François Bayrou
Ça a drôlement ramé pour sortir les numéros complémentaires du loto gouvernemental.
Que serait l’autorité d’un Gabriel Attal face à un ministre qui fit ses premières armes ministérielles sous Mitterrand ?
Il était jugé avec dix autres cadres et élus pour un système de fraude visant à rémunérer des assistants parlementaires
Il y a ceux qui sont faits pour accrocher les étoiles et ceux dont la vie se passe à avoir les boules.
Que l’actuel pouvoir en vienne à lui tendre la main en dit beaucoup quant à l’état de déliquescence du pays
La sécu version Modem devient une fête des voisins où seuls quelques bonnes âmes ont fabriqué des gâteaux
« La Convention citoyenne, lieu où l’on éclaire les sujets, n’est pas investie par des électeurs du pouvoir de choisir
C’est un juge d’instruction saisi du dossier qui devra décider si un procès se tiendra ou non.
Emmanuel Macron, qui est au pouvoir depuis six ans, n’a pas apporté beaucoup de réponses à ces questions tellement légitimes pour les Français.
Le prince vient pour embrasser le courtisan du baiser de paix sur la bouche. Il se fera plaisir.
Le Président avait déjà sorti de son chapeau la « Convention citoyenne pour le climat » composée de 150 personnes tirées au sort.
Le CNR est censé associer opposition, majorité, syndicats et militants à une vaste réflexion sur les grands enjeux travaillant la société française.
Tout en feignant d’atténuer le coup de pied de l’âne qu’il porte à Renaissance en assurant que, par bonheur, « dans la majorité, on est libre de penser différemment les choses », François Bayrou a bel et bien rompu l’union sacrée entre amis manigancée dans le cénacle élyséen.
Qu’il mette ses mots et ses actes en cohérence, demandent-ils, et parraine Marine Le Pen.
Ses propres chiffres en témoignent : tous les gouvernements, y compris ceux auxquels il a appartenu, travaillent depuis des décennies contre les intérêts de la France. Avec persistance, application et efficacité.
Après le Zemmour inhumain de Sarko, voilà le profanateur de sépultures !
N’allons pas prêter, mesquins, à un François Bayrou réinvesti poète soviétique la veulerie de ceux qui n’ont d’autre ambition que de conserver leurs prébendes.
Il suffirait d’ouvrir un peu plus les frontières aux pays du tiers-monde et le tour serait joué.
Toujours ni pour ni contre, la tête entre les deux oreilles et le cul entre deux chaises. Au centre.
Combien étaient-ils, des agapes élyséennes du 16 décembre dernier, maintenant tous punis, peut-être, de l’inconséquence de leur jeune chef ? On parierait qu’ils étaient 13
Il n’y a pas de trêve des confiseurs pour les tripatouilleurs.
François Bayrou a juste un pouvoir de nuisance…
Entre les chaises vides de ce CNR 2.0, François Bayrou arrivera bien à y caler son fauteuil de secrétaire général.
Le format « haut-commissaire », malgré le précédent fâcheux de Jean-Paul Delevoye, autre poids lourd de la Macronie remercié par un poste identique, avait toutes les faveurs de François Bayrou…
Distribuer des masques de protection à ses administrés durant le déconfinement n’exclut pas de leur rappeler ô combien leur maire est formidable.
Ce François Bayrou , parti de rien pour n’arriver nulle part, mais ne devant son absence de destin qu’à lui-même, est décidément un enchantement de tous les instants.
On savait la droite LR un peu schizophrène au niveau national mais, à Pau et dans le Sud-Ouest, il se développe une version régionale de la maladie particulièrement troublante…
Ça a drôlement ramé pour sortir les numéros complémentaires du loto gouvernemental.
Que serait l’autorité d’un Gabriel Attal face à un ministre qui fit ses premières armes ministérielles sous Mitterrand ?
Il était jugé avec dix autres cadres et élus pour un système de fraude visant à rémunérer des assistants parlementaires
Il y a ceux qui sont faits pour accrocher les étoiles et ceux dont la vie se passe à avoir les boules.
Que l’actuel pouvoir en vienne à lui tendre la main en dit beaucoup quant à l’état de déliquescence du pays
La sécu version Modem devient une fête des voisins où seuls quelques bonnes âmes ont fabriqué des gâteaux
« La Convention citoyenne, lieu où l’on éclaire les sujets, n’est pas investie par des électeurs du pouvoir de choisir
C’est un juge d’instruction saisi du dossier qui devra décider si un procès se tiendra ou non.
Emmanuel Macron, qui est au pouvoir depuis six ans, n’a pas apporté beaucoup de réponses à ces questions tellement légitimes pour les Français.
Le prince vient pour embrasser le courtisan du baiser de paix sur la bouche. Il se fera plaisir.
Le Président avait déjà sorti de son chapeau la « Convention citoyenne pour le climat » composée de 150 personnes tirées au sort.
Le CNR est censé associer opposition, majorité, syndicats et militants à une vaste réflexion sur les grands enjeux travaillant la société française.
Tout en feignant d’atténuer le coup de pied de l’âne qu’il porte à Renaissance en assurant que, par bonheur, « dans la majorité, on est libre de penser différemment les choses », François Bayrou a bel et bien rompu l’union sacrée entre amis manigancée dans le cénacle élyséen.
Qu’il mette ses mots et ses actes en cohérence, demandent-ils, et parraine Marine Le Pen.
Ses propres chiffres en témoignent : tous les gouvernements, y compris ceux auxquels il a appartenu, travaillent depuis des décennies contre les intérêts de la France. Avec persistance, application et efficacité.
Après le Zemmour inhumain de Sarko, voilà le profanateur de sépultures !
N’allons pas prêter, mesquins, à un François Bayrou réinvesti poète soviétique la veulerie de ceux qui n’ont d’autre ambition que de conserver leurs prébendes.
Il suffirait d’ouvrir un peu plus les frontières aux pays du tiers-monde et le tour serait joué.
Toujours ni pour ni contre, la tête entre les deux oreilles et le cul entre deux chaises. Au centre.
Combien étaient-ils, des agapes élyséennes du 16 décembre dernier, maintenant tous punis, peut-être, de l’inconséquence de leur jeune chef ? On parierait qu’ils étaient 13
Il n’y a pas de trêve des confiseurs pour les tripatouilleurs.
François Bayrou a juste un pouvoir de nuisance…
Entre les chaises vides de ce CNR 2.0, François Bayrou arrivera bien à y caler son fauteuil de secrétaire général.
Le format « haut-commissaire », malgré le précédent fâcheux de Jean-Paul Delevoye, autre poids lourd de la Macronie remercié par un poste identique, avait toutes les faveurs de François Bayrou…
Distribuer des masques de protection à ses administrés durant le déconfinement n’exclut pas de leur rappeler ô combien leur maire est formidable.
Ce François Bayrou , parti de rien pour n’arriver nulle part, mais ne devant son absence de destin qu’à lui-même, est décidément un enchantement de tous les instants.
On savait la droite LR un peu schizophrène au niveau national mais, à Pau et dans le Sud-Ouest, il se développe une version régionale de la maladie particulièrement troublante…