Toutes les mesures collectives (confinements ou vaccinations massives) prises dans le monde n’ont pas réussi à enrayer la progression de l’épidémie.
Pour pallier cette désertification médicale, la commune d’Argenteuil offre une bourse de 12.000 euros par an aux jeunes médecins désireux de s’installer sur la commune, en secteur conventionné, pendant au moins cinq ans.
Ces médecins étrangers accueillis dans les hôpitaux français pour leur formation occupent des postes d’attachés ou d’assistants, nettement moins payés que les postes de praticiens hospitaliers
Cette crise ne fait que révéler certains travers de l’âme humaine auxquels les médecins n’échappent pas, et que les récentes déclarations du Président ne peuvent qu’encourager.
On aurait pu espérer que les autorités, devant les événements récents, mettent en place un programme visant à redynamiser le système de santé publique. Il n’en a rien été. Et, l’an dernier, on notait encore 5 700 suppressions de lits.
Cette nouvelle arme anti-Covid sera-t-elle bien acceptée par ceux qui ne voulaient pas être vaccinés ? Cela n’est pas sûr.
Il faut rappeler que depuis 1998, 100.000 lits d’hôpitaux ont été supprimés, dont 5.700 en 2020…
Heureux Antillais, pourrait-on dire, qui vont pouvoir choisir le vaccin qui leur est administré…
Le porte parole du gouvernement, dans ses dernières déclarations, a rejeté la responsabilité de cette crise sur la politique de santé des gouvernements précédents ; c’est oublier que depuis 4 ans le gouvernement actuel n’a rien fait pour infléchir cette politique.
Jusque-là, le dossier médical était encore couvert par le secret, et il fallait fracturer la porte du bureau du médecin pour y accéder.
Puisse cette crise permettre de revoir le fonctionnement de nos établissements hospitaliers et, au-delà, de tout notre système de protection sanitaire.
Les premiers résultats montrent une production d’anticorps satisfaisante dans 95 à 100 % des cas après l’administration d’une deuxième dose dans toutes les tranches d’âge…
Le 18 août, la Direction générale de la Santé a fait parvenir à tous les médecins une note pour les informer de la mise à disposition du corps médical d’une bithérapie d’anticorps monoclonaux…
Reste ensuite les enjeux économiques et politiques qui viendront vraisemblablement influencer le formatage des opinions sur cette question.
Il faut garder en mémoire que cette maladie, pour l’instant, n’entraîne « que » un peu moins de 1 % de décès, et garder la tête froide face à des chiffres, tels qu’ils sont présentés dans les médias, qui ne peuvent qu’effrayer la population.
Dans un souci de clarté et d’information il ne semble pas inconvenant de se poser des questions sur la réalité des chiffres publiés en gros titre par les médias qui gagneraient à être mis en perspective.
Le discours officiel, qui se veut toujours très alarmiste, confond volontiers les deux, peut-être pour masquer des incohérences dont le bon peuple pourrait se rendre compte si on ne le maintenait pas dans un état de crainte permanente.
Quel crédit peut-on accorder à ces affirmations ? Il est encore un peu tôt pour avoir des prises de position formelles…
Les soignants sont de plus en plus ulcérés par ce mode de fonctionnement qui privilégie la rentabilité aux dépens de la qualité des soins.
Ce plan d’investissement annoncé par Emmanuel Macron a pour but de permettre à la France de devenir leader européen en innovation dans le secteur de la santé avec, en plus, un objectif de souveraineté technologique.
Pourquoi tant de mauvaise volonté pour favoriser l’étude de médicaments qui, sans être la panacée absolue, peuvent se révéler d’une grande utilité pour traiter le Covid ?
Ce qui se passe dans les hôpitaux ou dans les cabinets médicaux de ville n’est, hélas, que le reflet de l’évolution sociale actuelle que la crise du Covid ne fait qu’amplifier.
À l’échelon individuel, nous avons donc le choix, aujourd’hui, entre courir le risque d’attraper une maladie potentiellement grave et parfois mortelle ou se vacciner et accepter le risque d’effets secondaires sans doute rares mais mal connus pour l’instant.
Heureusement, tous les malades n’ont pas attendu d’aller faire la queue à l’hôpital et ont consulté leur médecin traitant qui, malgré les directives administratives, a réussi dans bien des cas à éviter leur hospitalisation.
Pourquoi tant de précipitation pour essayer d’éradiquer une maladie dont la létalité, qui se situe aux environs de 1 %, devrait s’améliorer si les médecins de terrain étaient mis à contribution pour traiter massivement les cas symptomatiques ?
Dans sa grande sagesse, le peuple réclame donc des données fiables et des preuves
Les historiens et sociologues auront, avec la période que nous traversons aujourd’hui, un morceau de choix pour leurs études.
Il s’agit de projets ambitieux qu’on ne peut que souhaiter voir aboutir rapidement, sans aller se perdre dans quelques arcanes administratives.
