Environnement
La liaison ferroviaire entre Perpignan et le marché d’intérêt national de Rungis est menacée.
Vous y comprenez quelque chose ? Moi non. Je ne suis pas chimiste, pas agrochimiste, pas scientifique, pas experte…
À mon avis, la trottinette à voile ou à vapeur n’a pas un grand avenir.
Élisabeth Lévy, fondatrice et directrice de la rédaction de Causeur, revient sur le débat houleux qui l’a opposée à Claire Nouvian, militante écologiste et cofondatrice
Il est bien plus facile de mettre en place des interdictions et des taxes en tout genre que de redresser la situation économique du pays ou de satisfaire aux revendications des gilets jaunes.
Il faudrait quand même expliquer au peuple où ces bons apôtres voudraient le conduire…
En matière d’écologie, la famille n’a pas attendu Emmanuel Macron pour avoir des idées : qui dit famille nombreuse dit niveau de vie diminué, choix à l’économie, non-gaspillage, recyclage des vêtements…
Le New York Times, phare de la pensée branchée, s’est avisé que les grands marathons urbains laissaient une « empreinte carbone » absolument désastreuse.
C’est le mot d’ordre, aujourd’hui, car la question est de sauver… Bayer !
Le pays réel plutôt que Tricatel.
Un livre à lire par tous ceux qui veulent réfléchir en toute liberté à ce qui est devenu une chasse gardée des idéologues et des affairistes du « green business ».
Telle une Marie-Madeleine… à la différence près que ce n’est pas sur ses péchés mais sur ceux des autres !
cette mise en scène pourrait prêter à sourire si, derrière celle-ci, ne se cachait pas la volonté du gouvernement d’ériger en religion d’État le climat, ou plus exactement la régulation du climat.
L’atteinte aux paysages, à l’identité des lieux, peut ainsi atteindre sournoisement le moral des « rurbains ».
Nous avons donc largement de quoi nous inquiéter… mais pas du climat.
Il n’est pas donné à tout le monde de voir le loup…
Amoureux des vieilles pierres, de nos paysages si divers et si majestueux, en un mot amoureux de notre pays et de ses habitants, nous avons été des centaines de milliers de Français à crier aux membres du gouvernement : halte à l’éolien !
Le capitalisme doit enfin retourner dans son lit. Il doit redevenir un moyen et non un but.
Autrefois, Jérôme Savonarole prédisait l’enfer à ceux qui ne se repentaient pas à temps. Maintenant, on nous promet de mourir grillé ou asphyxié si on n’aide pas le lobby vert à instaurer sa « dictature » écologique.
…ces marcheurs du samedi n’étaient plus du tout les mêmes que d’habitude : plutôt bobo verdâtre que gilets jaunes contestataires.
Tant qu’il est question de protéger la planète, plus c’est gros, plus ça passe !
Cette forme de jeunisme, loin de respecter les élèves, revient à les flatter pour mieux les dominer.
Des cataclysmes infernaux nous attendent. Tremblez, peuplades, les océans vont déborder, les thermomètres exploser, les dinosaures revenir.
Rappelons que le gros cœur rouge d’Anne Hidalgo a coûté 650 000 €. Plus de la moitié, donc, de ce qu’il faudrait pour Sénanque. Mais les goûts et les couleurs…
La France ne produit que 1 % du gaz carbonique planétaire (moins de 300 millions de tonnes) grâce, notamment, à son électricité d’origine nucléaire et hydraulique.
Au programme de ce goûter d’enfants : l’écologie.
C’est d’écologie du tiroir-caisse qu’il est question.
La transition écologique est trop souvent réduite à la seule nécessité de lutter contre le réchauffement climatique.
La liaison ferroviaire entre Perpignan et le marché d’intérêt national de Rungis est menacée.
Vous y comprenez quelque chose ? Moi non. Je ne suis pas chimiste, pas agrochimiste, pas scientifique, pas experte…
À mon avis, la trottinette à voile ou à vapeur n’a pas un grand avenir.
Élisabeth Lévy, fondatrice et directrice de la rédaction de Causeur, revient sur le débat houleux qui l’a opposée à Claire Nouvian, militante écologiste et cofondatrice
Il est bien plus facile de mettre en place des interdictions et des taxes en tout genre que de redresser la situation économique du pays ou de satisfaire aux revendications des gilets jaunes.
Il faudrait quand même expliquer au peuple où ces bons apôtres voudraient le conduire…
En matière d’écologie, la famille n’a pas attendu Emmanuel Macron pour avoir des idées : qui dit famille nombreuse dit niveau de vie diminué, choix à l’économie, non-gaspillage, recyclage des vêtements…
Le New York Times, phare de la pensée branchée, s’est avisé que les grands marathons urbains laissaient une « empreinte carbone » absolument désastreuse.
C’est le mot d’ordre, aujourd’hui, car la question est de sauver… Bayer !
Le pays réel plutôt que Tricatel.
Un livre à lire par tous ceux qui veulent réfléchir en toute liberté à ce qui est devenu une chasse gardée des idéologues et des affairistes du « green business ».
Telle une Marie-Madeleine… à la différence près que ce n’est pas sur ses péchés mais sur ceux des autres !
cette mise en scène pourrait prêter à sourire si, derrière celle-ci, ne se cachait pas la volonté du gouvernement d’ériger en religion d’État le climat, ou plus exactement la régulation du climat.
L’atteinte aux paysages, à l’identité des lieux, peut ainsi atteindre sournoisement le moral des « rurbains ».
Nous avons donc largement de quoi nous inquiéter… mais pas du climat.
Il n’est pas donné à tout le monde de voir le loup…
Amoureux des vieilles pierres, de nos paysages si divers et si majestueux, en un mot amoureux de notre pays et de ses habitants, nous avons été des centaines de milliers de Français à crier aux membres du gouvernement : halte à l’éolien !
Le capitalisme doit enfin retourner dans son lit. Il doit redevenir un moyen et non un but.
Autrefois, Jérôme Savonarole prédisait l’enfer à ceux qui ne se repentaient pas à temps. Maintenant, on nous promet de mourir grillé ou asphyxié si on n’aide pas le lobby vert à instaurer sa « dictature » écologique.
…ces marcheurs du samedi n’étaient plus du tout les mêmes que d’habitude : plutôt bobo verdâtre que gilets jaunes contestataires.
Tant qu’il est question de protéger la planète, plus c’est gros, plus ça passe !
Cette forme de jeunisme, loin de respecter les élèves, revient à les flatter pour mieux les dominer.
Des cataclysmes infernaux nous attendent. Tremblez, peuplades, les océans vont déborder, les thermomètres exploser, les dinosaures revenir.
Rappelons que le gros cœur rouge d’Anne Hidalgo a coûté 650 000 €. Plus de la moitié, donc, de ce qu’il faudrait pour Sénanque. Mais les goûts et les couleurs…
La France ne produit que 1 % du gaz carbonique planétaire (moins de 300 millions de tonnes) grâce, notamment, à son électricité d’origine nucléaire et hydraulique.
Au programme de ce goûter d’enfants : l’écologie.
C’est d’écologie du tiroir-caisse qu’il est question.
La transition écologique est trop souvent réduite à la seule nécessité de lutter contre le réchauffement climatique.
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