Résultats de recherche pour : alain de benoist – Page 4
Hormis le fait que l’un se dise « de droite et de gauche » et l’autre « ni de droite ni de gauche », ils sont finalement sur la même longueur d’onde, incarnant chacun deux visions du monde bien distinctes : bloc élitaire contre bloc populaire, enracinement contre nomadisme.
Valérie Pécresse a jugé malin de reprendre à son compte ce slogan, évoquant en même temps « Grand Remplacement » et « grand déclassement », allant jusqu’à parler de « Français de papiers »…
Cette gauche souffre, manifestement. On comprend son malaise existentiel. Serait-il donc humain de l’achever ? Même pas. Elle s’en charge toute seule, comme une grande.
Aux heures funestes de la « cancel culture » et du « wokisme », il devient plus que salutaire de s’abreuver sans modération aux sources d’un patrimoine littéraire que d’aucuns, ignares forcenés s’évertuent à bannir…
Quand Naulleau se trouve en bonne place au meeting de Zemmour, cela peut aussi seulement signifier qu’il vient défendre un vieux copain, sans forcément partager ses idées.
Je m’oppose au nationalisme moderne au nom du patriotisme traditionnel.
Quelle surprise ! Boulevard Voltaire apparaît dans cet article. Accompagné d’une énorme fake news : notre site recevrait 5 millions de visiteurs mensuels. Hilarité dans l’équipe. Les auteurs de l’article ont-ils bu ?
En attendant, il sera plus simple de regarder le Tour de France.
Qui n’a jamais entendu « Celui qui n’est pas socialiste à 20 ans est un salaud, celui qui l’est encore à 40 est un imbécile »…
À l’heure où l’on vote, en catimini, des lois de « bioéthique » aberrantes, c’est un curieux sens des priorités.
Freund, « adversaire des Lumières », s’y livre à de percutantes réflexions, toujours actuelles, sur l’Europe, la technique, le féminisme, le racisme, l’individualisme, le libéralisme, etc.
Il est, dès lors, plus que jamais impérieux d’édifier des « citadelles intérieures »…
Les grands prêtres de la laïcité auraient sûrement beaucoup à gagner à lire Michel Houellebecq.
Cette correspondance est incontournable pour qui veut éprouver la puissance intellectuelle des deux derniers géants tutélaires du XXe siècle.
Quand tout le monde est gaulliste, c’est que plus personne ne l’est.
On sent que ça a dû bouillir sévère en son pauvre crâne, manifestement transformé en chaudière, au fur et à mesure des polémiques qu’il n’a cessé de provoquer et qui n’en finissent plus de le poursuivre.
Que ce professeur phocéen ne soit pas né le jour de la Saint-Modeste, la cause est entendue. Mais, au vu des récents événements, comment ne pas lui prêter une oreille attentive ?
Cette solution audacieuse impliquait que, simultanément, l’islam se modernise, acceptant la séparation de la vie publique et de la vie privée…
Il y eut même, en Union soviétique, à l’époque de Brejnev, des dirigeants qualifiés de « conservateurs » qui s’opposaient à tout changement du système.
À force de regarder passer les trains, même les vaches finissent par se rendre compte que les horaires des chemins de fer ont changé.
En ces circonstances, il est souvent d’usage de prétendre que « plus rien ne sera plus jamais comme avant ». Vœu pieux ou pensée magique ?
On nous confie que la stratégie électorale consistera à « changer d’électorat », c’est-à-dire à récupérer à droite ce qu’ils perdent à gauche ; ça, on le sent venir depuis longtemps.
Le défi de demain n’est pas tant celui de la surpopulation que celui de la mise en œuvre de modèles sociaux respectueux de la nature profonde de l’homme…
Parce que l’Histoire est toujours écrite par les vainqueurs, il n’est pas un régime ou un État qui, après avoir refoulé l’ennemi de ses frontières, n’ait épuré…
La campagne va être terrible. Les anti-Brexit vont jeter toutes leurs forces dans la bataille, avec l’énergie du désespoir.
Il est heureux de constater qu’on ne puisse, impunément et trop longtemps, humilier les peuples.
Chez ce précautionneux Harpagon des Lettres, le verbe se fait tellement cher, qu’il n’en réserve l’usage qu’aux grandes occasions.
Academia Christiana rejette l’esprit des salons mondains où l’on discute entre nous pour le plaisir de chatouiller le sexe des anges.