Toutes les mesures collectives (confinements ou vaccinations massives) prises dans le monde n’ont pas réussi à enrayer la progression de l’épidémie.
Pour pallier cette désertification médicale, la commune d’Argenteuil offre une bourse de 12.000 euros par an aux jeunes médecins désireux de s’installer sur la commune, en secteur conventionné, pendant au moins cinq ans.
Ces médecins étrangers accueillis dans les hôpitaux français pour leur formation occupent des postes d’attachés ou d’assistants, nettement moins payés que les postes de praticiens hospitaliers
Cette crise ne fait que révéler certains travers de l’âme humaine auxquels les médecins n’échappent pas, et que les récentes déclarations du Président ne peuvent qu’encourager.
On aurait pu espérer que les autorités, devant les événements récents, mettent en place un programme visant à redynamiser le système de santé publique. Il n’en a rien été. Et, l’an dernier, on notait encore 5 700 suppressions de lits.
Cette nouvelle arme anti-Covid sera-t-elle bien acceptée par ceux qui ne voulaient pas être vaccinés ? Cela n’est pas sûr.
Il faut rappeler que depuis 1998, 100.000 lits d’hôpitaux ont été supprimés, dont 5.700 en 2020…
Heureux Antillais, pourrait-on dire, qui vont pouvoir choisir le vaccin qui leur est administré…
Le porte parole du gouvernement, dans ses dernières déclarations, a rejeté la responsabilité de cette crise sur la politique de santé des gouvernements précédents ; c’est oublier que depuis 4 ans le gouvernement actuel n’a rien fait pour infléchir cette politique.
Jusque-là, le dossier médical était encore couvert par le secret, et il fallait fracturer la porte du bureau du médecin pour y accéder.
Puisse cette crise permettre de revoir le fonctionnement de nos établissements hospitaliers et, au-delà, de tout notre système de protection sanitaire.
Les premiers résultats montrent une production d’anticorps satisfaisante dans 95 à 100 % des cas après l’administration d’une deuxième dose dans toutes les tranches d’âge…
Le 18 août, la Direction générale de la Santé a fait parvenir à tous les médecins une note pour les informer de la mise à disposition du corps médical d’une bithérapie d’anticorps monoclonaux…
Reste ensuite les enjeux économiques et politiques qui viendront vraisemblablement influencer le formatage des opinions sur cette question.
Il faut garder en mémoire que cette maladie, pour l’instant, n’entraîne « que » un peu moins de 1 % de décès, et garder la tête froide face à des chiffres, tels qu’ils sont présentés dans les médias, qui ne peuvent qu’effrayer la population.
Dans un souci de clarté et d’information il ne semble pas inconvenant de se poser des questions sur la réalité des chiffres publiés en gros titre par les médias qui gagneraient à être mis en perspective.
Le discours officiel, qui se veut toujours très alarmiste, confond volontiers les deux, peut-être pour masquer des incohérences dont le bon peuple pourrait se rendre compte si on ne le maintenait pas dans un état de crainte permanente.
Quel crédit peut-on accorder à ces affirmations ? Il est encore un peu tôt pour avoir des prises de position formelles…
Les soignants sont de plus en plus ulcérés par ce mode de fonctionnement qui privilégie la rentabilité aux dépens de la qualité des soins.
Ce plan d’investissement annoncé par Emmanuel Macron a pour but de permettre à la France de devenir leader européen en innovation dans le secteur de la santé avec, en plus, un objectif de souveraineté technologique.
Pourquoi tant de mauvaise volonté pour favoriser l’étude de médicaments qui, sans être la panacée absolue, peuvent se révéler d’une grande utilité pour traiter le Covid ?
Ce qui se passe dans les hôpitaux ou dans les cabinets médicaux de ville n’est, hélas, que le reflet de l’évolution sociale actuelle que la crise du Covid ne fait qu’amplifier.
À l’échelon individuel, nous avons donc le choix, aujourd’hui, entre courir le risque d’attraper une maladie potentiellement grave et parfois mortelle ou se vacciner et accepter le risque d’effets secondaires sans doute rares mais mal connus pour l’instant.
Heureusement, tous les malades n’ont pas attendu d’aller faire la queue à l’hôpital et ont consulté leur médecin traitant qui, malgré les directives administratives, a réussi dans bien des cas à éviter leur hospitalisation.
Pourquoi tant de précipitation pour essayer d’éradiquer une maladie dont la létalité, qui se situe aux environs de 1 %, devrait s’améliorer si les médecins de terrain étaient mis à contribution pour traiter massivement les cas symptomatiques ?
Dans sa grande sagesse, le peuple réclame donc des données fiables et des preuves
Les historiens et sociologues auront, avec la période que nous traversons aujourd’hui, un morceau de choix pour leurs études.
Il s’agit de projets ambitieux qu’on ne peut que souhaiter voir aboutir rapidement, sans aller se perdre dans quelques arcanes administratives.