Le réalisateur parvient brillamment à communiquer au spectateur l’énergie et la passion du jazz.
Dans le rôle du célèbre compositeur, Raphaël Personnaz, valeur sûre du cinéma hexagonal, s’est beaucoup investi.
Il serait dommage de passer à côté de ce film.
Le film nous montre comment Winton parvint à mobiliser l’État britannique et à lever des fonds pour mener son projet.
Les voyous ont gangrené l’économie locale via le BTP, l’immobilier, le tourisme, le traitement des déchets…
Par une approche fellinienne qui n’a pas lieu d’être, le cinéaste joue en toute occasion la carte de l’outrance.
Le quotidien bucolique d’une famille nazie occupant un logement de fonction du camp d’Auschwitz
Le film dépeint une société japonaise qui se cherche et demeure attentive aux questions identitaires.
Le cinéaste Thaddeus O’Sullivan livre un film modeste et juste à la fois, qui interroge notre rapport à la piété.
« Le Cercle des neiges » relate en détail, sur plus de 2 heures 20, la chronologie des événements, du crash à la survie.
Ce film chabrolien lève le voile sur le sentiment d’impunité de nombre de notables décadents.
« Dream Scenario », un film américain subversif prenant pour sujet le monde des rêves et de l’imagination.
Vincent Perez ressuscite le temps où il était naturel, pour un homme injurié ou lésé, de défendre son honneur à l’épée.
À l’occasion de l’été, BV vous propose de redécouvrir des films mis en avant lors de leur sortie au cinéma. Aujourd’hui, Past Lives, de Celine Song.
Sorte de patchwork entre Merlusse, de Marcel Pagnol, et Le Cercle des poètes disparus, Winter Break a un charme fou.
L’ensemble des libertés prises avec le matériau d’origine finit par se retourner contre un cinéaste trop aventureux.
Quatre ans après Les Misérables, notre vertueux réalisateur tente de retrouver le succès avec Bâtiment 5.
Deloget dresse un portrait peu flatteur (caricatural ?) des employés de l’ASE.
Le « cinéma de genre » hexagonal, de toute évidence, n’est donc pas encore mort et enterré.
Le cinéaste livre un récit bourré d’ellipses et de simplifications toutes plus embarrassantes les unes que les autres.
Si l’on veut bien mettre de côté pas mal d’aspérités, le film de Frédéric Tellier est particulièrement bien mené.
Le film brille par ses à-côtés, par ses dialogues ciselés et par ses petites trouvailles scénaristiques.
2023 oblige, le scénario a dû céder aux injonctions multiculturalistes et interconfessionnelles.
Dupontel nous prouve par son universalisme qu’il sera toujours du côté du manche.
Le film de Thomas Cailley martèle l’idée d’une frontière ténue entre l’homme et l’animal.
Cédric Kahn propose un film de prétoire épuré de tout effet dramatique, sans flash-back ni musique.
Michel Gondry célèbre l’imagination débridée et la folie créatrice.
Laurent Lafitte campe à l’écran un Bernard Tapie grande gueule, bluffeur, faiseur et magouilleur.
Le réalisateur parvient brillamment à communiquer au spectateur l’énergie et la passion du jazz.
Dans le rôle du célèbre compositeur, Raphaël Personnaz, valeur sûre du cinéma hexagonal, s’est beaucoup investi.
Il serait dommage de passer à côté de ce film.
Le film nous montre comment Winton parvint à mobiliser l’État britannique et à lever des fonds pour mener son projet.
Les voyous ont gangrené l’économie locale via le BTP, l’immobilier, le tourisme, le traitement des déchets…
Par une approche fellinienne qui n’a pas lieu d’être, le cinéaste joue en toute occasion la carte de l’outrance.
Le quotidien bucolique d’une famille nazie occupant un logement de fonction du camp d’Auschwitz
Le film dépeint une société japonaise qui se cherche et demeure attentive aux questions identitaires.
Le cinéaste Thaddeus O’Sullivan livre un film modeste et juste à la fois, qui interroge notre rapport à la piété.
« Le Cercle des neiges » relate en détail, sur plus de 2 heures 20, la chronologie des événements, du crash à la survie.
Ce film chabrolien lève le voile sur le sentiment d’impunité de nombre de notables décadents.
« Dream Scenario », un film américain subversif prenant pour sujet le monde des rêves et de l’imagination.
Vincent Perez ressuscite le temps où il était naturel, pour un homme injurié ou lésé, de défendre son honneur à l’épée.
À l’occasion de l’été, BV vous propose de redécouvrir des films mis en avant lors de leur sortie au cinéma. Aujourd’hui, Past Lives, de Celine Song.
Sorte de patchwork entre Merlusse, de Marcel Pagnol, et Le Cercle des poètes disparus, Winter Break a un charme fou.
L’ensemble des libertés prises avec le matériau d’origine finit par se retourner contre un cinéaste trop aventureux.
Quatre ans après Les Misérables, notre vertueux réalisateur tente de retrouver le succès avec Bâtiment 5.
Deloget dresse un portrait peu flatteur (caricatural ?) des employés de l’ASE.
Le « cinéma de genre » hexagonal, de toute évidence, n’est donc pas encore mort et enterré.
Le cinéaste livre un récit bourré d’ellipses et de simplifications toutes plus embarrassantes les unes que les autres.
Si l’on veut bien mettre de côté pas mal d’aspérités, le film de Frédéric Tellier est particulièrement bien mené.
Le film brille par ses à-côtés, par ses dialogues ciselés et par ses petites trouvailles scénaristiques.
2023 oblige, le scénario a dû céder aux injonctions multiculturalistes et interconfessionnelles.
Dupontel nous prouve par son universalisme qu’il sera toujours du côté du manche.
Le film de Thomas Cailley martèle l’idée d’une frontière ténue entre l’homme et l’animal.
Cédric Kahn propose un film de prétoire épuré de tout effet dramatique, sans flash-back ni musique.
Michel Gondry célèbre l’imagination débridée et la folie créatrice.
Laurent Lafitte campe à l’écran un Bernard Tapie grande gueule, bluffeur, faiseur et magouilleur.
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