Euthanasie
Réduction des temps de transport, cheminement jusqu’au cimetière en trottinette électrique et autres propositions climato-responsables méritaient d’être soumises à l’ADMD.
Les médias qui, par idéologie, paresse, mépris, ont « omis » de couvrir La Marche pour la vie ont commis une faute.
Viviane Lambert avait compris que son chemin de croix n’était pas qu’affaire personnelle ou familiale. Lorsque les juges condamnent Vincent à mort, elle jette à la face des médias : « C’est un crime, c’est tout, c’est pour faire passer l’euthanasie, ça les arrange. »
Rappelons qu’une loi qui autoriserait le droit de donner la mort serait une transgression majeure sur le plan éthique, médical et légal. L’interdit de tuer est un principe fondamental de notre droit.
Derrière cette visée pédagogique se cache un autre objectif non avoué : adoucir la terminologie, la rendre plus neutre voire la dénaturer pour rendre impossible tout débat.
Une pente glissante vers une société mortifère où l’on préfère manifestement légiférer sur le bien mourir plutôt que sur le bien vieillir.
Il serait utile et sage, en plus de développer les structures de soins palliatifs, de communiquer sur l’état de la loi. Plus fondamentalement, il est nécessaire de faire connaître la culture palliative…
Cette prétendue neutralité n’est que simulacre et sa nomination un signal envoyé qui n’augure rien de bon.
La dignité ne se perd pas parce que l’on est malade, âgé ou handicapé. L’expression « mourir dans la dignité » est impropre.
Pour les vieillards qui nous sont montrés à l’écran, c’est donc une question de civisme.
Ce sera sa martingale, son tour de passe-passe, son écran de fumée, LE sujet qui permettra d’occulter tous les autres.
Le petit soldat CCNE a bien travaillé, il a ouvert la porte, les progressistes vont s’y engouffrer.
Le Comité d’éthique donne son feu vert pour quiconque voudrait légaliser l’euthanasie.
Elle est dans les tuyaux : il y aura bien une Convention citoyenne sur la fin de vie. Le Président se serait juste un peu
En première ligne, Line Renaud, 94 ans, comédienne populaire et marraine de l’ADMD, mène la bataille. Chacune de ses interventions est l’occasion, pour l’ancienne vedette du music-hall, d’aborder la question de la fin de vie.
Les sujets sociétaux sont toujours si opportuns pour occuper le débat médiatique, à l’heure des factures qui s’envolent, des pénuries qui s’annoncent, de la submersion migratoire, du chaos sécuritaire et d’une diplomatie aussi hasardeuse qu’explosive !
« La culture qui s’offre à nous est une culture de toute-puissance qui laisse à croire qu’une personne n’est digne de vivre que lorsqu’elle est en bonne santé. »
Après la nomination de Pap Ndiaye, c’est le deuxième signal progressiste fort envoyé par Emmanuel Macron pour ce second mandat présidentiel.
Le président de l’Assemblée nationale, Richard Ferrand, a confirmé, le 11 avril dernier, que la prochaine grande réforme sociétale du nouveau quinquennat sera le « droit à mourir dans la dignité ».
Devant une femme qui lui parlait d’un proche, âgé de 40 ans et atteint de la maladie de Charcot, Emmanuel Macron a pris l’engagement de faire évoluer le sujet…
Damien Le Guay veut, à travers son ouvrage, dénoncer encore et toujours les ravages de l’euthanasie. Pointer du doigt tous les mensonges du parti euthanasique qui œuvre depuis des années pour arriver à ses fins.
Que peut devenir une nation qui tue ses enfants et ses mourants ?
Les soins palliatifs travaillent dans le lâcher prise, cherchent à rendre les derniers moment les plus confortables possibles, à atténuer la douleur, et préparer tout le monde pour le grand saut…
Après avoir « géré » la crise du Covid-19, le gouvernement entend procéder à un changement anthropologique majeur et soudain en faisant de la mort une modalité d’organisation de la vie.
Il ne doit pas y avoir, bien sûr, d’acharnement thérapeutique, mais il doit y avoir un respect absolu de la vie. C’est une question d’humanité.
Forts de moyens financiers, les militants de l’ADMD font depuis plus de dix ans un travail de lobbying d’une efficacité redoutable.
Il avait annoncé : « Nous ne nous réveillerons pas, après le confinement, dans un nouveau monde ; ce sera le même, en un peu pire. » Une fois de plus, il avait raison.
N’aurait il pas été plus « substantiel », et donc plus vrai, d’intituler directement sa proposition de loi « projet pour le droit à une aide active à mourir » ?
