Les spécialistes estiment qu’environ un milliard d’obus sont tombés sur le sol français entre le 4 août 1914 et le 11 novembre 1918.
Que dire d’autre sur cet « athlète français du siècle », devant Marie-José Pérec, Guy Drut ou Michel Jazy ? Rien d’autre, sinon : merci, Monsieur, pour votre courage, votre parcours exemplaire dont beaucoup devraient s’inspirer et peut-être assimiler…
La fin de l’année 1920 est marquée par un événement qui va longuement peser sur la politique française : la scission de la Section française de l’Internationale ouvrière (SFIO) lors de son XVIIIe congrès à Tours.
Ce 2 septembre, Napoléon III devient alors le spectateur impuissant de sa propre déroute.
Au cours de cette bataille, 2.655 marsouins dont 30 officiers tués et près de 5.000 Prussiens dont 200 officiers y perdent également la vie.
Depuis le 15 juillet 1870, la France est en guerre avec la Prusse.
À 18 h 50, le général Keitel appose sa signature au bas de la convention… Le général Charles Huntziger signe à son tour. Hitler peut jubiler.
Charles de Gaulle lance alors son appel, qui est finalement plus reproduit et lu, qu’entendu.
Combien sont-ils à avoir quitté le sol français et à avoir rejoint l’Angleterre avant l’appel du général de Gaulle et juste après avoir entendu l’appel à « cesser le combat » du maréchal Pétain ? À vrai dire, une poignée.
Le Conseil des ministres est divisé en trois camps : celui des combattants-résistants, celui des liquidateurs, celui des hésitants qui, chaque heure passant, se rangent dans le deuxième camp…
En coulisse, le clan de la défaite commence à prendre le pas sur celui de la poursuite de la guerre.
La Wehrmacht entre à Paris.
Sentant les Allemands fondre sur la capitale, les Parisiens prennent le chemin de l’exode. Les trois quarts d’entre eux décident de s’éloigner au plus vite.
Le jeune général quitte le front le 5 juin et, le 6, prend son poste de sous-secrétaire d’État chargé de la Défense nationale et de la Guerre…
La Luftwaffe cible le ministère de l’Air, les nombreux aérodromes de Paris et sa couronne, ainsi que les usines Citroën, quai de Javel, qui fabriquent alors des armements.
L’évacuation de Dunkerque reste un exploit : en moins de 10 jours, plus de 330.000 soldats alliés sont ramenés à Douvres.
À l’aube du 21 mai, les armées allemandes encerclent un million de soldats français et alliés (belges et britanniques)…
« Alors c’est la destruction de l’armée française », s’exclame Daladier. « Oui, c’est la destruction de l’armée française », répond Gamelin qui sent arriver le vent de la disgrâce.
Le président du Conseil, Paul Reynaud (1878-1966), fait entrer le vainqueur de Verdun au poste de vice-président du Conseil…
De Gaulle restera discret sur cet épisode mais n’empêchera pas la littérature (Faulkner, Bouchet, Ortoli et bien d’autres) de s’emparer de cet épisode pour renforcer sa légende.
Bataille oubliée de la Seconde Guerre mondiale, Stonne symbolise, à bien des égards, la résistance et la pugnacité de l’armée française face à l’invasion ennemie, suite à l’offensive du 10 mai.
Cette « drôle de guerre » prend fin le 10 mai 1940 avec l’invasion de la Belgique, du Luxembourg et des Pays-Bas par les armées allemandes au sol, précédées par des attaques aériennes.
La maladie serait arrivée à bord d’un bateau en provenance du Levant…
Le général de Gaulle explique aux Français qu’il entend rendre « au vieux franc français une substance conforme au respect qui lui est dû ».
C’est à l’occasion du premier anniversaire de l’armistice qu’a aussi eu lieu, pour la première fois en France, une minute de silence, un peu partout en France.
Après l’annexion de la Tchécoslovaquie, Hitler entend « ne pas épargner la Pologne ».
Et demain ? Les droits pour, les droit contre, les droits avec…
Le vendredi 25 août, au matin, les Allemands commencent à plier bagage.
