Euthanasie
Cette affaire assombrit lourdement l’honneur de la médecine française et le silence du Conseil national de l’ordre en la matière est inquiétant…
Le geste de Mme Lambert fait douloureusement écho au cri d’Antigone s’élevant contre le tyran Créon qui refusait une sépulture à son frère Polynice.
Devant les paroles de son avocat, d’une contributrice et de Jean-Marie Le Méné, nombreux avez-vous été à vous émouvoir du sort de Vincent Lambert…
Nouveau rebondissement dans l’affaire Vincent Lambert. Alors que, le 1er mai, la Cour européenne des droits de l’homme s’était prononcée pour l’arrêt des soins, les
L’avenir de Vincent n’est plus menacé à court terme. Mais ses parents et ses amis doivent rester vigilants.
Condamner à mort Vincent Lambert, c’est signifier aux personnes handicapées que leur vie n’a aucune valeur aux yeux de la société.
Le premier souci d’une société saine devrait être de préserver la famille.
Les trois experts mandatés par la Justice confirment que l’« état végétatif chronique irréversible » de Vincent Lambert ne lui permet pas un « accès possible
Tandis que le tapage médiatique tend à nous convaincre qu’il existe des morts moins dignes que d’autres…
À quoi donc est réduite la vie, ce mystère insondable, lorsqu’elle n’est vue qu’au travers d’un prisme matérialiste, esthétique, sexuel ?
…dans l’immense majorité des cas, et hors militantisme frénétique, l’euthanasie est un questionnement de gens en bonne santé.
L’acharnement thérapeutique n’existe plus, vive l’acharnement euthanasique !
La société belge se dirige vers une optique utilitariste d’éradication des mal portants.
La Finlande a fait son choix ; elle vient de rejeter la légalisation de l’euthanasie, et décidé d’améliorer le recours aux soins palliatifs.
Nous aurons beau nous parer de toutes nos pensées humanistes et progressistes, la mort délibérée du petit Alfie Evans en Angleterre n’a rien de moins révoltant que les infanticides qui nous ont précédés.
Voilà ! C’est fini ! Le courageux petit Alfie Evans est mort dans la nuit de vendredi à samedi, à l’hôpital de Liverpool.
Alfie Evans est un bébé britannique, âgé de vingt-trois mois. Atteint d’une maladie dégénérative très grave, il fait l’objet d’un « protocole de fin de vie »
Deux cas d’euthanasie décidée par le corps médical font l’objet de vives contestations.
Sa mère rappelle que son fils respire sans assistance, qu’il se réveille le matin et s’endort le soir, qu’il n’est pas dans un état végétatif.
Le docteur Xavier Ducrocq, professeur de neurologie de l’université de Lorraine, est le conseiller médical des parents de Vincent Lambert. Il décrit dans quel état
Le CHU de Reims vient de se prononcer pour l’arrêt des traitements de Vincent Lambert, à l’issue d’une procédure collégiale qui a duré cinq mois.
Un homme de 42 ans, Roger Foley, atteint d’une maladie rare et incurable, se voit proposer le choix entre l’euthanasie ou la prise en charge du coût de son hospitalisation, soit 1.800 dollars canadiens par jour.
156 députés ont appelé ce mercredi, dans une tribune du Monde, à légiférer sur l’euthanasie, à laquelle les Français sont très majoritairement favorables.
Le professeur Bernard Debré, ancien ministre, ancien député, donne sa position sur la question de l’euthanasie.
Charles de Meyer explique les menaces que font planer sur l’homme un des projets de loi déposés à l’Assemblée visant à légaliser le suicide assisté.
Elle ne serait aujourd’hui accessible qu’aux personnes de plus de cinquante ans dépressives ou mentalement malades.
La question peut paraître absurde mais elle mérite d’être posée, suite aux propos de Jean-Luc Romero, grand défenseur de l’euthanasie.
Doit-on remplacer par des formulaires administratifs ce qui ne peut faire l’objet que d’un dialogue intime entre le malade et son soignant ?
