Lola

Laurel, l’illustratrice de ce dessin, avait été accusée de récupération…

« La meurtrière présumée, qui est l’incarnation de la barbarie absolue, a complètement détruit cette famille »
Les accusions requises par le parquet de Paris font encourir à Dahbia B. la prison à perpétuité.
Des experts ont confirmé la possibilité de juger Dahbia Benkired, mise en examen pour le meurtre de la petite Lola, le 14 octobre 2022, dans
On ignore pour l’instant les causes de sa mort.

Séparation, alcool, tristesse… « La suspecte n’a pas fait que détruire la vie d’un enfant. Elle a détruit une famille

Comme Christelle Gervaise, les familles de victimes redoutent un verdict d’irresponsabilité pénale.

Ce meurtre atroce est assigné par la gauche et l’extrême gauche à la case « faits divers » et n’en doit pas sortir.

Avec l’argent du contribuable, France Télé soutient la réalisation de cette soirée qui vire au discours de propagande

Le documentaire avait pour but de dénoncer « la récupération du meurtre de Lola par l’extrême droite ».

Cette communication très politique ne s’est pas cantonnée à l’Hémicycle, si l’on en croit la guerre qui a lieu actuellement sur la très neutre et très fiable encyclopédie en ligne Wikipédia.

Ni la pauvreté ni l’immigration ne fabriquent de la violence autant que la déconstruction et l’affaiblissement des esprits.
« Cette nouvelle manifestation de soutien est une aide précieuse pour surmonter notre épreuve si douloureuse »

3.501 personnes renvoyées chez elles au premier semestre 2021, soit 5,6 % des OQTF ? Un fiasco, vous me direz. Pas du tout…

S’ils veulent éviter de nouveaux assassinats et infractions de toute nature, les États doivent retrouver au plus vite la pleine maîtrise et le contrôle de leurs frontières.

Le 19 octobre, SOS Racisme, qui n’a certes plus l’influence d’antan, publie un communiqué sur le meurtre de Lola… une semaine après les faits. Le temps d’une intense réflexion préalable à l’indignation.
La meurtrière de Lola, Dahbia B., avait fait l’objet d’une main courante, en 2019, déposée par deux secrétaires médicales pour violences.

Des cas particuliers qui n’ont pas de valeur statistique, diront certains. Mais surtout, une réalité qu’on ne peut plus relativiser, occulter, masquer.

Le rôle du politique, ce n’est pas de philosopher sur le « pourquoi » mais de se poser la question du « comment ». Comment faire pour qu’une telle horreur soit évitée…

Lola. Quatre lettres qui, au-delà d’avoir marqué l’actualité cette semaine, resteront gravées dans l’esprit des lecteurs de BV.

Les oukases pour arriver à cette énième léthargie nationale ont, comme à l’accoutumée, fusés de partout. Nombreux et persuasifs.

La semaine qui vient de s’écouler est marquée par l’épouvantable meurtre de Lola. Une profonde émotion a traversé le pays. Des hommages, des rassemblements ont

Si cette enfant avait été maghrébine et son tortionnaire ce qu’on appelle un Français de souche, que n’aurait-on pas entendu ?

Fatalité, que les OQTF ne soient quasiment jamais exécutées ? Fatalité, le laxisme migratoire ? Fatalité, le wokisme ? Non, choix politiques délibérés.

« On voulait diffuser le visage de Lola chez ceux qui refusent d’en parler »

Faute d’avoir le droit de s’interroger, réfléchir en dehors de toute passion et sans mots censurés, d’autres Lola seront donc persécutées puisque ni les médias ni les politiques ne semblent prêts à affronter la réalité.

Derrière les accusations de récupération et les différentes formes qu’ont prises ces hommages, c’est toute une nation endeuillée qui pleure aujourd’hui une de ses enfants innocentes.

La réalité serait donc indécente.

Laurel, l’illustratrice de ce dessin, avait été accusée de récupération…

« La meurtrière présumée, qui est l’incarnation de la barbarie absolue, a complètement détruit cette famille »
Les accusions requises par le parquet de Paris font encourir à Dahbia B. la prison à perpétuité.
Des experts ont confirmé la possibilité de juger Dahbia Benkired, mise en examen pour le meurtre de la petite Lola, le 14 octobre 2022, dans
On ignore pour l’instant les causes de sa mort.

Séparation, alcool, tristesse… « La suspecte n’a pas fait que détruire la vie d’un enfant. Elle a détruit une famille

Comme Christelle Gervaise, les familles de victimes redoutent un verdict d’irresponsabilité pénale.

Ce meurtre atroce est assigné par la gauche et l’extrême gauche à la case « faits divers » et n’en doit pas sortir.

Avec l’argent du contribuable, France Télé soutient la réalisation de cette soirée qui vire au discours de propagande

Le documentaire avait pour but de dénoncer « la récupération du meurtre de Lola par l’extrême droite ».

Cette communication très politique ne s’est pas cantonnée à l’Hémicycle, si l’on en croit la guerre qui a lieu actuellement sur la très neutre et très fiable encyclopédie en ligne Wikipédia.

Ni la pauvreté ni l’immigration ne fabriquent de la violence autant que la déconstruction et l’affaiblissement des esprits.
« Cette nouvelle manifestation de soutien est une aide précieuse pour surmonter notre épreuve si douloureuse »

3.501 personnes renvoyées chez elles au premier semestre 2021, soit 5,6 % des OQTF ? Un fiasco, vous me direz. Pas du tout…

S’ils veulent éviter de nouveaux assassinats et infractions de toute nature, les États doivent retrouver au plus vite la pleine maîtrise et le contrôle de leurs frontières.

Le 19 octobre, SOS Racisme, qui n’a certes plus l’influence d’antan, publie un communiqué sur le meurtre de Lola… une semaine après les faits. Le temps d’une intense réflexion préalable à l’indignation.
La meurtrière de Lola, Dahbia B., avait fait l’objet d’une main courante, en 2019, déposée par deux secrétaires médicales pour violences.

Des cas particuliers qui n’ont pas de valeur statistique, diront certains. Mais surtout, une réalité qu’on ne peut plus relativiser, occulter, masquer.

Le rôle du politique, ce n’est pas de philosopher sur le « pourquoi » mais de se poser la question du « comment ». Comment faire pour qu’une telle horreur soit évitée…

Lola. Quatre lettres qui, au-delà d’avoir marqué l’actualité cette semaine, resteront gravées dans l’esprit des lecteurs de BV.

Les oukases pour arriver à cette énième léthargie nationale ont, comme à l’accoutumée, fusés de partout. Nombreux et persuasifs.

La semaine qui vient de s’écouler est marquée par l’épouvantable meurtre de Lola. Une profonde émotion a traversé le pays. Des hommages, des rassemblements ont

Si cette enfant avait été maghrébine et son tortionnaire ce qu’on appelle un Français de souche, que n’aurait-on pas entendu ?

Fatalité, que les OQTF ne soient quasiment jamais exécutées ? Fatalité, le laxisme migratoire ? Fatalité, le wokisme ? Non, choix politiques délibérés.

« On voulait diffuser le visage de Lola chez ceux qui refusent d’en parler »

Faute d’avoir le droit de s’interroger, réfléchir en dehors de toute passion et sans mots censurés, d’autres Lola seront donc persécutées puisque ni les médias ni les politiques ne semblent prêts à affronter la réalité.

Derrière les accusations de récupération et les différentes formes qu’ont prises ces hommages, c’est toute une nation endeuillée qui pleure aujourd’hui une de ses enfants innocentes.

La réalité serait donc indécente.
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