Le moment est venu de faire le tri entre les caractères et les rien qu’intelligents, entre ceux qui ont du coffre et ceux qui n’ont que des diplômes.
Le travail gouvernait son existence et les saisons rythmaient sa vie.
Non contents d’avoir déjà fait traverser la Manche à Halloween et à la théorie du genre, les voilà qui ambitionnent, aujourd’hui, de nous interdire de trinquer.
Modes de vie, savoir-faire, us et coutumes… laissons vivre le monde rural !
Les marchands de peur n’en finissent plus d’accuser le monde agricole.
Deux éleveurs, les frères Van Ranst, exploitants d’une société dénommée la SCEA Pérault, souhaitent rassembler leurs élevages et porter leur cheptel de 500 à plus de 1.500 bêtes.
Non, vraiment, l’agriculture n’est pas un métier comme les autres.
La concurrence déloyale qu’il engendrera provoquera, une fois de plus, un séisme social destructeur ainsi qu’un recul environnemental irréversible.
Tartuffe, il y a ici des gens qui travaillent et aimeraient pouvoir continuer à en vivre ! Durs au mal et taiseux, ils n’ont que faire de ta journée sans viande, de tes problèmes de trottinettes et de circulation alternée.
8.000 euros d’amende : c’est la peine qui a été prononcée à l’encontre d’un agriculteur coupable de dérangement provoqué par le bruit du meuglement de
Face aux mondialistes et autres promoteurs de l’uniformisation marchande, nous devons promouvoir l’enracinement et le localisme.
Ce qui donne un sens à la vie donne un sens à la mort. Cédric et Alain toujours présents !
Désormais, des milliers d’agriculteurs et PME de l’agro-alimentaire travaillent d’arrache-pied au profit de cinq centrales d’achat.
Comme dans bien d’autres domaines, la méthode Macron, c’est l’accouchement sans douleur, mais sans enfant !
Un hommage a été rendu à l’Assemblée nationale par tous les députés présents sauf par le gouvernement, qui refusa de se joindre à ce qui aurait pu être un moment d’union sacrée. Honte à ces ministres !
Au milieu des mouvements de foule parfois dangereux, de scènes honteuses, de gestes imbéciles, il faut savoir reconnaître des gestes courageux et des attitudes exemplaires.
Loup Mautin, lui-même agriculteur, évoque le cas de cet éleveur de volailles de Bresse, criant sa détresse dans une vidéo, alors qu’il fournit les meilleures
À chaque nouveau fait divers, les mêmes solutions cosmétiques nous sont proposées et les mêmes excuses surréalistes nous sont assenées.
Selon que vous serez libéral-libertaire ou « obscurantiste-conservateur », les jugements de cour vous rendront respectable ou infréquentable.
Nous craignons, cependant, qu’Ousmane ignore que la charia est rigoureusement appliquée en Mauritanie et que blasphème et sacrilège y sont punis de mort.
Ils ont réussi la prouesse de transformer la filière d’excellence qu’était notre agriculture en une réalité mortifère où, à une extrémité de la chaîne, les producteurs se suicident et, à l’autre extrémité, les consommateurs s’empoisonnent.
Probablement parti remplir ses fonctions comme un vendredi ordinaire, un homme a été capable de réaliser à la perfection ce pourquoi il avait engagé sa vie et remplir sa mission en plénitude.
60 % des céréaliers ne dégagent plus de revenus et 30 % des agriculteurs vivent avec moins de 400 € par mois.
La production intensive, la mécanisation outrancière, le mépris affiché pour les savoir-faire ancestraux, la fracture avec le monde paysan ont entrainé une rupture profonde dans les tissus économiques et sociologiques de notre pays.
On remarque plus facilement ceux qui dorment dans les rues de nos grandes villes que ceux qui persévèrent laborieusement dans la France des clochers. Ne les abandonnons pas.
Les résultats de ces laboratoires grandeur nature prouvent qu’un tel modèle mériterait d’être reproduit.
On ne peut pas éternellement déplorer les effets de ce dont on chérit les causes.
