Pour une grande partie de ceux qui nous dirigent, un prisonnier n’est pas un criminel ou un délinquant mais une victime. La victime d’un système oppressif, inégalitaire ou raciste.
Que les Français ne se fassent pas d’illusions : le procès, s’il a lieu, se tiendra dans dix ans.
À sa décharge, le texte est si confus qu’on s’y perd immédiatement. Difficile d’y voir clair.
Le retour au réel n’est pas pour demain. Et pour les directeurs, le casse-tête imposé mérite un grand coup de chapeau !
La révolte gronde-t-elle chez les catholiques, privés de messe depuis la mi-mars, et semble-t-il jusqu’au 2 juin ? En dépit des déclarations lénifiantes de certains
Nul doute que cette simple proposition fera bondir nombre de confrères, attachés pour l’un à la plaidoirie à l’ancienne…
Sans avocats, plus de recours contre les abus des grands groupes ; plus de défense face aux profiteurs de tout acabit…
Si gouverner c’est prévoir, si être un chef, c’est donner le cap, alors nous n’avons ni gouvernants ni chef.
L’occasion actuelle est trop belle. Les esprits bornés, les rétrécis du cerveau, les aigris, les paranoïaques, les redresseurs de torts, les Zorro de cages d’escalier, les hystériques, les collabos dans l’âme et les imbéciles s’en donnent à cœur joie.
À qui la faute ? À ceux qui, depuis des années, ne prennent aucune mesure pour comprendre, analyser, anticiper et résoudre ce problème incontournable.
Même si la plupart d’entre eux n’en ont aucune conscience, l’activité judiciaire quotidienne est indispensable au bon fonctionnement de la société.
Bien entendu, et tous les chefs d’entreprise le savent, il ne faut pas compter sur les banques.
Nos prisons sont pleines, surchargées, prêtes à exploser. Leur population n’a plus rien à voir avec celle du XIXe siècle, ni même avec celle des années 70.
Reste aux avocats, confrontés à un pouvoir autiste qu’ils ont élu et dont ils ne remettent pas en cause la légitimité, à trouver d’autres moyens d’action.
Il y a urgence absolue. En cas d’explosion, les conséquences en seront incontrôlables. Les surveillants pénitentiaires, en nombre insuffisant et mal payés, seront incapables de faire face et risqueront leur vie.
La grève n’est pas et ne peut pas être une solution.
Est-ce parce que le procureur a été touché par tant de sincérité et de contrition qu’il a proposé de limiter la peine à 8 mois avec sursis ?
Cette spoliation dont ils seront victimes aurait pu être évitée si le Conseil national des barreaux avait fait son travail de négociation
Elle a raison de protester contre un doublement des cotisations et la fusion de son régime dans un régime unique qui va la spolier. Mais elle se fourvoie en allant défiler avec les syndicalistes d’un autre temps.
Marlène Schiappa est l’héritière du fou du roi.
N’allons pas ajouter aux hurlements de la meute. D’autant plus que ces loups qui la poursuivent sont souvent les plus fervents soutiens d’Emmanuel Macron, dont les propos sur le même thème sont tout aussi odieux.
Redynamiser nos centre-villes nécessite un accès équilibré, pas une piétonnisation à outrance ou une politique tout transport en commun.
5 gardiens de prison ont été écartés de leurs fonctions pour islamisme radical. Oui, 5 ! Et 25 personnes ont été recalées au concours d’entrée dans la fonction publique pénitentiaire…
Le ministre de l’Intérieur, en déclarant que les fumées ne faisaient courir aucun risque sanitaire à la population, a provoqué une suspicion immédiate et prévisible.
Le gouvernement répond « transition, accompagnement, compensation ». On sait ce que cela signifie, et personne n’y croit.
Ce jugement ne fait donc que mettre en application la religion laïque du politiquement correct.
Rappelle aux Français que leurs ancêtres se levaient grâce aux tiens, au seuil d’une longue journée de labeur.
