Santé et Politique
Devant son écran, le téléspectateur est dubitatif.
Il ne s’agit pas ici d’une simple question prophylactique mais bien d’une question philosophique et plus spécifiquement anthropologique.
Triste reconnaissance pour ces héros applaudis il y a un an, corvéables à merci, équipés de sacs poubelle en guise de combinaison et sommés aujourd’hui de se faire vacciner ou ne plus être payé.
La malhonnêteté de Macron dans son allocution a été de mépriser l’intelligence et la solidarité des Français…
Dans le même été, les citoyens apprennent donc que la PMA pour toutes sera remboursée avec leurs impôts mais qu’ils devront payer un test PCR (ou se faire vacciner) s’ils veulent boire un verre…
Et les camps de rééducation, c’est pour quand ? Le printemps 2022 ?
Quelque chose me dit d’ailleurs que dans la campagne de diabolisation des non-vaccinés, le gouvernement saura habilement contourner la Seine-Saint-Denis pour venir stigmatiser la Lozère.
Le mammouth applique sans broncher toutes les consignes gouvernementales.
Le professeur Raoult est en revanche sceptique sur la vaccination anti-Covid pour les enfants.
Sa démonstration était ostensiblement anti-obligation vaccinale. Cependant, il n’exclut pas une incitation vaccinale.
Les soignants sont de plus en plus ulcérés par ce mode de fonctionnement qui privilégie la rentabilité aux dépens de la qualité des soins.
La désertion des vaccinodromes sera-t-elle l’occasion pour les Français d’exprimer, comme lors des élections régionales et départementales de juin dernier, leur ras-le-bol ?
Chronique d’une fracture sociale s’entrecroisant avec la fracture médicale.
Quand on fait de la consommation l’alpha et l’oméga du devoir citoyen, il ne faut s’étonner de rien…
Il faut espérer que la phrase du président de la République encouragera les femmes qui ont souffert de leur avortement à sortir du silence pour rétablir enfin la vérité.
Avec l’annonce d’une potentielle quatrième vague de l’épidémie de Covid en septembre, des voix s’élèvent ici et là pour préconiser la vaccination obligatoire : pour
La vaccination anti-Covid est l’occasion de tenter de réduire l’individualisme, notamment d’enseigner aux jeunes l’altruisme.
Le gouvernement souffle le chaud et le froid sur l’obligation vaccinale.
Autant dire qu’en vertu du « en même temps », nous y allons tout droit…
Ce plan d’investissement annoncé par Emmanuel Macron a pour but de permettre à la France de devenir leader européen en innovation dans le secteur de la santé avec, en plus, un objectif de souveraineté technologique.
Imaginons un monde, nihiliste et indifférentialiste, strictement « hygiéniste », à tel point que la santé devienne une valeur de remplacement, une fin en soi, et non plus un simple moyen de demeurer en état d’exercer ses aspirations culturelles, familiales, spirituelles…
Le ministre a annoncé que la CNIL allait rendre un avis favorable jeudi.
Pourquoi tant de mauvaise volonté pour favoriser l’étude de médicaments qui, sans être la panacée absolue, peuvent se révéler d’une grande utilité pour traiter le Covid ?
Le monde de demain, promis par le Président Macron, est une bulle qui crève.
La stratégie gouvernementale est à terre, une fois de plus.
La nouvelle religion écologiste gangrène presque tous les domaines, mais j’étais loin d’imaginer qu’elle infecterait si vite mon lieu de travail – la salle d’opération – et, plus largement, le monde hospitalier.
Nos décideurs, chaloupant entre la « précaution » et le « quoi qu’il en coûte » sont tels des conducteurs ivres, ne sachant piloter que par grands coups de volant d’un côté (précaution), puis, de l’autre (quoi qu’il en coûte)…
Devant son écran, le téléspectateur est dubitatif.
Il ne s’agit pas ici d’une simple question prophylactique mais bien d’une question philosophique et plus spécifiquement anthropologique.
Triste reconnaissance pour ces héros applaudis il y a un an, corvéables à merci, équipés de sacs poubelle en guise de combinaison et sommés aujourd’hui de se faire vacciner ou ne plus être payé.
La malhonnêteté de Macron dans son allocution a été de mépriser l’intelligence et la solidarité des Français…
Dans le même été, les citoyens apprennent donc que la PMA pour toutes sera remboursée avec leurs impôts mais qu’ils devront payer un test PCR (ou se faire vacciner) s’ils veulent boire un verre…
Et les camps de rééducation, c’est pour quand ? Le printemps 2022 ?
Quelque chose me dit d’ailleurs que dans la campagne de diabolisation des non-vaccinés, le gouvernement saura habilement contourner la Seine-Saint-Denis pour venir stigmatiser la Lozère.
Le mammouth applique sans broncher toutes les consignes gouvernementales.
Le professeur Raoult est en revanche sceptique sur la vaccination anti-Covid pour les enfants.
Sa démonstration était ostensiblement anti-obligation vaccinale. Cependant, il n’exclut pas une incitation vaccinale.
Les soignants sont de plus en plus ulcérés par ce mode de fonctionnement qui privilégie la rentabilité aux dépens de la qualité des soins.
La désertion des vaccinodromes sera-t-elle l’occasion pour les Français d’exprimer, comme lors des élections régionales et départementales de juin dernier, leur ras-le-bol ?
Chronique d’une fracture sociale s’entrecroisant avec la fracture médicale.
Quand on fait de la consommation l’alpha et l’oméga du devoir citoyen, il ne faut s’étonner de rien…
Il faut espérer que la phrase du président de la République encouragera les femmes qui ont souffert de leur avortement à sortir du silence pour rétablir enfin la vérité.
Avec l’annonce d’une potentielle quatrième vague de l’épidémie de Covid en septembre, des voix s’élèvent ici et là pour préconiser la vaccination obligatoire : pour
La vaccination anti-Covid est l’occasion de tenter de réduire l’individualisme, notamment d’enseigner aux jeunes l’altruisme.
Le gouvernement souffle le chaud et le froid sur l’obligation vaccinale.
Autant dire qu’en vertu du « en même temps », nous y allons tout droit…
Ce plan d’investissement annoncé par Emmanuel Macron a pour but de permettre à la France de devenir leader européen en innovation dans le secteur de la santé avec, en plus, un objectif de souveraineté technologique.
Imaginons un monde, nihiliste et indifférentialiste, strictement « hygiéniste », à tel point que la santé devienne une valeur de remplacement, une fin en soi, et non plus un simple moyen de demeurer en état d’exercer ses aspirations culturelles, familiales, spirituelles…
Le ministre a annoncé que la CNIL allait rendre un avis favorable jeudi.
Pourquoi tant de mauvaise volonté pour favoriser l’étude de médicaments qui, sans être la panacée absolue, peuvent se révéler d’une grande utilité pour traiter le Covid ?
Le monde de demain, promis par le Président Macron, est une bulle qui crève.
La stratégie gouvernementale est à terre, une fois de plus.
La nouvelle religion écologiste gangrène presque tous les domaines, mais j’étais loin d’imaginer qu’elle infecterait si vite mon lieu de travail – la salle d’opération – et, plus largement, le monde hospitalier.
Nos décideurs, chaloupant entre la « précaution » et le « quoi qu’il en coûte » sont tels des conducteurs ivres, ne sachant piloter que par grands coups de volant d’un côté (précaution), puis, de l’autre (quoi qu’il en coûte)…