Écologie
C’est d’écologie du tiroir-caisse qu’il est question.
La transition écologique est trop souvent réduite à la seule nécessité de lutter contre le réchauffement climatique.
À quand une grande mobilisation internationale pour sauver le ver de terre ?
Ces jours-ci, les grands financiers de la planète sont rassemblés dans la très chic station de Davos, dans les Grisons suisses.
Éteindre l’espèce humaine au nom de la défense de l’environnement, voilà une idée à laquelle il fallait penser.
L’écologie est devenue incontournable. Pour certains, on n’en fait pas assez. Pour d’autres, on en fait trop. Quoi qu’il en soit, elle est devenue clivante, parfois délirante.
Tout cela, c’est du concret, pas du discours d’écolos d’opérette pour justifier un matraquage fiscal.
Une critique écologique de l’immigration trouverait totalement sa place.
Pourquoi serait-il immoral de tuer un sanglier, pour s’en nourrir, et moral de tuer un insecte parce qu’il nous importune, voire simplement parce que nous en aurions peur ?
Pourquoi pas Bardot, qui sonne comme Hulot, et n’aime rien tant que les animaux…
En vérité, les Californiens font depuis des années leur miel de tous les délires écologistes…
Nicolas Hulot veut réintroduire deux ourses femelles, à l’automne, dans le massif pyrénéen.
Vivons avec nos animaux sauvages plutôt que contre eux !
Loin d’être un prétexte électoraliste, l’écologie est d’abord une « science de la complexité des systèmes ».
C’est d’écologie du tiroir-caisse qu’il est question.
La transition écologique est trop souvent réduite à la seule nécessité de lutter contre le réchauffement climatique.
À quand une grande mobilisation internationale pour sauver le ver de terre ?
Ces jours-ci, les grands financiers de la planète sont rassemblés dans la très chic station de Davos, dans les Grisons suisses.
Éteindre l’espèce humaine au nom de la défense de l’environnement, voilà une idée à laquelle il fallait penser.
L’écologie est devenue incontournable. Pour certains, on n’en fait pas assez. Pour d’autres, on en fait trop. Quoi qu’il en soit, elle est devenue clivante, parfois délirante.
Tout cela, c’est du concret, pas du discours d’écolos d’opérette pour justifier un matraquage fiscal.
Une critique écologique de l’immigration trouverait totalement sa place.
Pourquoi serait-il immoral de tuer un sanglier, pour s’en nourrir, et moral de tuer un insecte parce qu’il nous importune, voire simplement parce que nous en aurions peur ?
Pourquoi pas Bardot, qui sonne comme Hulot, et n’aime rien tant que les animaux…
En vérité, les Californiens font depuis des années leur miel de tous les délires écologistes…
Nicolas Hulot veut réintroduire deux ourses femelles, à l’automne, dans le massif pyrénéen.
Vivons avec nos animaux sauvages plutôt que contre eux !
Loin d’être un prétexte électoraliste, l’écologie est d’abord une « science de la complexité des systèmes ».