Cette annonce relance le débat sur l’utilité des médicaments.
Il faudra attendre le projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour en savoir davantage.
Le nouveau ministre de la santé, Mme Darrieussecq, devra gérer le déficit colossal des hôpitaux publics.
En 20 ans, de janvier 2003 à avril 2024, l’OMS a enregistré 889 cas humains de grippe aviaire dans 23 pays.
Certains, parmi les candidats aux études médicales, sont contraints de partir faire leurs études à l’étranger.
La Fédération de l’hospitalisation privée ( FHP) demande à ses adhérents de cesser toute activité du 3 au 5 juin.
Un rapport alerte sur les risques de situation sanitaire exceptionnelle à venir au cours des cinq prochaines années.
La « bactérie mangeuse de chair » nécessitera-t-elle nouvelles mesures sanitaires et confinement ?
Les bénéficiaires de l’AME continuent à être pris en charge à 100 %.
Selon le nouveau ministre de la Santé, le sujet du manque de médecins devrait durer encore « pendant 5 à 7 ans ».
Le président a insisté sur le fait que l’augmentation de cette franchise servirait à responsabiliser les Français.
Cette nouvelle offensive contre les professionnels de santé évite de s’occuper des usagers qui abusent du tiers payant.
Souhaitons bon courage au Président , mais très honnêtement, nous doutons déjà du résultat.
Différentes enquêtes ont montré que 6 à 10 % des patients ne se présentent pas à leur rendez-vous médical.
En 2020, 2.446 signalements de tension d’approvisionnement ont été rapportés à l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), alors qu’on en dénombrait moins de 600 trois ans plus tôt .
L’ARS (agence régionale de santé) de Nouvelle-Aquitaine, à propos de la fermeture de services d’urgence en Dordogne, a répondu : « Ce n’est pas la situation habituelle mais peut-être la situation de l’avenir. »
Ce chapitre à visée sanitaire de la loi sur l’immigration que le gouvernement va soumettre au Parlement en 2023 ne doit pas masquer les vrais problèmes liés à l’immigration qui ne semblent pas devoir être résolus de manière durable par ce énième texte.
Il faut espérer qu’on pourra effectuer des études sérieuses pour éviter (si possible) ces erreurs lors d’une prochaine épidémie.
On peut se demander pourquoi, depuis quelques semaines, les pharmaciens ont du mal à remplir leurs étagères.
Dans le cas du vaccin contre le Covid, dont on ne connaissait pas les effets secondaires lors de sa mise sur le marché, on peut se demander si la politique sanitaire pour lutter contre ce virus fut un choix très judicieux.
Ce plan d’action permettra peut-être de calmer (un peu) la grogne des soignants, mais ne résoudra pas les problèmes de fond…
Cette maladie zoonotique qui peut être transmise à l’homme a débarqué en Europe au mois de mai 2022 chez des personnes qui n’avaient pas séjourné en Afrique ; la maladie s’est donc transmise entre êtres humains. Pour l’instant, les principaux concernés sont les hommes homosexuels.
Il est encore trop tôt pour savoir si la vaccination forcée contre le coronavirus avec un vaccin relativement peu efficace, et à la durée d’action très limitée (sans parler des effets secondaires encore très mal connus), ne va pas porter un coup supplémentaire à la défiance vis-à-vis des vaccins.
L’hôpital va mal, et même très mal. Comme dans beaucoup de domaines, nous vivions jusque-là sur l’acquis et, maintenant que les coefficients de marées se sont modifiés, nous découvrons avec stupeur l’étendue du désastre.
Croire que des gardes obligatoires imposées aux praticiens de ville résoudraient le problème, procède d’une vision simpliste de l’environnement médical et sociétal.
En 1984, la proportion de couples ayant des problèmes de fertilité était estimée à 5,4 %, à 8,5 % en 1992 et, aujourd’hui, à 15,7 %.
Toutes les mesures collectives (confinements ou vaccinations massives) prises dans le monde n’ont pas réussi à enrayer la progression de l’épidémie.
