Mais où est donc la valeur ajoutée de l’enseignement catholique ?
Une telle politique est catastrophique : outre l’impunité, aux effets délétères, elle constitue surtout un déni de justice envers la société et, au premier chef, envers les victimes.
En refusant la réalité d’une violence de plus en plus fréquente à l’encontre des forces de l’ordre, nos prétendues élites se coupent d’une partie de la population…
Les choses sont claires. Pour M. Macron, se défendre contre la racaille, c’est le Far West. Lui seul semble ignorer l’irresponsabilité de son propos.
Quant à Gisèle Halimi, elle s’installera ailleurs.
Augmenter sans cesse la manne financière ne sert à rien sans une profonde réforme. Celle-ci passera par trois axes majeurs : décharger, former, sanctionner.
De gadgets en mesurettes, la politique pénale s’égare. La dernière idée du gouvernement consiste à réformer le « rappel à la loi » pour y
Le ministre ne peut pas tout faire, tout savoir, tout contrôler. Mais lorsqu’il est en fonctions depuis trois ans, il a reçu et lu des rapports, des notes d’information et des alertes en provenance de ses services. Il a été informé des risques sanitaires.
La période électorale qui s’ouvre permettra-t-elle d’entendre des propositions à la fois sévères et réalistes pour lutter contre ce fléau ?
Le régime n’hésite plus à stigmatiser ouvertement les opposants puis à les menacer et, demain, à les sanctionner.
Même après des décennies, la reconnaissance de ce que la justice des hommes s’est trompée est un événement majeur, un acte qui grandit un système judiciaire souvent décrié pour ses faiblesses, ses lenteurs et ses complaisances.
M. Macron veut changer par la loi ce qui relève d’un état d’esprit. Lui et ses amis, et tant d’autres avant eux, ont puissamment contribué à diffuser la culture de l’excuse, de l’assistanat, de l’individualisme, de la victimisation.
Le secret professionnel n’est pas là pour protéger l’avocat. Il protège son client qui doit, comme au médecin ou au prêtre, pouvoir tout dire sans risque de « fuite ». C’est un acquis fondamental dans une société civilisée
Le scandale d’Outreau est celui d’une Justice enfermée dans un fonctionnement cloisonné et idéologique…
Lorsqu’un juge écoute avec complaisance une mère expliquer que son fils jugé pour racket est un bon garçon à la maison, on reste pantois…
En se dévoilant, elle refuse d’être un objet réservé à son mari. Rien que pour cela, elle mérite d’être soutenue.
Invoquer un droit au blasphème est improductif et provocateur. Ce que nous ne devons pas lâcher, c’est le droit absolu de critiquer, voire de combattre la religion musulmane. Mais dans le respect des personnes.
Entre les déclarations à l’emporte-pièce, la volonté de provoquer, la casuistique jésuite et les propos totalement contraires qu’il peut tenir par ailleurs, le moins que l’on puisse dire est qu’une louve n’y retrouverait pas ses petits.
La Justice passe pour être aveugle et pour condamner sans états d’âme.
Nos policiers et gendarmes ne sont pas là pour ça.
Les simples citoyens que nous sommes peuvent-ils agir, dénoncer eux aussi les délires dont on nous inonde depuis neuf mois ?
Le Belge a sollicité une libération anticipée…
Les gardiens du temple des libertés publiques sont muets. Pire que cela : ils sont complices.
L’Écosse est gouvernée par des libéraux libertaires de gauche et, à l’image de leurs camarades d’autres pays du monde, parmi lesquels leurs cousins canadiens, il leur importe d’être en pointe contre tous les types de discrimination.
Et si la République, qui a laissé prospérer ses assassins sur le terreau du relativisme, nous fichait la paix avec le père Hamel ?
En décembre 2018, lors de la prestation de serment d’une promotion de jeunes avocats, l’une d’entre elles s’est présentée voilée. Malaise…
La longue agonie de ce régime à bout de souffle, avec ses Macron, ses Bachelot, ses Darmanin et ses transfuges de tous bords, n’est qu’une épreuve de plus.
Retournons la lorgnette et élargissons le champ de vision. C’est tout un système qui apparaît alors vermoulu.
