Les Français vont-ils accepter, soumis, d’avoir été trompés, trahis, humiliés et de l’être à nouveau cinq ans de plus ?
L’hypothèse d’une incarnation par défaut ne doit pas être écartée : certes, il incarne peu, mais les autres encore moins.
Que le Président qui a gagné en 2017 grâce à un coup d’État médiatico-judiciaire soit en train de rééditer l’opération en enjambant la campagne, voilà qui n’illustre guère pourtant le fonctionnement normal d’une démocratie
Malgré les appels belliqueux de BHL, dont on feint d’oublier les meurtrières erreurs, l’Union européenne ne fait pas encore la guerre, mais désormais, elle achète et fournit des armes à un belligérant en dehors de ses compétences reconnues par les traités.
Il faudrait plus s’interroger sur la part de folie qui, depuis bien longtemps, a envahi l’oligarchie politique et médiatique occidentale que sur la supposée « paranoïa » de Vladimir Poutine.
Poutine arrive au pouvoir au début du nouveau millénaire, et avec lui les perspectives changent. C’est un patriote qui n’accepte pas que la Russie ait perdu la « grandeur », comme aurait dit de Gaulle.
Le problème ukrainien aurait dû être traité avec réalisme. Mais les strates mémorielles accumulées sur cette partie du monde et leur utilisation par les acteurs du drame selon leurs intérêts divergents ont éloigné toute solution raisonnable.
On comprend que le locataire de l’Élysée préfère jouer les importants sur la scène internationale.
Une nation ne peut se redresser que si elle cultive sa fierté ! C’est ce que Zemmour a compris !
Ce scénario qui est celui de la décadence perçue comme un progrès veut ignorer la force des identités collectives, la puissance du « nous » face au « je » qui a toujours permis à l’humanité de se redresser.
Les ennuis politiques internes de M. Johnson ou de M. Biden n’ont pas à encombrer l’avenir des nations européennes. Ce serait l’honneur de la France que de le dire !
Ne peut-on souhaiter cependant que ce soit cette politique-spectacle qui meure, non le taureau qui s’attaque à elle ?
Lors des prochaines élections présidentielles et législatives, le choix crucial auquel les Français sont confrontés est celui de la survie de la France…
Guillaume Peltier, lui, n’a guère changé d’idées : patriote, souverainiste, libéral-conservateur, son passage d’un parti à l’autre ne l’a jamais éloigné de sa ligne de pensée.
Le Covid aura été la chance inespérée, la bouée offerte au successeur et ancien collaborateur de Hollande : il en a saisi l’occasion avec délices.
Il est temps que les « dominants » rendent gorge, abattent leurs statues, rayent le nom de leurs saints, s’agenouillent et se prosternent pour se repentir des crimes commis par leurs ancêtres, abandonnent langue, culture et religion pour accueillir avec reconnaissance et respect celles des autres.
Notre civilisation doit désormais s’écrire avec une gomme, celle qui efface les noms des hommes à admirer, et même leur sexe ou leur couleur.
La durée et la survie d’un parti au prix des idées qui le fondent ne sont pas un exemple à suivre : la droite française devrait s’inspirer de cette leçon.
Encore une fois, le sujet n’est pas la France réelle, mais l’individu Macron.
Il n’est pas étonnant qu’un Mélenchon approuve l’attitude des indépendantistes et refuse toute légitimité au scrutin.
Zemmour n’est pas un candidat à l’élection présidentielle mais une cible à pourfendre.
Mais si, d’aventure, Valérie Pécresse, avec du Zemmour adouci et une personnalité plus rassurante, pouvait être élue, on risquerait évidemment de connaître l’expérience vécue avec les Chirac et autres Sarkozy…
Désormais, sa réussite ou son échec dépendent d’une part du poids immense des intérêts qu’il bouscule, d’autre part de sa capacité à s’élever sans cesse à la hauteur de son idéal.
L’infernal trio de la pensée unique, du politiquement correct et du terrorisme intellectuel a progressivement mis fin au pluralisme.
Qui imaginerait que la continuité de la France et de son État, inséparable de l’unité nationale et de l’indépendance du pays, qui était l’essence même du gaullisme en 1940, puisse s’accommoder de la situation que les politiciens qui se sont succédé au pouvoir ont créée…
Si l’on voulait prouver l’existence de relents totalitaires dans la politique française, il n’y aurait qu’à citer les mauvaises dénominations d’une pensée ou d’un homme, au point qu’elles deviennent les formulations les plus courantes.
Zemmour est radicalement français, et en cela, il retrouve le gaullisme, l’idée que l’intérêt supérieur de la nation prime tout en politique…
On veut bien donner de l’argent aux pauvres, mais à condition qu’ils restent sages et votent bien.
