Ce n’est pas « la gauche » qui a battu Donald Trump, c’est la ploutocratie technétronique hypnotisée par la Chine…
Il est important de noter que le Covid-19 a été, depuis le début, le véritable candidat démocrate à la présidentielle.
Trump brutalement révélait à la population une simple réalité : ce qui divise le pays, c’est la lutte des classes et non pas la lutte des races, des religions ou des genres.
Pour Trump, la logique serait de mener une double campagne : Pence s’occupant des bourgeois et Trump s’occupant des prolétaires et des minorités raciales.
Si Trump s’en sort médicalement, il pourrait fort bien rebondir politiquement, et massivement !
Depuis que Trump a rétrogradé son directeur de campagne, il y a quelques semaines, il semble que les choses se passent mieux pour lui.
En 2016, Trump se présente comme un populiste. Il gagne. Hillary Clinton se présente comme une mondialiste. Elle perd.
Il reste un peu plus de trois mois à Trump pour redevenir le révolutionnaire qu’il était en 2016.
Trump doit maintenant annihiler cette peur de l’apocalypse cultivée contre lui par la classe des privilégiés. Ses vrais ennemis.
Il aura suffi que Trump prononce son intention d’inscrire les « antifas » sur la liste des organisations terroristes pour que le tout-Hollywood, qui finançait avec fierté lesdits combattants de la lutte sociale, se mette à trembler sur son trône d’or.
D’où vient le coup ? Pas de Trump qui a tout intérêt à conserver Biden.
Trump semble avoir repris la main et vient de créer un conseil de la relance composé d’entrepreneurs, de gouverneurs et d’épidémiologistes.
Hier encore, il partait pour se faire réélire en novembre, fort de sa « croissance-économique-assise-sur-la-bulle-du-schiste », mais aussi du fait d’une opinion publique fatiguée de
La décision prise par Trump de stopper, pendant un mois, tout vol en provenance de l’Europe se décode ainsi…
L’élection va probablement se réduire à un choix entre le désigné de l’establishment, Biden, qui sera manipulé via sa future vice-présidente par le clan Obama, et Trump…
C’est Poutine qui va gagner l’élection de 2020, car il dispose désormais des deux candidats de la finale. Il faut faire barrage aux deux !
Buttigieg a l’appui de Wall Street (il a travaillé chez McKinsey), se présente comme un « modéré » provincial et anti-Washington…
C’est chose faite : le mouton noir a été acquitté, mais pas tout à fait dans la gloire…
Le sort de Trump est désormais entre les mains des républicains du Sénat qui tissent la corde qui soutient le pendu.
Trump s’est entouré d’équipes bellicistes qui voient deux Carthage à détruire : la russe et l’iranienne.
Son élection, nous l’avons déjà dit, dépendra de sa pénétration au sein de l’électorat afro-américain et hispanique, culturellement conservateur…
L’opération al Baghdadi ne convaincra nullement ses adversaires que Trump soit doté de quelque compétence.
Trump est parti pour gagner l’élection de 2020.
Trump représente un danger « existentiel » pour ces décisionnaires occultes et provoque, depuis trois ans, une allergie viscérale au sein de l’État profond.
Qui tombera le premier ?
Pour favoriser sa campagne 2020, Trump aurait tordu le bras du nouveau président ukrainien…
Trump caresse l’idée de classer les antifas comme organisation terroriste, et ce, afin de faciliter la tâche de la Justice et de la police.
La France menace les GAFA en imposant une taxe sur leurs revenus, au lieu de cibler leurs agissements orwelliens. Et Big Brother de riposter via Trump…
Ce n’est pas « la gauche » qui a battu Donald Trump, c’est la ploutocratie technétronique hypnotisée par la Chine…
Il est important de noter que le Covid-19 a été, depuis le début, le véritable candidat démocrate à la présidentielle.
Trump brutalement révélait à la population une simple réalité : ce qui divise le pays, c’est la lutte des classes et non pas la lutte des races, des religions ou des genres.
Pour Trump, la logique serait de mener une double campagne : Pence s’occupant des bourgeois et Trump s’occupant des prolétaires et des minorités raciales.
Si Trump s’en sort médicalement, il pourrait fort bien rebondir politiquement, et massivement !
Depuis que Trump a rétrogradé son directeur de campagne, il y a quelques semaines, il semble que les choses se passent mieux pour lui.
En 2016, Trump se présente comme un populiste. Il gagne. Hillary Clinton se présente comme une mondialiste. Elle perd.
Il reste un peu plus de trois mois à Trump pour redevenir le révolutionnaire qu’il était en 2016.
Trump doit maintenant annihiler cette peur de l’apocalypse cultivée contre lui par la classe des privilégiés. Ses vrais ennemis.
Il aura suffi que Trump prononce son intention d’inscrire les « antifas » sur la liste des organisations terroristes pour que le tout-Hollywood, qui finançait avec fierté lesdits combattants de la lutte sociale, se mette à trembler sur son trône d’or.
D’où vient le coup ? Pas de Trump qui a tout intérêt à conserver Biden.
Trump semble avoir repris la main et vient de créer un conseil de la relance composé d’entrepreneurs, de gouverneurs et d’épidémiologistes.
Hier encore, il partait pour se faire réélire en novembre, fort de sa « croissance-économique-assise-sur-la-bulle-du-schiste », mais aussi du fait d’une opinion publique fatiguée de
La décision prise par Trump de stopper, pendant un mois, tout vol en provenance de l’Europe se décode ainsi…
L’élection va probablement se réduire à un choix entre le désigné de l’establishment, Biden, qui sera manipulé via sa future vice-présidente par le clan Obama, et Trump…
C’est Poutine qui va gagner l’élection de 2020, car il dispose désormais des deux candidats de la finale. Il faut faire barrage aux deux !
Buttigieg a l’appui de Wall Street (il a travaillé chez McKinsey), se présente comme un « modéré » provincial et anti-Washington…
C’est chose faite : le mouton noir a été acquitté, mais pas tout à fait dans la gloire…
Le sort de Trump est désormais entre les mains des républicains du Sénat qui tissent la corde qui soutient le pendu.
Trump s’est entouré d’équipes bellicistes qui voient deux Carthage à détruire : la russe et l’iranienne.
Son élection, nous l’avons déjà dit, dépendra de sa pénétration au sein de l’électorat afro-américain et hispanique, culturellement conservateur…
L’opération al Baghdadi ne convaincra nullement ses adversaires que Trump soit doté de quelque compétence.
Trump est parti pour gagner l’élection de 2020.
Trump représente un danger « existentiel » pour ces décisionnaires occultes et provoque, depuis trois ans, une allergie viscérale au sein de l’État profond.
Qui tombera le premier ?
Pour favoriser sa campagne 2020, Trump aurait tordu le bras du nouveau président ukrainien…
Trump caresse l’idée de classer les antifas comme organisation terroriste, et ce, afin de faciliter la tâche de la Justice et de la police.
La France menace les GAFA en imposant une taxe sur leurs revenus, au lieu de cibler leurs agissements orwelliens. Et Big Brother de riposter via Trump…
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