Agriculture

Vous y comprenez quelque chose ? Moi non. Je ne suis pas chimiste, pas agrochimiste, pas scientifique, pas experte…

Le joug, la herse, la faucille et l’araire pourraient revenir en force dans nos campagnes !

Cela lui plaît-il ? « Ah, ça me plaît, oui ! »

C’est le mot d’ordre, aujourd’hui, car la question est de sauver… Bayer !

Le pays réel plutôt que Tricatel.
On apprendra peut-être un jour que le Conseil des ministres a lieu le matin pour s’assurer que tous les participants soient à jeun.
Notre reporter était présent aujourd’hui au Salon de l’agriculture. Il est allé à la rencontre d’élus présents dans les allées de « la plus grande ferme

Passer 15 heures au Salon de l’agriculture, c’est bien. Mais se frotter au cul des vaches ne permettra jamais de se frotter aux difficultés de notre pays.

Faut-il montrer une brave laitière échouée sur une plage ou dérivant seule sur un morceau de banquise pour alerter l’opinion ?
Les agriculteurs français qui sont bons, mais pas cons et surtout pas dupes, ne souhaitent pas devenir les dindons de cette farce politico-économique.
Désormais, des milliers d’agriculteurs et PME de l’agro-alimentaire travaillent d’arrache-pied au profit de cinq centrales d’achat.

À ce rythme, on s’apercevra un jour, en se réveillant, que la France n’appartient plus aux Français mais à la finance internationale.

Je me suis dit « méfiance, méfiance, ne prends aucun risque »…

Comme dans bien d’autres domaines, la méthode Macron, c’est l’accouchement sans douleur, mais sans enfant !

Une leçon de militantisme journalistique.

C’est la course à l’agrandissement qui commence et cette nouvelle politique sonne le glas du modèle d’exploitation familiale, tradition multiséculaire de l’agriculture française.
Loup Mautin, lui-même agriculteur, évoque le cas de cet éleveur de volailles de Bresse, criant sa détresse dans une vidéo, alors qu’il fournit les meilleures

Mon objectif n’est pas de montrer du doigt les chasseurs mais de faire prendre conscience que les animaux ne sont pas des objets.

Nos députés peuvent, d’ailleurs, bien voter ce qu’ils veulent, le droit européen primera toujours sur le droit français.

En Europe, Bruxelles a renouvelé pour cinq ans l’autorisation du glyphosate…

Avec Donald Trump, tout passe, mais rien ne se ressemble.

Alors oui, d’étranges questions assaillent légitimement les Français devant l’omniprésence d’Alexandre Benalla auprès du Président Macron.

Dans la foulée de la tournée triomphale de François Hollande serait bientôt annoncée celle de Peter et Sloane.
Pascal Aubry, éleveur de porcs et président de la section porcine du syndicat Coordination rurale, s’élève contre les prochaines importations de porc canadien, consécutives à
Notre pauvre porc français se retrouve noyé sous la boue d’un mondialisme infra-culturel « fast, quick and fit » qui sacrifie nos traditions gastronomiques et, avec elles, notre paysannerie et notre artisanat.

Alors toute cette histoire pour un coup de rosé espagnol… D’autant qu’avec la France de Macron, l’Espagne est le dernier pays à feindre de croire en une Union européenne vierge de chauvins nauséabonds…

Devrons-nous demain, tels les premiers chrétiens, nous réunir dans d’obscures catacombes pour pouvoir échanger de libres propos ?
L’éclair de lucidité dont fait preuve le président du Sénat tient dans cette phrase terrible : « Des Aquarius, il y en aura des dizaines et des dizaines. »

Vous y comprenez quelque chose ? Moi non. Je ne suis pas chimiste, pas agrochimiste, pas scientifique, pas experte…

Le joug, la herse, la faucille et l’araire pourraient revenir en force dans nos campagnes !

Cela lui plaît-il ? « Ah, ça me plaît, oui ! »

C’est le mot d’ordre, aujourd’hui, car la question est de sauver… Bayer !

Le pays réel plutôt que Tricatel.
On apprendra peut-être un jour que le Conseil des ministres a lieu le matin pour s’assurer que tous les participants soient à jeun.
Notre reporter était présent aujourd’hui au Salon de l’agriculture. Il est allé à la rencontre d’élus présents dans les allées de « la plus grande ferme

Passer 15 heures au Salon de l’agriculture, c’est bien. Mais se frotter au cul des vaches ne permettra jamais de se frotter aux difficultés de notre pays.

Faut-il montrer une brave laitière échouée sur une plage ou dérivant seule sur un morceau de banquise pour alerter l’opinion ?
Les agriculteurs français qui sont bons, mais pas cons et surtout pas dupes, ne souhaitent pas devenir les dindons de cette farce politico-économique.
Désormais, des milliers d’agriculteurs et PME de l’agro-alimentaire travaillent d’arrache-pied au profit de cinq centrales d’achat.

À ce rythme, on s’apercevra un jour, en se réveillant, que la France n’appartient plus aux Français mais à la finance internationale.

Je me suis dit « méfiance, méfiance, ne prends aucun risque »…

Comme dans bien d’autres domaines, la méthode Macron, c’est l’accouchement sans douleur, mais sans enfant !

Une leçon de militantisme journalistique.

C’est la course à l’agrandissement qui commence et cette nouvelle politique sonne le glas du modèle d’exploitation familiale, tradition multiséculaire de l’agriculture française.
Loup Mautin, lui-même agriculteur, évoque le cas de cet éleveur de volailles de Bresse, criant sa détresse dans une vidéo, alors qu’il fournit les meilleures

Mon objectif n’est pas de montrer du doigt les chasseurs mais de faire prendre conscience que les animaux ne sont pas des objets.

Nos députés peuvent, d’ailleurs, bien voter ce qu’ils veulent, le droit européen primera toujours sur le droit français.

En Europe, Bruxelles a renouvelé pour cinq ans l’autorisation du glyphosate…

Avec Donald Trump, tout passe, mais rien ne se ressemble.

Alors oui, d’étranges questions assaillent légitimement les Français devant l’omniprésence d’Alexandre Benalla auprès du Président Macron.

Dans la foulée de la tournée triomphale de François Hollande serait bientôt annoncée celle de Peter et Sloane.
Pascal Aubry, éleveur de porcs et président de la section porcine du syndicat Coordination rurale, s’élève contre les prochaines importations de porc canadien, consécutives à
Notre pauvre porc français se retrouve noyé sous la boue d’un mondialisme infra-culturel « fast, quick and fit » qui sacrifie nos traditions gastronomiques et, avec elles, notre paysannerie et notre artisanat.

Alors toute cette histoire pour un coup de rosé espagnol… D’autant qu’avec la France de Macron, l’Espagne est le dernier pays à feindre de croire en une Union européenne vierge de chauvins nauséabonds…

Devrons-nous demain, tels les premiers chrétiens, nous réunir dans d’obscures catacombes pour pouvoir échanger de libres propos ?
L’éclair de lucidité dont fait preuve le président du Sénat tient dans cette phrase terrible : « Des Aquarius, il y en aura des dizaines et des dizaines. »
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