Avec La Dépossession, l’écrivain poursuit sa réflexion sur ce processus implacable et inexorable qu’il appelle le « remplacisme ».
Grâce à cet ouvrage, vous ne pourrez plus vous tromper et saurez, dorénavant, que le gilet jaune est de droite mais le rond-point à gauche.
Voilà notre homme : dans son temps, mais au-delà de l’actualité ; passionné, mais au-delà des agitations mondaines.
Éric Zemmour, non sans courage – ou inconscience –, a pris le parti de l’arracher des marges où une certaine caste politico-médiatique s’évertuait à le cantonner en se pinçant le nez.
Les juristes Christophe Boutin et Frédéric Rouvillois dressent cet état des lieux juridique, tout en effectuant un parallèle aussi pertinent que saisissant avec le suffrage censitaire en cours sous la Restauration et la monarchie de Juillet.
La décadence d’une société se juge à la manière dont cette dernière tente de s’extirper du sacré.
Que dirait Freund, aujourd’hui, de ces halls de gare où incubent et s’expérimentent les pires idéologies venues d’outre-Atlantique (« gender studies », « cancel culture », « wokisme » et autres pestilences pseudo-intellectuelles) ?
À quelques mois de l’élection présidentielle, ce texte entre en résonance avec une certaine rhétorique zemmourienne qu’il serait d’autant plus difficile de nier que cette dernière revêt d’incontestables accents fichtéens.
Aux heures funestes de la « cancel culture » et du « wokisme », il devient plus que salutaire de s’abreuver sans modération aux sources d’un patrimoine littéraire que d’aucuns, ignares forcenés s’évertuent à bannir…
Lugan nous entraîne, en Land-Rover, des rives du lac Kivu aux rues animés de Butare, des sources véritable du Nil de la crête Congo-Nil de l’actuel Rwanda au Perroquet vert, la boîte de nuit de Bujumbura, sur les traces d’une Afrique disparue…
C’est dire que « passe sanitaire » et ses avatars vaccinaux et numériques ne sont que la pointe émergée d’un iceberg massif de contrôle social, dont « il n’y a aucune raison d’espérer un reflux naturel ».
Ce Tendre Voyou (1966) charmeur n’aimait rien moins qu’être Voleur (1966) à ses heures perdues, à la condition d’être cornaqué par un solide Cerveau (1968) sans parvenir, néanmoins, à échapper aux griffes envoûtantes de La Sirène du Mississipi (1969).
Tout bon Patagon se doit de posséder ce monument.
Bob Morane ! Quatre syllabes qui résonnent d’un son si particulier dans l’esprit de plusieurs milliers de lecteurs francophones.
Il veut être un roi – dont il déplorait naguère l’absence cruelle en France – gouvernant en son conseil, il n’est, tout au plus, qu’un roitelet décidant seul en son conseil… de scientifiques.
Richard Millet pulvérise à la nitroglycérine. Âmes sensibles, s’abstenir !
Dans cet essai incisif, Levavasseur fourbit les armes rhétoriques d’un combat civilisationnel aussi âpre et impérieux qu’enthousiasmant pour la part d’inaltérable vérité qu’il contient.
Nous devons savoir infiniment gré à Patrick Buisson d’avoir pris le temps de disséquer et dépecer cette ère si courte mais ô combien ! dense et dévastatrice…
Un vrai travail de bénédictin qui ne laissera personne indifférent…
Ce brillant ouvrage devrait être lu et médité par tous les candidats à la présidentielle.
Servi par un style vigoureux et un humour pince-sans-rire alternant avec de caustiques sous-entendus, l’essai est une petite bombe à fragmentation qui explose à chaque page.
L’arrêt a été rendu à la majorité des magistrats composant la juridiction, moins deux voix.
L’auteur de ces lignes, bien que partisan des lys et du drapeau blanc, ne peut pourtant s’empêcher de vibrer au souvenir glorieux d’un homme qui sut porter la France au firmament de la puissance.
Clavel part d’une situation réelle et extrapole, non point jusqu’à l’absurde, mais jusqu’aux confins de l’extrême médiocrité humaine…
Un livre stimulant, didactique et érudit par l’une des plumes les plus limpides et élégantes de notre temps.
Soyons clair ! Le propos introductif de Chamayou n’a d’autre objectif que de mettre en valeur le texte de Heller, à travers une critique du prétendu libéralisme de Carl Schmitt, tout au moins sur le plan économique.
Dans le sillage de Rousseau, Alain de Benoist nous rappelle, avec sagesse, que l’animal n’a pas de droits, mais que nous avons des devoirs envers eux en raison d’une co-appartenance renvoyant à l’idée de cosmos.
Freund, « adversaire des Lumières », s’y livre à de percutantes réflexions, toujours actuelles, sur l’Europe, la technique, le féminisme, le racisme, l’individualisme, le libéralisme, etc.
