
La réalisatrice s’accroche à l’idée qu’un retour au bon sens et au lâcher-prise est possible à tout moment.

L’investissement et la performance d’Angelina Jolie sont indéniables, mais on reprochera une esthétique de papier glacé.

Un événement incontournable pour les sinophiles, et les passionnés d’histoire en règle générale.

On salue les qualités de mise en scène de James Mangold et l’investissement des acteurs principaux, qui chantent.

Un énième film bien-pensant, hyper-formaté et sans aucune idée de cinéma.

Vient un moment, dit le cinéaste, où l’individu directement concerné ne peut que prendre parti et choisir son camp.

Ni film politique, ni film-dossier, la force de « Je suis toujours là » n’est pas pour autant négligeable.

Le cinéaste revient sur les dysfonctionnements, en particulier l’absence de coopération entre police et gendarmerie.

Une animation somme toute classique mais efficace, aux couleurs chatoyantes et printanières.

Une histoire sur la quête identitaire, à l’heure de la mondialisation et de la banalisation des unions binationales.

Passionnant, le récit de ce mini-feuilleton aborde les actions les moins reluisantes de l’IRA.

La meilleure idée de Robert Eggers, fidèle au Nosferatu d’origine, est d’avoir fait d’Ellen l’héroïne du récit.

La famille royale apparaît de façon honnête, comme victime expiatoire de tout un système politique.

Le film, en vérité, ne dit quasiment rien sur sa vie et ne se donne même pas la peine de la montrer sur scène !

Un discours très politiquement correct, suivant la ligne actuelle de Disney.

Ce film agricole, artisanal et familial, raconte le défi que se lance un jeune homme pour prendre la relève paternelle.

Personnage souvent contradictoire, entre son mode de vie dépravé et provocateur et ses positionnements nationalistes.

Les réalisateurs reviennent aux sources d’un cinéma plus social : le vivre ensemble dans la France périphérique.

Le film se fait une drôle d’idée de l’Église, institution qui ne pourrait se sauver qu’en étant mise au goût du jour.

Un film familial réjouissant tel qu’on en voit rarement : sans message politiquement correct et sans vulgarité.

Comment une ingénue occidentale de dix-neuf ans va se trouver une raison d’être dans un « projet divin ».

Une approche simple et modeste, sans pompe, à l’image de cet écrivain solitaire et mélancolique.

Récit d’un sauvetage qui engage la vie et la conscience, le film fait l’éloge du don de soi et du sacrifice.

Émouvant et révoltant à la fois…

Finement écrit, le film est porté par des acteurs de talent, dont Grégory Gadebois et Alexandra Lamy, inattendue.

Il faut toujours être méfiant, avec les récompenses décernées par le Festival de Cannes.

Sans Russell Crowe, un peplum poids plume.

Ce feuilleton en quatre épisodes de 52 minutes traite frontalement le sujet des fausses victimes d’attentat.

La réalisatrice s’accroche à l’idée qu’un retour au bon sens et au lâcher-prise est possible à tout moment.

L’investissement et la performance d’Angelina Jolie sont indéniables, mais on reprochera une esthétique de papier glacé.

Un événement incontournable pour les sinophiles, et les passionnés d’histoire en règle générale.

On salue les qualités de mise en scène de James Mangold et l’investissement des acteurs principaux, qui chantent.

Un énième film bien-pensant, hyper-formaté et sans aucune idée de cinéma.

Vient un moment, dit le cinéaste, où l’individu directement concerné ne peut que prendre parti et choisir son camp.

Ni film politique, ni film-dossier, la force de « Je suis toujours là » n’est pas pour autant négligeable.

Le cinéaste revient sur les dysfonctionnements, en particulier l’absence de coopération entre police et gendarmerie.

Une animation somme toute classique mais efficace, aux couleurs chatoyantes et printanières.

Une histoire sur la quête identitaire, à l’heure de la mondialisation et de la banalisation des unions binationales.

Passionnant, le récit de ce mini-feuilleton aborde les actions les moins reluisantes de l’IRA.

La meilleure idée de Robert Eggers, fidèle au Nosferatu d’origine, est d’avoir fait d’Ellen l’héroïne du récit.

La famille royale apparaît de façon honnête, comme victime expiatoire de tout un système politique.

Le film, en vérité, ne dit quasiment rien sur sa vie et ne se donne même pas la peine de la montrer sur scène !

Un discours très politiquement correct, suivant la ligne actuelle de Disney.

Ce film agricole, artisanal et familial, raconte le défi que se lance un jeune homme pour prendre la relève paternelle.

Personnage souvent contradictoire, entre son mode de vie dépravé et provocateur et ses positionnements nationalistes.

Les réalisateurs reviennent aux sources d’un cinéma plus social : le vivre ensemble dans la France périphérique.

Le film se fait une drôle d’idée de l’Église, institution qui ne pourrait se sauver qu’en étant mise au goût du jour.

Un film familial réjouissant tel qu’on en voit rarement : sans message politiquement correct et sans vulgarité.

Comment une ingénue occidentale de dix-neuf ans va se trouver une raison d’être dans un « projet divin ».

Une approche simple et modeste, sans pompe, à l’image de cet écrivain solitaire et mélancolique.

Récit d’un sauvetage qui engage la vie et la conscience, le film fait l’éloge du don de soi et du sacrifice.

Émouvant et révoltant à la fois…

Finement écrit, le film est porté par des acteurs de talent, dont Grégory Gadebois et Alexandra Lamy, inattendue.

Il faut toujours être méfiant, avec les récompenses décernées par le Festival de Cannes.

Sans Russell Crowe, un peplum poids plume.

Ce feuilleton en quatre épisodes de 52 minutes traite frontalement le sujet des fausses victimes d’attentat.
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
LES PLUS LUS DU JOUR
