Pas inoubliable, ce film garantira néanmoins une agréable sortie cinéma pour le weekend.
Mise en scène de José Bové déterminé à prouver l’innocence d’un homme injustement accusé de corruption.
Le scénario est un peu scolaire, mais Noée Abita et Alexis Neises sont pleinement investis dans leurs rôles.
Le récit d’Alex Garland ne s’appuie sur aucune réalité électorale ni sociologique tangible.
Le message qui ressort du film en filigrane est que les profs de latin sont démissionnaires.
Stéphane Demoustier est totalement passé à côté de son sujet.
Le réalisateur fait l’état des lieux – déplorable – de nos écoles laïques occidentales soumises à la pression de l’islam
Un métier d’autant plus difficile pour nos ambulanciers qu’ils sont souvent accueillis avec hostilité
Les mêmes comportements ont pu être observés, à l’époque, dans l’affaire Samuel Paty.
Pensé comme un genre de thriller psychologique, « Le Jeu de la reine » est un véritable film de survie.
Fort des valeurs qu’il véhicule et d’un casting des plus réussis, ce film brille également par ses qualités visuelles.
Bénéficiant d’un casting solide et d’une bande originale entraînante, ce film ravira pour la beauté de ses paysages
Le réalisateur parvient brillamment à communiquer au spectateur l’énergie et la passion du jazz.
Dans le rôle du célèbre compositeur, Raphaël Personnaz, valeur sûre du cinéma hexagonal, s’est beaucoup investi.
Il serait dommage de passer à côté de ce film.
Le film nous montre comment Winton parvint à mobiliser l’État britannique et à lever des fonds pour mener son projet.
Les voyous ont gangrené l’économie locale via le BTP, l’immobilier, le tourisme, le traitement des déchets…
Par une approche fellinienne qui n’a pas lieu d’être, le cinéaste joue en toute occasion la carte de l’outrance.
Le quotidien bucolique d’une famille nazie occupant un logement de fonction du camp d’Auschwitz
Le film dépeint une société japonaise qui se cherche et demeure attentive aux questions identitaires.
Le cinéaste Thaddeus O’Sullivan livre un film modeste et juste à la fois, qui interroge notre rapport à la piété.
« Le Cercle des neiges » relate en détail, sur plus de 2 heures 20, la chronologie des événements, du crash à la survie.
Ce film chabrolien lève le voile sur le sentiment d’impunité de nombre de notables décadents.
« Dream Scenario », un film américain subversif prenant pour sujet le monde des rêves et de l’imagination.
Vincent Perez ressuscite le temps où il était naturel, pour un homme injurié ou lésé, de défendre son honneur à l’épée.
Dans la culture bouddhiste, qui découle indirectement de l’hindouisme, il y a cette idée que la soif d’être et de devenir (tanha) de l’individu, avec
Sorte de patchwork entre Merlusse, de Marcel Pagnol, et Le Cercle des poètes disparus, Winter Break a un charme fou.
L’ensemble des libertés prises avec le matériau d’origine finit par se retourner contre un cinéaste trop aventureux.
Pas inoubliable, ce film garantira néanmoins une agréable sortie cinéma pour le weekend.
Mise en scène de José Bové déterminé à prouver l’innocence d’un homme injustement accusé de corruption.
Le scénario est un peu scolaire, mais Noée Abita et Alexis Neises sont pleinement investis dans leurs rôles.
Le récit d’Alex Garland ne s’appuie sur aucune réalité électorale ni sociologique tangible.
Le message qui ressort du film en filigrane est que les profs de latin sont démissionnaires.
Stéphane Demoustier est totalement passé à côté de son sujet.
Le réalisateur fait l’état des lieux – déplorable – de nos écoles laïques occidentales soumises à la pression de l’islam
Un métier d’autant plus difficile pour nos ambulanciers qu’ils sont souvent accueillis avec hostilité
Les mêmes comportements ont pu être observés, à l’époque, dans l’affaire Samuel Paty.
Pensé comme un genre de thriller psychologique, « Le Jeu de la reine » est un véritable film de survie.
Fort des valeurs qu’il véhicule et d’un casting des plus réussis, ce film brille également par ses qualités visuelles.
Bénéficiant d’un casting solide et d’une bande originale entraînante, ce film ravira pour la beauté de ses paysages
Le réalisateur parvient brillamment à communiquer au spectateur l’énergie et la passion du jazz.
Dans le rôle du célèbre compositeur, Raphaël Personnaz, valeur sûre du cinéma hexagonal, s’est beaucoup investi.
Il serait dommage de passer à côté de ce film.
Le film nous montre comment Winton parvint à mobiliser l’État britannique et à lever des fonds pour mener son projet.
Les voyous ont gangrené l’économie locale via le BTP, l’immobilier, le tourisme, le traitement des déchets…
Par une approche fellinienne qui n’a pas lieu d’être, le cinéaste joue en toute occasion la carte de l’outrance.
Le quotidien bucolique d’une famille nazie occupant un logement de fonction du camp d’Auschwitz
Le film dépeint une société japonaise qui se cherche et demeure attentive aux questions identitaires.
Le cinéaste Thaddeus O’Sullivan livre un film modeste et juste à la fois, qui interroge notre rapport à la piété.
« Le Cercle des neiges » relate en détail, sur plus de 2 heures 20, la chronologie des événements, du crash à la survie.
Ce film chabrolien lève le voile sur le sentiment d’impunité de nombre de notables décadents.
« Dream Scenario », un film américain subversif prenant pour sujet le monde des rêves et de l’imagination.
Vincent Perez ressuscite le temps où il était naturel, pour un homme injurié ou lésé, de défendre son honneur à l’épée.
Dans la culture bouddhiste, qui découle indirectement de l’hindouisme, il y a cette idée que la soif d’être et de devenir (tanha) de l’individu, avec
Sorte de patchwork entre Merlusse, de Marcel Pagnol, et Le Cercle des poètes disparus, Winter Break a un charme fou.
L’ensemble des libertés prises avec le matériau d’origine finit par se retourner contre un cinéaste trop aventureux.