Agriculture
La libéralisation permet aux spéculateurs des profits gigantesques sans contrepartie collective : c’est la socialisation des pertes et la privatisation des gains.
La loi relative à l’accaparement des terres agricoles a été en partie invalidée par le Conseil constitutionnel en mars 2017.
Le Salon de l’Agriculture est une scène importante de la politique. Ce fut l’Olympia de Narcisse-Jupiter !
Le rapport sur la « voie professionnelle scolaire » a été remis au ministre de l’Éducation nationale jeudi 22 février. Plusieurs aspects sont à regretter dans ce rapport.
Record battu : plus de douze heures à déambuler à travers la ferme. Vraiment, Il est trop fort. Même dans les colonnes de Boulevard Voltaire, certains n’en reviennent pas.
La Commission européenne minimise déjà l’impact de la fin des droits de douanes…
Je n’ai pas oublié le casse-toi pauvre con de Nicolas Sarkozy et les blagues incessantes de François Hollande…
Il ne sera pas dit que le président de la République et le gouvernement d’Edouard Philippe n’auront rien fait pour sauver les paysans français… Mais que penser de toutes ces annonces ?
Le look trader aux dents longues ne passe pas auprès du monde rural. Même avec des bottes en caoutchouc, personne n’y croit.
60 % des céréaliers ne dégagent plus de revenus et 30 % des agriculteurs vivent avec moins de 400 € par mois.
Selon l’AfD, le futur gouvernement a décidé de poursuivre la politique chaotique d’asile.
La France a mis en place, dès 2014, une stratégie de recherche sur le sujet, comme le Danemark et la Suède, mais hélas, le reste de l’Europe ne semble pas particulièrement concerné.
Manifestement ravi de lui-même, et tout sourire, il vole d’une capitale africaine à une autre pour promouvoir l’éducation des jeunes filles et la lutte contre le réchauffement climatique.
Marlène Schiappa a divisé la classe politique ces jours derniers en commentant une affaire judiciaire en cours : celle du couple Daval.
Les responsables des grandes enseignes ne sont pas des philanthropes.
La production intensive, la mécanisation outrancière, le mépris affiché pour les savoir-faire ancestraux, la fracture avec le monde paysan ont entrainé une rupture profonde dans les tissus économiques et sociologiques de notre pays.
Philippe de Villiers réagit, en exclusivité au micro de Boulevard Voltaire, sur l’abandon d’un « grand projet stupide et utopique ».
Chacun s’est résigné à ne pas contester les « succès » industriels et commerciaux annoncés par les chefs d’État lors de leurs pérégrinations internationales.
M. Bussereau va-t-il adhérer à LREM, qui correspond si bien à ses aspirations ?
A partir de cette année, les repas de substitution – c’est-à-dire sans porc – sont supprimés dans les cantines des écoles publiques de Beaucaire (Gard).
On remarque plus facilement ceux qui dorment dans les rues de nos grandes villes que ceux qui persévèrent laborieusement dans la France des clochers. Ne les abandonnons pas.
La meilleure réponse est sans doute d’ordre éthique et elle devrait être collective, dans nos modes de consommation.
Le christianisme rendu à lui-même apporte beaucoup au monde, mais à condition qu’il ait encore la possibilité d’être lui-même.
S’il y a un sujet sur lequel il ne faut pas titiller les Français, c’est bien la nourriture.
« Je suis persuadé que cette notion de conservatisme est la seule qui puisse aujourd’hui fédérer les droites. »
L’opposition assiste, impuissante, au toilettage qui a consolidé les relations entre le redouté parti de Mugabe, et les militaires désormais au pouvoir.
Ces achats de terre, sans sonner le glas de la paysannerie française, depuis longtemps en déliquescence, ne manquent pas de laisser perplexe.
La libéralisation permet aux spéculateurs des profits gigantesques sans contrepartie collective : c’est la socialisation des pertes et la privatisation des gains.
La loi relative à l’accaparement des terres agricoles a été en partie invalidée par le Conseil constitutionnel en mars 2017.
Le Salon de l’Agriculture est une scène importante de la politique. Ce fut l’Olympia de Narcisse-Jupiter !
Le rapport sur la « voie professionnelle scolaire » a été remis au ministre de l’Éducation nationale jeudi 22 février. Plusieurs aspects sont à regretter dans ce rapport.
Record battu : plus de douze heures à déambuler à travers la ferme. Vraiment, Il est trop fort. Même dans les colonnes de Boulevard Voltaire, certains n’en reviennent pas.
La Commission européenne minimise déjà l’impact de la fin des droits de douanes…
Je n’ai pas oublié le casse-toi pauvre con de Nicolas Sarkozy et les blagues incessantes de François Hollande…
Il ne sera pas dit que le président de la République et le gouvernement d’Edouard Philippe n’auront rien fait pour sauver les paysans français… Mais que penser de toutes ces annonces ?
Le look trader aux dents longues ne passe pas auprès du monde rural. Même avec des bottes en caoutchouc, personne n’y croit.
60 % des céréaliers ne dégagent plus de revenus et 30 % des agriculteurs vivent avec moins de 400 € par mois.
Selon l’AfD, le futur gouvernement a décidé de poursuivre la politique chaotique d’asile.
La France a mis en place, dès 2014, une stratégie de recherche sur le sujet, comme le Danemark et la Suède, mais hélas, le reste de l’Europe ne semble pas particulièrement concerné.
Manifestement ravi de lui-même, et tout sourire, il vole d’une capitale africaine à une autre pour promouvoir l’éducation des jeunes filles et la lutte contre le réchauffement climatique.
Marlène Schiappa a divisé la classe politique ces jours derniers en commentant une affaire judiciaire en cours : celle du couple Daval.
Les responsables des grandes enseignes ne sont pas des philanthropes.
La production intensive, la mécanisation outrancière, le mépris affiché pour les savoir-faire ancestraux, la fracture avec le monde paysan ont entrainé une rupture profonde dans les tissus économiques et sociologiques de notre pays.
Philippe de Villiers réagit, en exclusivité au micro de Boulevard Voltaire, sur l’abandon d’un « grand projet stupide et utopique ».
Chacun s’est résigné à ne pas contester les « succès » industriels et commerciaux annoncés par les chefs d’État lors de leurs pérégrinations internationales.
M. Bussereau va-t-il adhérer à LREM, qui correspond si bien à ses aspirations ?
A partir de cette année, les repas de substitution – c’est-à-dire sans porc – sont supprimés dans les cantines des écoles publiques de Beaucaire (Gard).
On remarque plus facilement ceux qui dorment dans les rues de nos grandes villes que ceux qui persévèrent laborieusement dans la France des clochers. Ne les abandonnons pas.
La meilleure réponse est sans doute d’ordre éthique et elle devrait être collective, dans nos modes de consommation.
Le christianisme rendu à lui-même apporte beaucoup au monde, mais à condition qu’il ait encore la possibilité d’être lui-même.
S’il y a un sujet sur lequel il ne faut pas titiller les Français, c’est bien la nourriture.
« Je suis persuadé que cette notion de conservatisme est la seule qui puisse aujourd’hui fédérer les droites. »
L’opposition assiste, impuissante, au toilettage qui a consolidé les relations entre le redouté parti de Mugabe, et les militaires désormais au pouvoir.
Ces achats de terre, sans sonner le glas de la paysannerie française, depuis longtemps en déliquescence, ne manquent pas de laisser perplexe.