Le film de James Marsh bénéficie d’un casting impeccable mené par Colin Firth et Rachel Weisz, dont l’alchimie fonctionne à merveille.
Un documentaire gentillet et inoffensif, qui ne prend jamais de risque et qui méritait aussi bien une diffusion télé…
Le cinéaste Xavier Giannoli réutilise parmi d’autres la thématique de l’escroquerie pour son nouveau film L’Apparition.
Si un cinéaste quelconque éprouve le besoin de faire un tel film aujourd’hui, c’est que le réel est bien plus désespérant qu’il ne veut l’admettre…
En dépit d’une intéressante reconstitution historique, le film, hélas, n’est pas d’une grande subtilité.
Les Heures sombres est un film passionnant à suivre, que tous nos patriotes souverainistes (pléonasme) devraient voir.
Débarqué à l’aéroport de Téhéran le 16 septembre dernier, les autorités iraniennes lui ont aussitôt confisqué son passeport avant d’entamer contre lui des poursuites judiciaires.
La déclaration d’amour est vaine et c’est précisément en cela qu’elle est émouvante.
Le film est appréciable en cela qu’il met les femmes en valeur sans pour autant s’encombrer d’un féminisme crétin, hystérique et revanchard.
On se demande ce que le pauvre Fabrizio Rongione, comédien remarquable et fidèle des frères Dardenne, est allé faire dans cette galère.
Non seulement Adeline d’Hermy crève l’écran à chaque séquence, mais le film semble avoir été écrit spécialement pour elle.
Le récit tourne autour de Christian, célèbre conservateur de musée, un brin tête à claque, mondain mais de bonne foi.
Le problème du film est qu’il en vient, hélas, à défendre une certaine forme de discrimination positive à l’anglo-saxonne.
Restent la comédie (très réussie), les costumes et les acteurs…
Nous sommes en 1891, et Paul Gauguin jouit déjà d’une solide renommée dans la peinture…
Dans la filmographie de Sofia Coppola, on peut dire qu’il y a à boire et à manger.
Bien moins niaiseux que le laisse penser sa bande annonce, My cousin Rachel est un thriller agréable à suivre.
Visiblement, le CNC n’éprouve aucun scrupule à soutenir financièrement toute entreprise de subversion de l’Histoire de France…
L’industrie du cinéma estime opportun (et urgent !), à présent, de nous faire rire du salafisme…
Jacques Doillon nous propose un film biographique retraçant une dizaine d’années de la vie du sculpteur.
Un film à voir, à faire connaître, et qui, à l’image de son auteur, rend un peu de dignité au cinéma français.
Un film dispensable auquel on préfèrera la version plus poétique de Jean Cocteau.
Le film de James Marsh bénéficie d’un casting impeccable mené par Colin Firth et Rachel Weisz, dont l’alchimie fonctionne à merveille.
Un documentaire gentillet et inoffensif, qui ne prend jamais de risque et qui méritait aussi bien une diffusion télé…
Le cinéaste Xavier Giannoli réutilise parmi d’autres la thématique de l’escroquerie pour son nouveau film L’Apparition.
Si un cinéaste quelconque éprouve le besoin de faire un tel film aujourd’hui, c’est que le réel est bien plus désespérant qu’il ne veut l’admettre…
En dépit d’une intéressante reconstitution historique, le film, hélas, n’est pas d’une grande subtilité.
Les Heures sombres est un film passionnant à suivre, que tous nos patriotes souverainistes (pléonasme) devraient voir.
Débarqué à l’aéroport de Téhéran le 16 septembre dernier, les autorités iraniennes lui ont aussitôt confisqué son passeport avant d’entamer contre lui des poursuites judiciaires.
La déclaration d’amour est vaine et c’est précisément en cela qu’elle est émouvante.
Le film est appréciable en cela qu’il met les femmes en valeur sans pour autant s’encombrer d’un féminisme crétin, hystérique et revanchard.
On se demande ce que le pauvre Fabrizio Rongione, comédien remarquable et fidèle des frères Dardenne, est allé faire dans cette galère.
Non seulement Adeline d’Hermy crève l’écran à chaque séquence, mais le film semble avoir été écrit spécialement pour elle.
Le récit tourne autour de Christian, célèbre conservateur de musée, un brin tête à claque, mondain mais de bonne foi.
Le problème du film est qu’il en vient, hélas, à défendre une certaine forme de discrimination positive à l’anglo-saxonne.
Restent la comédie (très réussie), les costumes et les acteurs…
Nous sommes en 1891, et Paul Gauguin jouit déjà d’une solide renommée dans la peinture…
Dans la filmographie de Sofia Coppola, on peut dire qu’il y a à boire et à manger.
Bien moins niaiseux que le laisse penser sa bande annonce, My cousin Rachel est un thriller agréable à suivre.
Visiblement, le CNC n’éprouve aucun scrupule à soutenir financièrement toute entreprise de subversion de l’Histoire de France…
L’industrie du cinéma estime opportun (et urgent !), à présent, de nous faire rire du salafisme…
Jacques Doillon nous propose un film biographique retraçant une dizaine d’années de la vie du sculpteur.
Un film à voir, à faire connaître, et qui, à l’image de son auteur, rend un peu de dignité au cinéma français.
Un film dispensable auquel on préfèrera la version plus poétique de Jean Cocteau.