Hormis le fait que l’un se dise « de droite et de gauche » et l’autre « ni de droite ni de gauche », ils sont finalement sur la même longueur d’onde, incarnant chacun deux visions du monde bien distinctes : bloc élitaire contre bloc populaire, enracinement contre nomadisme.
Valérie Pécresse a jugé malin de reprendre à son compte ce slogan, évoquant en même temps « Grand Remplacement » et « grand déclassement », allant jusqu’à parler de « Français de papiers »…
Cette gauche souffre, manifestement. On comprend son malaise existentiel. Serait-il donc humain de l’achever ? Même pas. Elle s’en charge toute seule, comme une grande.
Aux heures funestes de la « cancel culture » et du « wokisme », il devient plus que salutaire de s’abreuver sans modération aux sources d’un patrimoine littéraire que d’aucuns, ignares forcenés s’évertuent à bannir…
Quand Naulleau se trouve en bonne place au meeting de Zemmour, cela peut aussi seulement signifier qu’il vient défendre un vieux copain, sans forcément partager ses idées.
Je m’oppose au nationalisme moderne au nom du patriotisme traditionnel.
Quelle surprise ! Boulevard Voltaire apparaît dans cet article. Accompagné d’une énorme fake news : notre site recevrait 5 millions de visiteurs mensuels. Hilarité dans l’équipe. Les auteurs de l’article ont-ils bu ?
En attendant, il sera plus simple de regarder le Tour de France.
Qui n’a jamais entendu « Celui qui n’est pas socialiste à 20 ans est un salaud, celui qui l’est encore à 40 est un imbécile »…
À l’heure où l’on vote, en catimini, des lois de « bioéthique » aberrantes, c’est un curieux sens des priorités.
Freund, « adversaire des Lumières », s’y livre à de percutantes réflexions, toujours actuelles, sur l’Europe, la technique, le féminisme, le racisme, l’individualisme, le libéralisme, etc.
Il est, dès lors, plus que jamais impérieux d’édifier des « citadelles intérieures »…
Les grands prêtres de la laïcité auraient sûrement beaucoup à gagner à lire Michel Houellebecq.
Cette correspondance est incontournable pour qui veut éprouver la puissance intellectuelle des deux derniers géants tutélaires du XXe siècle.
Quand tout le monde est gaulliste, c’est que plus personne ne l’est.
On sent que ça a dû bouillir sévère en son pauvre crâne, manifestement transformé en chaudière, au fur et à mesure des polémiques qu’il n’a cessé de provoquer et qui n’en finissent plus de le poursuivre.
Que ce professeur phocéen ne soit pas né le jour de la Saint-Modeste, la cause est entendue. Mais, au vu des récents événements, comment ne pas lui prêter une oreille attentive ?
Cette solution audacieuse impliquait que, simultanément, l’islam se modernise, acceptant la séparation de la vie publique et de la vie privée…
Il y eut même, en Union soviétique, à l’époque de Brejnev, des dirigeants qualifiés de « conservateurs » qui s’opposaient à tout changement du système.
À force de regarder passer les trains, même les vaches finissent par se rendre compte que les horaires des chemins de fer ont changé.
En ces circonstances, il est souvent d’usage de prétendre que « plus rien ne sera plus jamais comme avant ». Vœu pieux ou pensée magique ?
On nous confie que la stratégie électorale consistera à « changer d’électorat », c’est-à-dire à récupérer à droite ce qu’ils perdent à gauche ; ça, on le sent venir depuis longtemps.
Le défi de demain n’est pas tant celui de la surpopulation que celui de la mise en œuvre de modèles sociaux respectueux de la nature profonde de l’homme…
Parce que l’Histoire est toujours écrite par les vainqueurs, il n’est pas un régime ou un État qui, après avoir refoulé l’ennemi de ses frontières, n’ait épuré…
La campagne va être terrible. Les anti-Brexit vont jeter toutes leurs forces dans la bataille, avec l’énergie du désespoir.
Il est heureux de constater qu’on ne puisse, impunément et trop longtemps, humilier les peuples.
Chez ce précautionneux Harpagon des Lettres, le verbe se fait tellement cher, qu’il n’en réserve l’usage qu’aux grandes occasions.
Academia Christiana rejette l’esprit des salons mondains où l’on discute entre nous pour le plaisir de chatouiller le sexe des anges.