Jusqu’à vendredi, un shutdown semblait inévitable. Des milliers de fonctionnaires risquaient le chômage.
Avec Trump, les logiques habituelles ne fonctionnent pas. Il fait exploser les cadres et les repères.
Les républicains étant minoritaires au Sénat et divisés sur le lancement de l’enquête, elle a peu de chances d'aboutir.
Lors de sa conférence de presse au Vietnam, le président américain a soudainement basculé dans une réalité parallèle.
Bien loin d’avoir désarmé, les adversaires de Trump espèrent toujours le voir finir ses jours en prison.
Succès fulgurant pour une chanson dénonçant « ces hommes riches au nord de Richmond » qui « veulent tout contrôler ».
Dans la presse américaine, on analyse, on dissèque, on sonde l'étrange sortilège Trump.
Trump le proclame haut et fort : il n’abandonnera jamais sa « mission de sauver l'Amérique ».
La prochaine campagne présidentielle semble bien partie pour se dérouler dans les salles d’audience.
Les espoirs d’immunité se sont envolés et une épée de Damoclès reste bien vissée au-dessus de la campagne de Joe Biden.
Une jeunesse sacrifiée, celle des minorités reléguées, racisées, dominées, vraiment ?
Il y a une identification communautaire et clanique qui génère une solidarité d’abord victimaire puis vengeresse.
Le 8 juin dernier, le Wall Street Journal a révélé l’existence d’un « accord secret » conclu entre Pékin et La Havane
Trump contre le « Système » : tout est là.
Le problème, c'est le rôle joué par ces groupes de réflexion dans la fabrication d’un consensus belliciste.
C’est une petite musique déjà ancienne qui se fait à nouveau entendre dans les médias.
La vraie question concerne moins la sous-performance de DeSantis que les raisons de l’ascension continue de Trump.
Un scénario qui s’expliquerait par le sentiment qu’aucune des deux parties n’acceptera de reconnaître sa défaite
Dans ce rapport, des conclusions accablantes pour l'agence de renseignement.
Là où les démocrates voyaient la main du Kremlin, les républicains trumpistes voyaient celle de l’« État profond ».
La stratégie poursuivie pour mettre un terme au conflit est celle du bâton, pas de carotte à proposer
Tucker Carlson vient d’annoncer son retour avec une nouvelle émission diffusée désormais sur Twitter.
Les langues commencent à se délier, outre-Atlantique, et font état du double discours qui a prévalu jusque-là.
Giorgia Meloni fait sans doute face à un échec, mais son échec est celui de toute l’Europe.
L’État islamique, bien qu’affaibli, est actif au Moyen-Orient, en Afrique, en Asie, mais reste un danger pour l'Europe.
Les outrances de Trump et de Tucker Carlson ne sont rien d’autre que le retour du refoulé.
L'Europe ne pourra cependant échapper indéfiniment à la question essentielle de son autonomie stratégique
L’addition est extrêmement salée, mais mieux vaut un mauvais accord qu’un long procès...