Mais où est donc la valeur ajoutée de l’enseignement catholique ?
Une telle politique est catastrophique : outre l’impunité, aux effets délétères, elle constitue surtout un déni de justice envers la société et, au premier chef, envers les victimes.
En refusant la réalité d’une violence de plus en plus fréquente à l’encontre des forces de l’ordre, nos prétendues élites se coupent d’une partie de la population…
Les choses sont claires. Pour M. Macron, se défendre contre la racaille, c’est le Far West. Lui seul semble ignorer l’irresponsabilité de son propos.
Quant à Gisèle Halimi, elle s’installera ailleurs.
Augmenter sans cesse la manne financière ne sert à rien sans une profonde réforme. Celle-ci passera par trois axes majeurs : décharger, former, sanctionner.
De gadgets en mesurettes, la politique pénale s’égare. La dernière idée du gouvernement consiste à réformer le « rappel à la loi » pour y
Le ministre ne peut pas tout faire, tout savoir, tout contrôler. Mais lorsqu’il est en fonctions depuis trois ans, il a reçu et lu des rapports, des notes d’information et des alertes en provenance de ses services. Il a été informé des risques sanitaires.
La période électorale qui s’ouvre permettra-t-elle d’entendre des propositions à la fois sévères et réalistes pour lutter contre ce fléau ?
Le régime n’hésite plus à stigmatiser ouvertement les opposants puis à les menacer et, demain, à les sanctionner.
Même après des décennies, la reconnaissance de ce que la justice des hommes s’est trompée est un événement majeur, un acte qui grandit un système judiciaire souvent décrié pour ses faiblesses, ses lenteurs et ses complaisances.
M. Macron veut changer par la loi ce qui relève d’un état d’esprit. Lui et ses amis, et tant d’autres avant eux, ont puissamment contribué à diffuser la culture de l’excuse, de l’assistanat, de l’individualisme, de la victimisation.
Le secret professionnel n’est pas là pour protéger l’avocat. Il protège son client qui doit, comme au médecin ou au prêtre, pouvoir tout dire sans risque de « fuite ». C’est un acquis fondamental dans une société civilisée
Le scandale d’Outreau est celui d’une Justice enfermée dans un fonctionnement cloisonné et idéologique…
Lorsqu’un juge écoute avec complaisance une mère expliquer que son fils jugé pour racket est un bon garçon à la maison, on reste pantois…
En se dévoilant, elle refuse d’être un objet réservé à son mari. Rien que pour cela, elle mérite d’être soutenue.
Invoquer un droit au blasphème est improductif et provocateur. Ce que nous ne devons pas lâcher, c’est le droit absolu de critiquer, voire de combattre la religion musulmane. Mais dans le respect des personnes.
Entre les déclarations à l’emporte-pièce, la volonté de provoquer, la casuistique jésuite et les propos totalement contraires qu’il peut tenir par ailleurs, le moins que l’on puisse dire est qu’une louve n’y retrouverait pas ses petits.
La Justice passe pour être aveugle et pour condamner sans états d’âme.
Nos policiers et gendarmes ne sont pas là pour ça.
Les simples citoyens que nous sommes peuvent-ils agir, dénoncer eux aussi les délires dont on nous inonde depuis neuf mois ?
Le Belge a sollicité une libération anticipée…
Les gardiens du temple des libertés publiques sont muets. Pire que cela : ils sont complices.
L’Écosse est gouvernée par des libéraux libertaires de gauche et, à l’image de leurs camarades d’autres pays du monde, parmi lesquels leurs cousins canadiens, il leur importe d’être en pointe contre tous les types de discrimination.
Et si la République, qui a laissé prospérer ses assassins sur le terreau du relativisme, nous fichait la paix avec le père Hamel ?
En décembre 2018, lors de la prestation de serment d’une promotion de jeunes avocats, l’une d’entre elles s’est présentée voilée. Malaise…
La longue agonie de ce régime à bout de souffle, avec ses Macron, ses Bachelot, ses Darmanin et ses transfuges de tous bords, n’est qu’une épreuve de plus.
Retournons la lorgnette et élargissons le champ de vision. C’est tout un système qui apparaît alors vermoulu.