Écologie
Si l’écologie est un enjeu infiniment respectable en soi, elle n’a malheureusement rien à voir avec la guerre.
Les spectacles de faucon sont dans le collimateur d’une association animaliste. Au mépris des réalités du métier ?
Le communautarisme religieux est très important, en Belgique.
Qu’il ait lieu ou pas, envisager l’abattage de 195.000 bovins sains paraît monstrueux – sauf pour les écologistes.
Leur acte autoqualifié de « résistance civile non violente » s’apparente plutôt à un acte de vandalisme.
Dans ce lieu, financé par l’argent du contribuables, des militants incitent à enfreindre la loi.
Ce n’est pas parce que les écologistes actuels m’agacent qu’ils ne disent que des sottises.
Le corps humain s’efface et disparaît tandis que le culte rendu à Gaïa explique toutes les déviances inimaginables.
Selon le collectif, cette action vise à défendre la cause de la « rénovation thermique des bâtiments ».
Les derniers secrets des dictateurs, thème du nouveau hors-série de Valeurs actuelles, est consacré aux pans cachés du parcours des dictateurs en question. Dont la
Les examens, bac, BTS et autres sont désormais l’occasion d’une propagande écologiste et gauchiste tout sauf discrète.
L’écologie n’est qu’un prétexte à des actions révolutionnaires violentes et la promotion d’une société décliniste
Il y a, reconnaissons-le, une bonne part de vérité dans ce discours.
L’écologie jusqu’où ? Les privations de libertés jusqu’où ? Le piétinement de la démocratie jusqu’où ?
Contre l’A69, il s’agit de défendre, aussi, l’intégrité de terres agricoles.
Sa liberté sur ces sujets délicats n’est donc pas celle du fou mais celle du savant. Il a le courage d’en user en conscience dans un domaine (un de plus) dans lequel le moindre écart, la moindre erreur, la moindre divergence vous vaut aussitôt l’enfer médiatique.
Quand on est en train de sauver la planète, on ne peut s’encombrer de ces petitesses.
Trois entrepreneurs ont été condamnés par le tribunal de Grasse à de lourdes amendes pour avoir emmené des touristes nager avec les dauphins.
C’est une autre France, une France qui marche en bottes dans les forêts mais ne glisse pas : pas de ski, pas de patin à roulettes, pas de trottinette ni de skate.
Dans le ciel entre Paris et New York, un ange écolo est passé.
Ces néo-malthusiens reviennent à la charge régulièrement et médiatisent leur refus de fonder une famille pour « sauver la planète ». Fort heureusement, l’Histoire vient contredire ces oiseaux de mauvais augure qui prédisent la fin du monde sur les plateaux de télévision.
La Croix et Kermel portent une lourde responsabilité, que l’on imagine idéologiquement assumée, en publiant une chronique aussi accusatrice vis-à-vis de l’Église déjà suffisamment dans la tourmente d’une part, mais surtout complétement trompeuse sur les plans philosophique et théologique d’autre part.
Pendant que ses ministres insultaient l’Italie, Emmanuel Macron collectait les questions sur Twitter afin d’éclairer les Français sur sa politique en matière d’écologie.
Une sorte de causerie au coin du feu éteint entre climato-déprimés, le tout générant autant d’air qu’une éolienne en pleine tempête…
La déconfiture d’une filière nucléaire française d’excellence est méthodiquement organisée depuis vingt ans par des écologistes sans scrupules.
En confiant tout au politique, on abandonne la science des ingénieurs (celle qui nous faisait faire des plans Mesmer et des révolutions vertes à la Norman Borlaug) pour la science des législateurs.
Certains estiment que son ralliement à Emmanuel Macron fut motivé par son ambition personnelle.
On nous invente aujourd’hui le climato-coupable ennemi de la planète, voué aux vitupérations de Greta Thunberg et désigné à la détestation de jeunes gens manipulés.