Cette annonce relance le débat sur l’utilité des médicaments.
Il faudra attendre le projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour en savoir davantage.
Le nouveau ministre de la santé, Mme Darrieussecq, devra gérer le déficit colossal des hôpitaux publics.
En 20 ans, de janvier 2003 à avril 2024, l’OMS a enregistré 889 cas humains de grippe aviaire dans 23 pays.
Certains, parmi les candidats aux études médicales, sont contraints de partir faire leurs études à l’étranger.
La Fédération de l’hospitalisation privée ( FHP) demande à ses adhérents de cesser toute activité du 3 au 5 juin.
Un rapport alerte sur les risques de situation sanitaire exceptionnelle à venir au cours des cinq prochaines années.
La « bactérie mangeuse de chair » nécessitera-t-elle nouvelles mesures sanitaires et confinement ?
Les bénéficiaires de l’AME continuent à être pris en charge à 100 %.
Selon le nouveau ministre de la Santé, le sujet du manque de médecins devrait durer encore « pendant 5 à 7 ans ».
Le président a insisté sur le fait que l’augmentation de cette franchise servirait à responsabiliser les Français.
Cette nouvelle offensive contre les professionnels de santé évite de s’occuper des usagers qui abusent du tiers payant.
Souhaitons bon courage au Président , mais très honnêtement, nous doutons déjà du résultat.
Différentes enquêtes ont montré que 6 à 10 % des patients ne se présentent pas à leur rendez-vous médical.
En 2020, 2.446 signalements de tension d’approvisionnement ont été rapportés à l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), alors qu’on en dénombrait moins de 600 trois ans plus tôt .
L’ARS (agence régionale de santé) de Nouvelle-Aquitaine, à propos de la fermeture de services d’urgence en Dordogne, a répondu : « Ce n’est pas la situation habituelle mais peut-être la situation de l’avenir. »
Ce chapitre à visée sanitaire de la loi sur l’immigration que le gouvernement va soumettre au Parlement en 2023 ne doit pas masquer les vrais problèmes liés à l’immigration qui ne semblent pas devoir être résolus de manière durable par ce énième texte.
Il faut espérer qu’on pourra effectuer des études sérieuses pour éviter (si possible) ces erreurs lors d’une prochaine épidémie.
On peut se demander pourquoi, depuis quelques semaines, les pharmaciens ont du mal à remplir leurs étagères.
Dans le cas du vaccin contre le Covid, dont on ne connaissait pas les effets secondaires lors de sa mise sur le marché, on peut se demander si la politique sanitaire pour lutter contre ce virus fut un choix très judicieux.
Ce plan d’action permettra peut-être de calmer (un peu) la grogne des soignants, mais ne résoudra pas les problèmes de fond…
Cette maladie zoonotique qui peut être transmise à l’homme a débarqué en Europe au mois de mai 2022 chez des personnes qui n’avaient pas séjourné en Afrique ; la maladie s’est donc transmise entre êtres humains. Pour l’instant, les principaux concernés sont les hommes homosexuels.
Il est encore trop tôt pour savoir si la vaccination forcée contre le coronavirus avec un vaccin relativement peu efficace, et à la durée d’action très limitée (sans parler des effets secondaires encore très mal connus), ne va pas porter un coup supplémentaire à la défiance vis-à-vis des vaccins.
L’hôpital va mal, et même très mal. Comme dans beaucoup de domaines, nous vivions jusque-là sur l’acquis et, maintenant que les coefficients de marées se sont modifiés, nous découvrons avec stupeur l’étendue du désastre.
Croire que des gardes obligatoires imposées aux praticiens de ville résoudraient le problème, procède d’une vision simpliste de l’environnement médical et sociétal.
En 1984, la proportion de couples ayant des problèmes de fertilité était estimée à 5,4 %, à 8,5 % en 1992 et, aujourd’hui, à 15,7 %.
Toutes les mesures collectives (confinements ou vaccinations massives) prises dans le monde n’ont pas réussi à enrayer la progression de l’épidémie.