Pour une grande partie de ceux qui nous dirigent, un prisonnier n’est pas un criminel ou un délinquant mais une victime. La victime d’un système oppressif, inégalitaire ou raciste.
Que les Français ne se fassent pas d’illusions : le procès, s’il a lieu, se tiendra dans dix ans.
À sa décharge, le texte est si confus qu’on s’y perd immédiatement. Difficile d’y voir clair.
Le retour au réel n’est pas pour demain. Et pour les directeurs, le casse-tête imposé mérite un grand coup de chapeau !
La révolte gronde-t-elle chez les catholiques, privés de messe depuis la mi-mars, et semble-t-il jusqu’au 2 juin ? En dépit des déclarations lénifiantes de certains
Nul doute que cette simple proposition fera bondir nombre de confrères, attachés pour l’un à la plaidoirie à l’ancienne…
Sans avocats, plus de recours contre les abus des grands groupes ; plus de défense face aux profiteurs de tout acabit…
Si gouverner c’est prévoir, si être un chef, c’est donner le cap, alors nous n’avons ni gouvernants ni chef.
L’occasion actuelle est trop belle. Les esprits bornés, les rétrécis du cerveau, les aigris, les paranoïaques, les redresseurs de torts, les Zorro de cages d’escalier, les hystériques, les collabos dans l’âme et les imbéciles s’en donnent à cœur joie.
À qui la faute ? À ceux qui, depuis des années, ne prennent aucune mesure pour comprendre, analyser, anticiper et résoudre ce problème incontournable.
Même si la plupart d’entre eux n’en ont aucune conscience, l’activité judiciaire quotidienne est indispensable au bon fonctionnement de la société.
Bien entendu, et tous les chefs d’entreprise le savent, il ne faut pas compter sur les banques.
Nos prisons sont pleines, surchargées, prêtes à exploser. Leur population n’a plus rien à voir avec celle du XIXe siècle, ni même avec celle des années 70.
Reste aux avocats, confrontés à un pouvoir autiste qu’ils ont élu et dont ils ne remettent pas en cause la légitimité, à trouver d’autres moyens d’action.
Il y a urgence absolue. En cas d’explosion, les conséquences en seront incontrôlables. Les surveillants pénitentiaires, en nombre insuffisant et mal payés, seront incapables de faire face et risqueront leur vie.
La grève n’est pas et ne peut pas être une solution.
Est-ce parce que le procureur a été touché par tant de sincérité et de contrition qu’il a proposé de limiter la peine à 8 mois avec sursis ?
Cette spoliation dont ils seront victimes aurait pu être évitée si le Conseil national des barreaux avait fait son travail de négociation
Elle a raison de protester contre un doublement des cotisations et la fusion de son régime dans un régime unique qui va la spolier. Mais elle se fourvoie en allant défiler avec les syndicalistes d’un autre temps.
Marlène Schiappa est l’héritière du fou du roi.
N’allons pas ajouter aux hurlements de la meute. D’autant plus que ces loups qui la poursuivent sont souvent les plus fervents soutiens d’Emmanuel Macron, dont les propos sur le même thème sont tout aussi odieux.
Redynamiser nos centre-villes nécessite un accès équilibré, pas une piétonnisation à outrance ou une politique tout transport en commun.
5 gardiens de prison ont été écartés de leurs fonctions pour islamisme radical. Oui, 5 ! Et 25 personnes ont été recalées au concours d’entrée dans la fonction publique pénitentiaire…
Le ministre de l’Intérieur, en déclarant que les fumées ne faisaient courir aucun risque sanitaire à la population, a provoqué une suspicion immédiate et prévisible.
Le gouvernement répond « transition, accompagnement, compensation ». On sait ce que cela signifie, et personne n’y croit.
Ce jugement ne fait donc que mettre en application la religion laïque du politiquement correct.
Rappelle aux Français que leurs ancêtres se levaient grâce aux tiens, au seuil d’une longue journée de labeur.