Si l’écologie est un enjeu infiniment respectable en soi, elle n’a malheureusement rien à voir avec la guerre.
Les spectacles de faucon sont dans le collimateur d’une association animaliste. Au mépris des réalités du métier ?
Le communautarisme religieux est très important, en Belgique.
Qu’il ait lieu ou pas, envisager l’abattage de 195.000 bovins sains paraît monstrueux – sauf pour les écologistes.
Leur acte autoqualifié de « résistance civile non violente » s’apparente plutôt à un acte de vandalisme.
Dans ce lieu, financé par l’argent du contribuables, des militants incitent à enfreindre la loi.
Ce n’est pas parce que les écologistes actuels m’agacent qu’ils ne disent que des sottises.
Le corps humain s’efface et disparaît tandis que le culte rendu à Gaïa explique toutes les déviances inimaginables.
Selon le collectif, cette action vise à défendre la cause de la « rénovation thermique des bâtiments ».
Les derniers secrets des dictateurs, thème du nouveau hors-série de Valeurs actuelles, est consacré aux pans cachés du parcours des dictateurs en question. Dont la
Les examens, bac, BTS et autres sont désormais l’occasion d’une propagande écologiste et gauchiste tout sauf discrète.
L’écologie n’est qu’un prétexte à des actions révolutionnaires violentes et la promotion d’une société décliniste
Il y a, reconnaissons-le, une bonne part de vérité dans ce discours.
L’écologie jusqu’où ? Les privations de libertés jusqu’où ? Le piétinement de la démocratie jusqu’où ?
Contre l’A69, il s’agit de défendre, aussi, l’intégrité de terres agricoles.
Sa liberté sur ces sujets délicats n’est donc pas celle du fou mais celle du savant. Il a le courage d’en user en conscience dans un domaine (un de plus) dans lequel le moindre écart, la moindre erreur, la moindre divergence vous vaut aussitôt l’enfer médiatique.
Quand on est en train de sauver la planète, on ne peut s’encombrer de ces petitesses.
Trois entrepreneurs ont été condamnés par le tribunal de Grasse à de lourdes amendes pour avoir emmené des touristes nager avec les dauphins.
C’est une autre France, une France qui marche en bottes dans les forêts mais ne glisse pas : pas de ski, pas de patin à roulettes, pas de trottinette ni de skate.
Dans le ciel entre Paris et New York, un ange écolo est passé.
Ces néo-malthusiens reviennent à la charge régulièrement et médiatisent leur refus de fonder une famille pour « sauver la planète ». Fort heureusement, l’Histoire vient contredire ces oiseaux de mauvais augure qui prédisent la fin du monde sur les plateaux de télévision.
La Croix et Kermel portent une lourde responsabilité, que l’on imagine idéologiquement assumée, en publiant une chronique aussi accusatrice vis-à-vis de l’Église déjà suffisamment dans la tourmente d’une part, mais surtout complétement trompeuse sur les plans philosophique et théologique d’autre part.
Pendant que ses ministres insultaient l’Italie, Emmanuel Macron collectait les questions sur Twitter afin d’éclairer les Français sur sa politique en matière d’écologie.
Une sorte de causerie au coin du feu éteint entre climato-déprimés, le tout générant autant d’air qu’une éolienne en pleine tempête…
La déconfiture d’une filière nucléaire française d’excellence est méthodiquement organisée depuis vingt ans par des écologistes sans scrupules.
En confiant tout au politique, on abandonne la science des ingénieurs (celle qui nous faisait faire des plans Mesmer et des révolutions vertes à la Norman Borlaug) pour la science des législateurs.
Certains estiment que son ralliement à Emmanuel Macron fut motivé par son ambition personnelle.
On nous invente aujourd’hui le climato-coupable ennemi de la planète, voué aux vitupérations de Greta Thunberg et désigné à la détestation de jeunes gens manipulés.