Cette affaire assombrit lourdement l’honneur de la médecine française et le silence du Conseil national de l’ordre en la matière est inquiétant…
Le geste de Mme Lambert fait douloureusement écho au cri d’Antigone s’élevant contre le tyran Créon qui refusait une sépulture à son frère Polynice.
Devant les paroles de son avocat, d’une contributrice et de Jean-Marie Le Méné, nombreux avez-vous été à vous émouvoir du sort de Vincent Lambert…
Nouveau rebondissement dans l’affaire Vincent Lambert. Alors que, le 1er mai, la Cour européenne des droits de l’homme s’était prononcée pour l’arrêt des soins, les
L’avenir de Vincent n’est plus menacé à court terme. Mais ses parents et ses amis doivent rester vigilants.
Condamner à mort Vincent Lambert, c’est signifier aux personnes handicapées que leur vie n’a aucune valeur aux yeux de la société.
Le premier souci d’une société saine devrait être de préserver la famille.
Les trois experts mandatés par la Justice confirment que l’« état végétatif chronique irréversible » de Vincent Lambert ne lui permet pas un « accès possible
Tandis que le tapage médiatique tend à nous convaincre qu’il existe des morts moins dignes que d’autres…
À quoi donc est réduite la vie, ce mystère insondable, lorsqu’elle n’est vue qu’au travers d’un prisme matérialiste, esthétique, sexuel ?
…dans l’immense majorité des cas, et hors militantisme frénétique, l’euthanasie est un questionnement de gens en bonne santé.
L’acharnement thérapeutique n’existe plus, vive l’acharnement euthanasique !
La société belge se dirige vers une optique utilitariste d’éradication des mal portants.
La Finlande a fait son choix ; elle vient de rejeter la légalisation de l’euthanasie, et décidé d’améliorer le recours aux soins palliatifs.
Nous aurons beau nous parer de toutes nos pensées humanistes et progressistes, la mort délibérée du petit Alfie Evans en Angleterre n’a rien de moins révoltant que les infanticides qui nous ont précédés.
Voilà ! C’est fini ! Le courageux petit Alfie Evans est mort dans la nuit de vendredi à samedi, à l’hôpital de Liverpool.
Alfie Evans est un bébé britannique, âgé de vingt-trois mois. Atteint d’une maladie dégénérative très grave, il fait l’objet d’un « protocole de fin de vie »
Deux cas d’euthanasie décidée par le corps médical font l’objet de vives contestations.
Sa mère rappelle que son fils respire sans assistance, qu’il se réveille le matin et s’endort le soir, qu’il n’est pas dans un état végétatif.
Le docteur Xavier Ducrocq, professeur de neurologie de l’université de Lorraine, est le conseiller médical des parents de Vincent Lambert. Il décrit dans quel état
Le CHU de Reims vient de se prononcer pour l’arrêt des traitements de Vincent Lambert, à l’issue d’une procédure collégiale qui a duré cinq mois.
Un homme de 42 ans, Roger Foley, atteint d’une maladie rare et incurable, se voit proposer le choix entre l’euthanasie ou la prise en charge du coût de son hospitalisation, soit 1.800 dollars canadiens par jour.
156 députés ont appelé ce mercredi, dans une tribune du Monde, à légiférer sur l’euthanasie, à laquelle les Français sont très majoritairement favorables.
Le professeur Bernard Debré, ancien ministre, ancien député, donne sa position sur la question de l’euthanasie.
Charles de Meyer explique les menaces que font planer sur l’homme un des projets de loi déposés à l’Assemblée visant à légaliser le suicide assisté.
Elle ne serait aujourd’hui accessible qu’aux personnes de plus de cinquante ans dépressives ou mentalement malades.
La question peut paraître absurde mais elle mérite d’être posée, suite aux propos de Jean-Luc Romero, grand défenseur de l’euthanasie.
Doit-on remplacer par des formulaires administratifs ce qui ne peut faire l’objet que d’un dialogue intime entre le malade et son soignant ?
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