Élections européennes 2019
Moins d’un mois après les élections européennes, Jordan Bardella, jeune tête de liste victorieuse du Rassemblement national, revient sur sa campagne mais aussi sur les
Les dossiers noirs du pouvoir actuel sont accablants. Toutes les oppositions doivent se réunir pour se concentrer sur eux au lieu de se disperser.
Une certaine droite vient de mourir sous nos yeux amusés.
Du côté de La France insoumise de M. Mélenchon, on refuse de rompre avec les vieilles méthodes : stalinien un jour, stalinien toujours !
Emmanuel Macron peut jubiler. Et, paraît-il, avec la modestie qui est la sienne, il ne s’en prive pas : tout se passe comme il l’avait prévu.
Dans trois ans, vous aurez à nouveau à choisir. Renouveler votre confiance à Emmanuel Macron ou revenir à un bulletin d’une droite véritable
Beaucoup d’électeurs qui ne se sentaient ni populistes ni libéraux n’ont-ils pas voté pour le parti écologiste ? Si c’est le cas, le nouveau centre serait teinté de vert.
Rien de changé. Les gilets jaunes se sont fait éborgner pour rien.
Notre athéisme galopant saura-t-il faire face ?
En dépit des craintes des uns ou des espérances des autres, le constat est sans appel.
Retour sur les élections en Espagne où on votait aussi pour des municipales et des régionales, avec une analyse des cas particuliers de Madrid et
La « grande surprise », inséparable d’une élection, serait le vote écolo. Vraiment ?
Au lendemain de la défaite des Républicains aux élections européennes, le mouvement réunissait un bureau politique pour envisager l’avenir. Entre tentation de garder une ligne
Après la défaite électorale de dimanche, la tête de liste François-Xavier Bellamy, devant les siens, a demandé pardon.
LR est un astre mort dont M. Bellamy fut certainement la dernière riante lumière.
Trois années pour changer la donne. C’est court…
Comment expliquer le vote des catholiques aux élections européennes ? Ils ont participé en masse (pour 78 % d’entre eux) ; plus ils se déclarent
En France, le libéral-conservatisme est une impasse.
L’échéance prochaine de mars 2020 avec les municipales verra plus probablement le retour aux fondamentaux locaux s’imposer…
La bourgeoisie, fût-elle catholique, se retrouve de plus en plus dans le projet d’Emmanuel Macron, tandis que les classes populaires, fussent-elles d’origine africaine, se reconnaissent de plus en plus dans le projet du RN.
Les foules sont volages, changeantes, influençables… surtout lorsque les grands médias agitent le seul « argument » qu’ils ont à leur portée : l’épouvantail du « fascisme » et de l’extrémisme.
La Coalition européenne (KE) avait fait de la critique de l’Église catholique et du soutien au lobby LGBT un des axes directeurs de sa campagne.
L’heure n’est plus à la gauche ou à la droite ; de fait, les clivages politiques sont désormais ailleurs : populistes contre mondialistes, classes sociales abandonnées et classes sociales privilégiées, gagnants et perdants de la mondialisation.
Jean-Yves Le Gallou analyse la situation à droite de l’échiquier politique au lendemain des élections européennes. Je vous cite ‘’ percée identitaire, partout sauf en
Cette ligne clairement immigrationniste, très conciliante à l’égard de l’islamisme, totalise plus de 55 % des voix.
Au lendemain des élections européennes, analyse de Guillaume Bernard au micro de Boulevard Voltaire. Au lendemain de ces Européennes, peut-on parler de victoire du Rassemblement
Boulevard Voltaire était, dimanche soir, au QG de campagne des Républicains. Au micro, des jeunes militants mais aussi Nadine Morano et Valérie Boyer. https://www.youtube.com/watch?v=k1KBSriYVck&feature=youtu.be
Un champ de foire où volent les injures en attendant les coups qui, demain, ne manqueront pas de pleuvoir.
