On assiste à une dépolarisation raciale et au transfert d’une part grandissante de l’électorat de couleur vers Trump.
Pendant que Macron échafaude des plans en vue de déployer des troupes en Ukraine, la menace terroriste cible l'Europe.
Les victoires accumulées par Donald Trump, ces jours-ci, donnent à sa campagne des airs de marche triomphale.
Donald Trump a infligé, ce weekend, une défaite cinglante à Nikki Haley dans son État d’origine, la Caroline du Sud.
Le déclin cognitif du président américain n’est en rien nouveau et sans surprise, il ne s’est pas amélioré avec le temps
Les spéculations sur l’état de sa santé mentale sont relancées.
Il s’agit d’une crise démographique, sécuritaire, humanitaire, législative, électorale et même constitutionnelle.
Qu’il le veuille ou non, Joe Biden est déjà engagé dans une guerre régionale qui n’a pas débuté le 7 octobre.
Nikki Haley n’est pas parvenue à freiner l’élan de Donald Trump, qui l’a emporté avec une avance de plus de dix points.
Ce ne sont pas les « déplorables » que recueille Donald Trump mais le nombre grandissant des perdants de la mobilisation
Joe Biden contre Donald Trump, la démocratie contre la dictature. C’est l’histoire pour la présidentielle de 2024.
Lorsque l’argent permet, avec l’aval de la Justice, de faire taire les victimes.
Les derniers paragraphes de l’article permettent de mieux comprendre la probable finalité de cette histoire.
Les « Frankenstein juridiques » lancés à la poursuite de Trump pourraient finir par se retourner contre leurs créateurs
Non seulement Trump est aujourd’hui en tête de la primaire mais, surtout, le voilà donné gagnant face à Biden
Curieux timing que celui de l'information concernant un possible plan franco-saoudien d’exfiltration de ces individus.
La révolution culturelle woke, qui s’est imposée dans les universités, est le véritable incubateur de la haine.
35 % des Américains indiquaient, en octobre dernier, penser que Joe Biden avait fait quelque chose d’illégal.
Tout l’enjeu pour Joe Biden est désormais d’éviter un effondrement du front pendant la campagne présidentielle.
La traque devrait commencer lorsque prendra fin la guerre dans la bande de Gaza.
En pratiquant la petite danse élyséenne du « en même temps », il est fort à craindre que Biden ne perde l'équilibre.
Cette fois-ci, l’accord bipartisan conclu in extremis la semaine dernière au Congrès pour éviter la paralysie de l’État fédéral (le shutdown) n’aura pas coûté son siège…
Les thèmes phares de Trump lors du lancement de sa première campagne en 2015 se sont imposés depuis.
C’est à l’Iran que profite le crime.
Le Hamas mène une guerre psychologique et informationnelle visant à discréditer moralement l’État hébreu.
Autant dire que son élection a provoqué des réactions éruptives du côté des médias progressistes.
Aux États-Unis, les crises ne se contentent pas de s’accumuler, elles interagissent entre elles.
Face à l'horreur du terrorisme islamiste qui vient de frapper Israël, les mots de Joe Biden ont été forts.