuf ans va se trouver une raison d’être dans un « projet divin ».
Récit d’un sauvetage qui engage la vie et la conscience, le film fait l’éloge du don de soi et du sacrifice.
Finement écrit, le film est porté par des acteurs de talent, dont Grégory Gadebois et Alexandra Lamy, inattendue.
Sans Russell Crowe, un peplum poids plume.
Clint Eastwood est de ces rares acteurs hollywoodiens à avoir pleinement réussi leur passage derrière la caméra.
Un travail beaucoup trop scolaire…
Trop sage, le film d’Ellen Kuras effleure à peine le sujet de la photo de guerre.
La recherche de la vérité importe moins au réalisateur que le résultat des urnes, le 5 novembre prochain.
Rien ne sert de se déplacer en salles, autant revoir La Valse des pantins de Martin Scorsese…
Coppola accouche d’une œuvre bancale, criarde visuellement et, politiquement, des plus manichéennes.
Depuis qu’il a fait innocenter un tueur multirécidiviste, Maître Jean Monier n’a plus plaidé aux assises.
Ce récit dramatique aux allures de thriller met en avant le combat intérieur d’une judokate.
Pour une première incursion dans l’adaptation littéraire, À son image est une belle réussite.
Le jury de Cannes a récompensé un film qui brille par ses poncifs.
Les auteurs célèbrent l’altérité parentale et expriment la difficulté d’être père, biologique ou non.
Le film nous range clairement du côté du tueur et non pas de la police : une tendance significative de nos sociétés.
Pensé comme un genre de thriller psychologique, « Le Jeu de la reine » est un véritable film de survie.
Une sous-exploitation du talent d’Anthony Hopkins dans le rôle de Vespasien.
Comme les quelque 7.295.727 spectateurs qui ont vu le film en salle…
Là où le film excelle, c’est dans sa façon de mettre en scène l’opacité des motivations et comportements humains.
Toujours disponible sur Netflix, il s’agit incontestablement d’un film à voir pour mieux cerner la personnalité de Vance
« Aucune menace caractérisée identifiée sur les Jeux »
Époustouflante par son niveau de détail et sa richesse visuelle, la mise en scène verse dans le gigantisme.
Le film n’échappe pas aux lieux communs sur Bachar el-Assad et ce que fut la guerre en Syrie.
Belle fresque romanesque, même si le héros n’a pas toute la complexité requise.
Avec subtilité et sympathie, le film décrit le phénomène des bandes de motards dans toute sa complexité.
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