Moins d’un mois après les élections européennes, Jordan Bardella, jeune tête de liste victorieuse du Rassemblement national, revient sur sa campagne mais aussi sur les
Les dossiers noirs du pouvoir actuel sont accablants. Toutes les oppositions doivent se réunir pour se concentrer sur eux au lieu de se disperser.
Une certaine droite vient de mourir sous nos yeux amusés.
Du côté de La France insoumise de M. Mélenchon, on refuse de rompre avec les vieilles méthodes : stalinien un jour, stalinien toujours !
Emmanuel Macron peut jubiler. Et, paraît-il, avec la modestie qui est la sienne, il ne s’en prive pas : tout se passe comme il l’avait prévu.
Dans trois ans, vous aurez à nouveau à choisir. Renouveler votre confiance à Emmanuel Macron ou revenir à un bulletin d’une droite véritable
Beaucoup d’électeurs qui ne se sentaient ni populistes ni libéraux n’ont-ils pas voté pour le parti écologiste ? Si c’est le cas, le nouveau centre serait teinté de vert.
Rien de changé. Les gilets jaunes se sont fait éborgner pour rien.
Notre athéisme galopant saura-t-il faire face ?
En dépit des craintes des uns ou des espérances des autres, le constat est sans appel.
Retour sur les élections en Espagne où on votait aussi pour des municipales et des régionales, avec une analyse des cas particuliers de Madrid et
La « grande surprise », inséparable d’une élection, serait le vote écolo. Vraiment ?
Au lendemain de la défaite des Républicains aux élections européennes, le mouvement réunissait un bureau politique pour envisager l’avenir. Entre tentation de garder une ligne
Après la défaite électorale de dimanche, la tête de liste François-Xavier Bellamy, devant les siens, a demandé pardon.
LR est un astre mort dont M. Bellamy fut certainement la dernière riante lumière.
Trois années pour changer la donne. C’est court…
Comment expliquer le vote des catholiques aux élections européennes ? Ils ont participé en masse (pour 78 % d’entre eux) ; plus ils se déclarent
En France, le libéral-conservatisme est une impasse.
L’échéance prochaine de mars 2020 avec les municipales verra plus probablement le retour aux fondamentaux locaux s’imposer…
La bourgeoisie, fût-elle catholique, se retrouve de plus en plus dans le projet d’Emmanuel Macron, tandis que les classes populaires, fussent-elles d’origine africaine, se reconnaissent de plus en plus dans le projet du RN.
Les foules sont volages, changeantes, influençables… surtout lorsque les grands médias agitent le seul « argument » qu’ils ont à leur portée : l’épouvantail du « fascisme » et de l’extrémisme.
La Coalition européenne (KE) avait fait de la critique de l’Église catholique et du soutien au lobby LGBT un des axes directeurs de sa campagne.
L’heure n’est plus à la gauche ou à la droite ; de fait, les clivages politiques sont désormais ailleurs : populistes contre mondialistes, classes sociales abandonnées et classes sociales privilégiées, gagnants et perdants de la mondialisation.
Jean-Yves Le Gallou analyse la situation à droite de l’échiquier politique au lendemain des élections européennes. Je vous cite ‘’ percée identitaire, partout sauf en
Cette ligne clairement immigrationniste, très conciliante à l’égard de l’islamisme, totalise plus de 55 % des voix.
Au lendemain des élections européennes, analyse de Guillaume Bernard au micro de Boulevard Voltaire. Au lendemain de ces Européennes, peut-on parler de victoire du Rassemblement
Boulevard Voltaire était, dimanche soir, au QG de campagne des Républicains. Au micro, des jeunes militants mais aussi Nadine Morano et Valérie Boyer. https://www.youtube.com/watch?v=k1KBSriYVck&feature=youtu.be
Un champ de foire où volent les injures en attendant les coups qui, demain, ne manqueront pas de pleuvoir.
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