Les spécialistes estiment qu’environ un milliard d’obus sont tombés sur le sol français entre le 4 août 1914 et le 11 novembre 1918.
Que dire d’autre sur cet « athlète français du siècle », devant Marie-José Pérec, Guy Drut ou Michel Jazy ? Rien d’autre, sinon : merci, Monsieur, pour votre courage, votre parcours exemplaire dont beaucoup devraient s’inspirer et peut-être assimiler…
La fin de l’année 1920 est marquée par un événement qui va longuement peser sur la politique française : la scission de la Section française de l’Internationale ouvrière (SFIO) lors de son XVIIIe congrès à Tours.
Ce 2 septembre, Napoléon III devient alors le spectateur impuissant de sa propre déroute.
Au cours de cette bataille, 2.655 marsouins dont 30 officiers tués et près de 5.000 Prussiens dont 200 officiers y perdent également la vie.
Depuis le 15 juillet 1870, la France est en guerre avec la Prusse.
À 18 h 50, le général Keitel appose sa signature au bas de la convention… Le général Charles Huntziger signe à son tour. Hitler peut jubiler.
Charles de Gaulle lance alors son appel, qui est finalement plus reproduit et lu, qu’entendu.
Combien sont-ils à avoir quitté le sol français et à avoir rejoint l’Angleterre avant l’appel du général de Gaulle et juste après avoir entendu l’appel à « cesser le combat » du maréchal Pétain ? À vrai dire, une poignée.
Le Conseil des ministres est divisé en trois camps : celui des combattants-résistants, celui des liquidateurs, celui des hésitants qui, chaque heure passant, se rangent dans le deuxième camp…
En coulisse, le clan de la défaite commence à prendre le pas sur celui de la poursuite de la guerre.
La Wehrmacht entre à Paris.
Sentant les Allemands fondre sur la capitale, les Parisiens prennent le chemin de l’exode. Les trois quarts d’entre eux décident de s’éloigner au plus vite.
Le jeune général quitte le front le 5 juin et, le 6, prend son poste de sous-secrétaire d’État chargé de la Défense nationale et de la Guerre…
La Luftwaffe cible le ministère de l’Air, les nombreux aérodromes de Paris et sa couronne, ainsi que les usines Citroën, quai de Javel, qui fabriquent alors des armements.
L’évacuation de Dunkerque reste un exploit : en moins de 10 jours, plus de 330.000 soldats alliés sont ramenés à Douvres.
À l’aube du 21 mai, les armées allemandes encerclent un million de soldats français et alliés (belges et britanniques)…
« Alors c’est la destruction de l’armée française », s’exclame Daladier. « Oui, c’est la destruction de l’armée française », répond Gamelin qui sent arriver le vent de la disgrâce.
Le président du Conseil, Paul Reynaud (1878-1966), fait entrer le vainqueur de Verdun au poste de vice-président du Conseil…
De Gaulle restera discret sur cet épisode mais n’empêchera pas la littérature (Faulkner, Bouchet, Ortoli et bien d’autres) de s’emparer de cet épisode pour renforcer sa légende.
Bataille oubliée de la Seconde Guerre mondiale, Stonne symbolise, à bien des égards, la résistance et la pugnacité de l’armée française face à l’invasion ennemie, suite à l’offensive du 10 mai.
Cette « drôle de guerre » prend fin le 10 mai 1940 avec l’invasion de la Belgique, du Luxembourg et des Pays-Bas par les armées allemandes au sol, précédées par des attaques aériennes.
La maladie serait arrivée à bord d’un bateau en provenance du Levant…
Le général de Gaulle explique aux Français qu’il entend rendre « au vieux franc français une substance conforme au respect qui lui est dû ».
C’est à l’occasion du premier anniversaire de l’armistice qu’a aussi eu lieu, pour la première fois en France, une minute de silence, un peu partout en France.
Après l’annexion de la Tchécoslovaquie, Hitler entend « ne pas épargner la Pologne ».
Et demain ? Les droits pour, les droit contre, les droits avec…
Le vendredi 25 août, au matin, les Allemands commencent à plier bagage.
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