Avec La Dépossession, l’écrivain poursuit sa réflexion sur ce processus implacable et inexorable qu’il appelle le « remplacisme ».
Grâce à cet ouvrage, vous ne pourrez plus vous tromper et saurez, dorénavant, que le gilet jaune est de droite mais le rond-point à gauche.
Voilà notre homme : dans son temps, mais au-delà de l’actualité ; passionné, mais au-delà des agitations mondaines.
Éric Zemmour, non sans courage – ou inconscience –, a pris le parti de l’arracher des marges où une certaine caste politico-médiatique s’évertuait à le cantonner en se pinçant le nez.
Les juristes Christophe Boutin et Frédéric Rouvillois dressent cet état des lieux juridique, tout en effectuant un parallèle aussi pertinent que saisissant avec le suffrage censitaire en cours sous la Restauration et la monarchie de Juillet.
La décadence d’une société se juge à la manière dont cette dernière tente de s’extirper du sacré.
Que dirait Freund, aujourd’hui, de ces halls de gare où incubent et s’expérimentent les pires idéologies venues d’outre-Atlantique (« gender studies », « cancel culture », « wokisme » et autres pestilences pseudo-intellectuelles) ?
À quelques mois de l’élection présidentielle, ce texte entre en résonance avec une certaine rhétorique zemmourienne qu’il serait d’autant plus difficile de nier que cette dernière revêt d’incontestables accents fichtéens.
Aux heures funestes de la « cancel culture » et du « wokisme », il devient plus que salutaire de s’abreuver sans modération aux sources d’un patrimoine littéraire que d’aucuns, ignares forcenés s’évertuent à bannir…
Lugan nous entraîne, en Land-Rover, des rives du lac Kivu aux rues animés de Butare, des sources véritable du Nil de la crête Congo-Nil de l’actuel Rwanda au Perroquet vert, la boîte de nuit de Bujumbura, sur les traces d’une Afrique disparue…
C’est dire que « passe sanitaire » et ses avatars vaccinaux et numériques ne sont que la pointe émergée d’un iceberg massif de contrôle social, dont « il n’y a aucune raison d’espérer un reflux naturel ».
Ce Tendre Voyou (1966) charmeur n’aimait rien moins qu’être Voleur (1966) à ses heures perdues, à la condition d’être cornaqué par un solide Cerveau (1968) sans parvenir, néanmoins, à échapper aux griffes envoûtantes de La Sirène du Mississipi (1969).
Tout bon Patagon se doit de posséder ce monument.
Bob Morane ! Quatre syllabes qui résonnent d’un son si particulier dans l’esprit de plusieurs milliers de lecteurs francophones.
Il veut être un roi – dont il déplorait naguère l’absence cruelle en France – gouvernant en son conseil, il n’est, tout au plus, qu’un roitelet décidant seul en son conseil… de scientifiques.
Richard Millet pulvérise à la nitroglycérine. Âmes sensibles, s’abstenir !
Dans cet essai incisif, Levavasseur fourbit les armes rhétoriques d’un combat civilisationnel aussi âpre et impérieux qu’enthousiasmant pour la part d’inaltérable vérité qu’il contient.
Nous devons savoir infiniment gré à Patrick Buisson d’avoir pris le temps de disséquer et dépecer cette ère si courte mais ô combien ! dense et dévastatrice…
Un vrai travail de bénédictin qui ne laissera personne indifférent…
Ce brillant ouvrage devrait être lu et médité par tous les candidats à la présidentielle.
Servi par un style vigoureux et un humour pince-sans-rire alternant avec de caustiques sous-entendus, l’essai est une petite bombe à fragmentation qui explose à chaque page.
L’arrêt a été rendu à la majorité des magistrats composant la juridiction, moins deux voix.
L’auteur de ces lignes, bien que partisan des lys et du drapeau blanc, ne peut pourtant s’empêcher de vibrer au souvenir glorieux d’un homme qui sut porter la France au firmament de la puissance.
Clavel part d’une situation réelle et extrapole, non point jusqu’à l’absurde, mais jusqu’aux confins de l’extrême médiocrité humaine…
Un livre stimulant, didactique et érudit par l’une des plumes les plus limpides et élégantes de notre temps.
Soyons clair ! Le propos introductif de Chamayou n’a d’autre objectif que de mettre en valeur le texte de Heller, à travers une critique du prétendu libéralisme de Carl Schmitt, tout au moins sur le plan économique.
Dans le sillage de Rousseau, Alain de Benoist nous rappelle, avec sagesse, que l’animal n’a pas de droits, mais que nous avons des devoirs envers eux en raison d’une co-appartenance renvoyant à l’idée de cosmos.
Freund, « adversaire des Lumières », s’y livre à de percutantes réflexions, toujours actuelles, sur l’Europe, la technique, le féminisme, le racisme, l’individualisme, le libéralisme, etc.