Le moment est venu de faire le tri entre les caractères et les rien qu’intelligents, entre ceux qui ont du coffre et ceux qui n’ont que des diplômes.
Le travail gouvernait son existence et les saisons rythmaient sa vie.
Non contents d’avoir déjà fait traverser la Manche à Halloween et à la théorie du genre, les voilà qui ambitionnent, aujourd’hui, de nous interdire de trinquer.
Modes de vie, savoir-faire, us et coutumes… laissons vivre le monde rural !
Les marchands de peur n’en finissent plus d’accuser le monde agricole.
Deux éleveurs, les frères Van Ranst, exploitants d’une société dénommée la SCEA Pérault, souhaitent rassembler leurs élevages et porter leur cheptel de 500 à plus de 1.500 bêtes.
Non, vraiment, l’agriculture n’est pas un métier comme les autres.
La concurrence déloyale qu’il engendrera provoquera, une fois de plus, un séisme social destructeur ainsi qu’un recul environnemental irréversible.
Tartuffe, il y a ici des gens qui travaillent et aimeraient pouvoir continuer à en vivre ! Durs au mal et taiseux, ils n’ont que faire de ta journée sans viande, de tes problèmes de trottinettes et de circulation alternée.
8.000 euros d’amende : c’est la peine qui a été prononcée à l’encontre d’un agriculteur coupable de dérangement provoqué par le bruit du meuglement de
Face aux mondialistes et autres promoteurs de l’uniformisation marchande, nous devons promouvoir l’enracinement et le localisme.
Ce qui donne un sens à la vie donne un sens à la mort. Cédric et Alain toujours présents !
Désormais, des milliers d’agriculteurs et PME de l’agro-alimentaire travaillent d’arrache-pied au profit de cinq centrales d’achat.
Comme dans bien d’autres domaines, la méthode Macron, c’est l’accouchement sans douleur, mais sans enfant !
Un hommage a été rendu à l’Assemblée nationale par tous les députés présents sauf par le gouvernement, qui refusa de se joindre à ce qui aurait pu être un moment d’union sacrée. Honte à ces ministres !
Au milieu des mouvements de foule parfois dangereux, de scènes honteuses, de gestes imbéciles, il faut savoir reconnaître des gestes courageux et des attitudes exemplaires.
Loup Mautin, lui-même agriculteur, évoque le cas de cet éleveur de volailles de Bresse, criant sa détresse dans une vidéo, alors qu’il fournit les meilleures
À chaque nouveau fait divers, les mêmes solutions cosmétiques nous sont proposées et les mêmes excuses surréalistes nous sont assenées.
Selon que vous serez libéral-libertaire ou « obscurantiste-conservateur », les jugements de cour vous rendront respectable ou infréquentable.
Nous craignons, cependant, qu’Ousmane ignore que la charia est rigoureusement appliquée en Mauritanie et que blasphème et sacrilège y sont punis de mort.
Ils ont réussi la prouesse de transformer la filière d’excellence qu’était notre agriculture en une réalité mortifère où, à une extrémité de la chaîne, les producteurs se suicident et, à l’autre extrémité, les consommateurs s’empoisonnent.
Probablement parti remplir ses fonctions comme un vendredi ordinaire, un homme a été capable de réaliser à la perfection ce pourquoi il avait engagé sa vie et remplir sa mission en plénitude.
60 % des céréaliers ne dégagent plus de revenus et 30 % des agriculteurs vivent avec moins de 400 € par mois.
La production intensive, la mécanisation outrancière, le mépris affiché pour les savoir-faire ancestraux, la fracture avec le monde paysan ont entrainé une rupture profonde dans les tissus économiques et sociologiques de notre pays.
On remarque plus facilement ceux qui dorment dans les rues de nos grandes villes que ceux qui persévèrent laborieusement dans la France des clochers. Ne les abandonnons pas.
Les résultats de ces laboratoires grandeur nature prouvent qu’un tel modèle mériterait d’être reproduit.
On ne peut pas éternellement déplorer les effets de ce dont on chérit les causes.