Les Français vont-ils accepter, soumis, d’avoir été trompés, trahis, humiliés et de l’être à nouveau cinq ans de plus ?
L’hypothèse d’une incarnation par défaut ne doit pas être écartée : certes, il incarne peu, mais les autres encore moins.
Que le Président qui a gagné en 2017 grâce à un coup d’État médiatico-judiciaire soit en train de rééditer l’opération en enjambant la campagne, voilà qui n’illustre guère pourtant le fonctionnement normal d’une démocratie
Malgré les appels belliqueux de BHL, dont on feint d’oublier les meurtrières erreurs, l’Union européenne ne fait pas encore la guerre, mais désormais, elle achète et fournit des armes à un belligérant en dehors de ses compétences reconnues par les traités.
Il faudrait plus s’interroger sur la part de folie qui, depuis bien longtemps, a envahi l’oligarchie politique et médiatique occidentale que sur la supposée « paranoïa » de Vladimir Poutine.
Poutine arrive au pouvoir au début du nouveau millénaire, et avec lui les perspectives changent. C’est un patriote qui n’accepte pas que la Russie ait perdu la « grandeur », comme aurait dit de Gaulle.
Le problème ukrainien aurait dû être traité avec réalisme. Mais les strates mémorielles accumulées sur cette partie du monde et leur utilisation par les acteurs du drame selon leurs intérêts divergents ont éloigné toute solution raisonnable.
On comprend que le locataire de l’Élysée préfère jouer les importants sur la scène internationale.
Une nation ne peut se redresser que si elle cultive sa fierté ! C’est ce que Zemmour a compris !
Ce scénario qui est celui de la décadence perçue comme un progrès veut ignorer la force des identités collectives, la puissance du « nous » face au « je » qui a toujours permis à l’humanité de se redresser.
Les ennuis politiques internes de M. Johnson ou de M. Biden n’ont pas à encombrer l’avenir des nations européennes. Ce serait l’honneur de la France que de le dire !
Ne peut-on souhaiter cependant que ce soit cette politique-spectacle qui meure, non le taureau qui s’attaque à elle ?
Lors des prochaines élections présidentielles et législatives, le choix crucial auquel les Français sont confrontés est celui de la survie de la France…
Guillaume Peltier, lui, n’a guère changé d’idées : patriote, souverainiste, libéral-conservateur, son passage d’un parti à l’autre ne l’a jamais éloigné de sa ligne de pensée.
Le Covid aura été la chance inespérée, la bouée offerte au successeur et ancien collaborateur de Hollande : il en a saisi l’occasion avec délices.
Il est temps que les « dominants » rendent gorge, abattent leurs statues, rayent le nom de leurs saints, s’agenouillent et se prosternent pour se repentir des crimes commis par leurs ancêtres, abandonnent langue, culture et religion pour accueillir avec reconnaissance et respect celles des autres.
Notre civilisation doit désormais s’écrire avec une gomme, celle qui efface les noms des hommes à admirer, et même leur sexe ou leur couleur.
La durée et la survie d’un parti au prix des idées qui le fondent ne sont pas un exemple à suivre : la droite française devrait s’inspirer de cette leçon.
Encore une fois, le sujet n’est pas la France réelle, mais l’individu Macron.
Il n’est pas étonnant qu’un Mélenchon approuve l’attitude des indépendantistes et refuse toute légitimité au scrutin.
Zemmour n’est pas un candidat à l’élection présidentielle mais une cible à pourfendre.
Mais si, d’aventure, Valérie Pécresse, avec du Zemmour adouci et une personnalité plus rassurante, pouvait être élue, on risquerait évidemment de connaître l’expérience vécue avec les Chirac et autres Sarkozy…
Désormais, sa réussite ou son échec dépendent d’une part du poids immense des intérêts qu’il bouscule, d’autre part de sa capacité à s’élever sans cesse à la hauteur de son idéal.
L’infernal trio de la pensée unique, du politiquement correct et du terrorisme intellectuel a progressivement mis fin au pluralisme.
Qui imaginerait que la continuité de la France et de son État, inséparable de l’unité nationale et de l’indépendance du pays, qui était l’essence même du gaullisme en 1940, puisse s’accommoder de la situation que les politiciens qui se sont succédé au pouvoir ont créée…
Si l’on voulait prouver l’existence de relents totalitaires dans la politique française, il n’y aurait qu’à citer les mauvaises dénominations d’une pensée ou d’un homme, au point qu’elles deviennent les formulations les plus courantes.
Zemmour est radicalement français, et en cela, il retrouve le gaullisme, l’idée que l’intérêt supérieur de la nation prime tout en politique…
On veut bien donner de l’argent aux pauvres, mais à condition qu’ils restent sages et votent bien.