Réduction des temps de transport, cheminement jusqu’au cimetière en trottinette électrique et autres propositions climato-responsables méritaient d’être soumises à l’ADMD.
Les médias qui, par idéologie, paresse, mépris, ont « omis » de couvrir La Marche pour la vie ont commis une faute.
Viviane Lambert avait compris que son chemin de croix n’était pas qu’affaire personnelle ou familiale. Lorsque les juges condamnent Vincent à mort, elle jette à la face des médias : « C’est un crime, c’est tout, c’est pour faire passer l’euthanasie, ça les arrange. »
Rappelons qu’une loi qui autoriserait le droit de donner la mort serait une transgression majeure sur le plan éthique, médical et légal. L’interdit de tuer est un principe fondamental de notre droit.
Derrière cette visée pédagogique se cache un autre objectif non avoué : adoucir la terminologie, la rendre plus neutre voire la dénaturer pour rendre impossible tout débat.
Une pente glissante vers une société mortifère où l’on préfère manifestement légiférer sur le bien mourir plutôt que sur le bien vieillir.
Il serait utile et sage, en plus de développer les structures de soins palliatifs, de communiquer sur l’état de la loi. Plus fondamentalement, il est nécessaire de faire connaître la culture palliative…
Cette prétendue neutralité n’est que simulacre et sa nomination un signal envoyé qui n’augure rien de bon.
La dignité ne se perd pas parce que l’on est malade, âgé ou handicapé. L’expression « mourir dans la dignité » est impropre.
Pour les vieillards qui nous sont montrés à l’écran, c’est donc une question de civisme.
Ce sera sa martingale, son tour de passe-passe, son écran de fumée, LE sujet qui permettra d’occulter tous les autres.
Le petit soldat CCNE a bien travaillé, il a ouvert la porte, les progressistes vont s’y engouffrer.
Le Comité d’éthique donne son feu vert pour quiconque voudrait légaliser l’euthanasie.
Elle est dans les tuyaux : il y aura bien une Convention citoyenne sur la fin de vie. Le Président se serait juste un peu
En première ligne, Line Renaud, 94 ans, comédienne populaire et marraine de l’ADMD, mène la bataille. Chacune de ses interventions est l’occasion, pour l’ancienne vedette du music-hall, d’aborder la question de la fin de vie.
Les sujets sociétaux sont toujours si opportuns pour occuper le débat médiatique, à l’heure des factures qui s’envolent, des pénuries qui s’annoncent, de la submersion migratoire, du chaos sécuritaire et d’une diplomatie aussi hasardeuse qu’explosive !
« La culture qui s’offre à nous est une culture de toute-puissance qui laisse à croire qu’une personne n’est digne de vivre que lorsqu’elle est en bonne santé. »
Après la nomination de Pap Ndiaye, c’est le deuxième signal progressiste fort envoyé par Emmanuel Macron pour ce second mandat présidentiel.
Le président de l’Assemblée nationale, Richard Ferrand, a confirmé, le 11 avril dernier, que la prochaine grande réforme sociétale du nouveau quinquennat sera le « droit à mourir dans la dignité ».
Devant une femme qui lui parlait d’un proche, âgé de 40 ans et atteint de la maladie de Charcot, Emmanuel Macron a pris l’engagement de faire évoluer le sujet…
Damien Le Guay veut, à travers son ouvrage, dénoncer encore et toujours les ravages de l’euthanasie. Pointer du doigt tous les mensonges du parti euthanasique qui œuvre depuis des années pour arriver à ses fins.
Que peut devenir une nation qui tue ses enfants et ses mourants ?
Les soins palliatifs travaillent dans le lâcher prise, cherchent à rendre les derniers moment les plus confortables possibles, à atténuer la douleur, et préparer tout le monde pour le grand saut…
Après avoir « géré » la crise du Covid-19, le gouvernement entend procéder à un changement anthropologique majeur et soudain en faisant de la mort une modalité d’organisation de la vie.
Il ne doit pas y avoir, bien sûr, d’acharnement thérapeutique, mais il doit y avoir un respect absolu de la vie. C’est une question d’humanité.
Forts de moyens financiers, les militants de l’ADMD font depuis plus de dix ans un travail de lobbying d’une efficacité redoutable.
Il avait annoncé : « Nous ne nous réveillerons pas, après le confinement, dans un nouveau monde ; ce sera le même, en un peu pire. » Une fois de plus, il avait raison.
N’aurait il pas été plus « substantiel », et donc plus vrai, d’intituler directement sa proposition de loi « projet pour le droit à une aide active à mourir » ?