Agriculture
Les commentaires vont bon train sur le vide du projet LR et sur son absence de cohérence idéologique.
On ne peut pas éternellement déplorer les effets de ce dont on chérit les causes.
Nous sommes décidément devenus des petites choses fragiles.
Comme d’habitude, on fait du racisme un problème européen qu’il est urgent de traiter au profit, notamment, des migrants qui en seraient victimes.
Au nom de la France, ce pauvre Nicolas Hulot se débat pour nous maintenir médaille d’or des angoisses sanitaires.
Malmené et méconnu, le monde agricole est l’objet de clichés qui ont la vie dure.
Il serait de bon ton que la politique régionale de monsieur Wauquiez soit enfin en phase avec ses saillies électoralistes.
Macron est ultralibéral en économie, ultra-européen fédéraliste, atlantiste, ami du CAC 40.
Édouard Philippe tiendra-t-il deux ans pour obtenir le second témoin d’usure de Matignon, c’est-à-dire la plaque de grand officier de la Légion d’honneur ?
Le Système bruxellois (qui usurpe le beau nom d’Europe) est, depuis qu’il a abjuré les sains principes du traité de Rome, cliniquement mort.
En fait, depuis la fin des quotas laitiers, rien ne tourne plus vraiment rond sur le marché français.
Face à des agriculteurs désemparés, car le glyphosate n’a pas de concurrent et ne pourra pas être remplacé dans l’immédiat, Nicolas Hulot a tranché.
Macron se dit ni de droite ni de gauche ? Que nos intellectuels se disent, eux, et de droite et de gauche.
Cessez l’épargne de précaution, choisissez le risque. Soyez des individus mobiles dans une société fluide.
Pourquoi manque-t-on de produit pour la transformation ?
Depuis des années, la grande distribution, au nom du consommateur roi, fixe le prix final auquel vendre son beurre…
Épuisé physiquement, débordé administrativement et désespéré irrémédiablement, un agriculteur met fin à ses jours toutes les 48 heures.
Les prédateurs à poil et plume, écologiques, financiers, banquiers, industriels, etc., seront toujours là pour ne pas lâcher leur proie.
L’Europe ne peut se limiter au domaine du rêve ou du pari.
« Un porc, moi, je le caresse, je lui parle deux heures avant de le tuer, ensuite je l’assomme, je le saigne, il n’y a aucun cri. »
Le substitut du glyphosate, stratégiquement prévu depuis au moins dix ans, est aujourd’hui lancé sur le marché !
À moins que la recherche ne trouve une solution de remplacement, l’interdiction du fameux désherbant est criminelle pour le revenu de l’agriculteur.
Depuis 2007, le secteur a connu une croissance de 278 %.
Sur 100 euros payés par le consommateur final pour un aliment, l’agriculteur qui a produit cet aliment ne reçoit que 6,20 €
Le scandale sanitaire de la semaine s’appelle glyphosate, plus connu des jardiniers et agriculteurs sous le nom de Roundup.
Les bombes laissées par le gouvernement Valls interdiront les bonnes nouvelles sur le déficit public.
Une ligne Wauquiez se dégage d’ores et déjà
Marine Le Pen a lancé, samedi 9 septembre à Brachay, la rénovation du Front national.
Les commentaires vont bon train sur le vide du projet LR et sur son absence de cohérence idéologique.
On ne peut pas éternellement déplorer les effets de ce dont on chérit les causes.
Nous sommes décidément devenus des petites choses fragiles.
Comme d’habitude, on fait du racisme un problème européen qu’il est urgent de traiter au profit, notamment, des migrants qui en seraient victimes.
Au nom de la France, ce pauvre Nicolas Hulot se débat pour nous maintenir médaille d’or des angoisses sanitaires.
Malmené et méconnu, le monde agricole est l’objet de clichés qui ont la vie dure.
Il serait de bon ton que la politique régionale de monsieur Wauquiez soit enfin en phase avec ses saillies électoralistes.
Macron est ultralibéral en économie, ultra-européen fédéraliste, atlantiste, ami du CAC 40.
Édouard Philippe tiendra-t-il deux ans pour obtenir le second témoin d’usure de Matignon, c’est-à-dire la plaque de grand officier de la Légion d’honneur ?
Le Système bruxellois (qui usurpe le beau nom d’Europe) est, depuis qu’il a abjuré les sains principes du traité de Rome, cliniquement mort.
En fait, depuis la fin des quotas laitiers, rien ne tourne plus vraiment rond sur le marché français.
Face à des agriculteurs désemparés, car le glyphosate n’a pas de concurrent et ne pourra pas être remplacé dans l’immédiat, Nicolas Hulot a tranché.
Macron se dit ni de droite ni de gauche ? Que nos intellectuels se disent, eux, et de droite et de gauche.
Cessez l’épargne de précaution, choisissez le risque. Soyez des individus mobiles dans une société fluide.
Pourquoi manque-t-on de produit pour la transformation ?
Depuis des années, la grande distribution, au nom du consommateur roi, fixe le prix final auquel vendre son beurre…
Épuisé physiquement, débordé administrativement et désespéré irrémédiablement, un agriculteur met fin à ses jours toutes les 48 heures.
Les prédateurs à poil et plume, écologiques, financiers, banquiers, industriels, etc., seront toujours là pour ne pas lâcher leur proie.
L’Europe ne peut se limiter au domaine du rêve ou du pari.
« Un porc, moi, je le caresse, je lui parle deux heures avant de le tuer, ensuite je l’assomme, je le saigne, il n’y a aucun cri. »
Le substitut du glyphosate, stratégiquement prévu depuis au moins dix ans, est aujourd’hui lancé sur le marché !
À moins que la recherche ne trouve une solution de remplacement, l’interdiction du fameux désherbant est criminelle pour le revenu de l’agriculteur.
Depuis 2007, le secteur a connu une croissance de 278 %.
Sur 100 euros payés par le consommateur final pour un aliment, l’agriculteur qui a produit cet aliment ne reçoit que 6,20 €
Le scandale sanitaire de la semaine s’appelle glyphosate, plus connu des jardiniers et agriculteurs sous le nom de Roundup.
Les bombes laissées par le gouvernement Valls interdiront les bonnes nouvelles sur le déficit public.
Une ligne Wauquiez se dégage d’ores et déjà
Marine Le Pen a lancé, samedi 9 septembre à Brachay, la rénovation du Front national.