Le dossier noir de la liberté d’expression
Le trublion du PAF sera omniprésent en cette rentrée. Une victoire… provisoire.
Comme C8, L’Incorrect fait l’expérience de ce que vit la presse sous les régimes autoritaires.
Imaginez… Ou plutôt, faisons un horrible cauchemar ! Imaginez un dirigeant dangereux pour la démocratie, un Trump, un Orbán, un Poutine, un Erdoğan : complotiste,
À Wikipédia, falsification des fiches et bannissement : un moyen commode d’écarter les empêcheurs de penser en rond.
Malheur à celui qui ose remettre en cause le saint dogme du réchauffement dû à l’homme
Cette femme qui vient de faire l’objet de menaces de mort est placée sous protection policière.
Désormais, soyez donc méfiant ! Pensez à éviter tous propos litigieux envers les sous-groupes regroupés en groupe !
Sous couvert d’un droit prétorien assez peu lisible qui s’est construit à mesure de l’évolution des mœurs, chaque offensé peut désormais estimer que les propos qu’on lui oppose sont une incitation à la discrimination et à la haine.
Nouvel épisode de la saga des Sleeping Giants depuis que le député Louis Boyard a eu l’altercation que l’on sait avec Cyril Hanouna.
Pascal Légitimus nous l’a laissé entendre, hélas, sans clair-obscur : en 2022, la liberté d’expression n’est pas égalitaire.
On comprend bien en filigrane que la constitution de ce DGB est une réponse au rachat de Twitter et aux menaces de la liberté d’expression rétablie.
Le rapport de Reporters sans frontières (RSF) paru la semaine dernière fustige la « foxisation de l’information » comme une cause d’aggravation des tensions sociales en France.
Jupiter a profité de son meeting d’hier à Strasbourg pour ajouter la Hongrie à son très long répertoire de saillies.
Wikipédia propose un savoir universel à travers une organisation pyramidale et sous contrôle pour un site qu’on pourrait croire à tort un lieu de débat et d’échanges constructifs.
Ce samedi après-midi, à Caen, en pleine période électorale, époque où chacun fait campagne, des femmes s’étaient donné rendez-vous pour afficher leur soutien à la
En janvier 2021, nous avions eu la preuve de la peur réelle régnant dans les écoles, sensées être des sanctuaires.
À chaque fois, c’est tout un écosystème qui se met en mouvement et organise la censure en s’appuyant sur le triptyque surveillance – dénonciation – répression.
Avec le trio Castex-Véran-Macron, nous sommes retournés avant la nuit du 4 août 1789 : l’état de vaccination, comme alors la naissance, détermine deux types de citoyens, avec des droits différents : le piqué et le non-piqué.
Lorsque ce dispositif se penche sur la pornographie, l’utilisation de mineurs dans des activités manifestement illicites ou le piratage, il est acceptable. S’il s’applique un jour aux opinions, on pourra craindre une dérive à la chinoise.
Il en faut plus pour satisfaire les braves gens ; les zones de non-droit ne seront, de toutes façons, pas contrôlées. Ce n’est, il est vrai, pas la priorité : ce qu’il faut, c’est mettre la pression à ces salauds de non-vaccinés…
Leur souhait de voir leur école se dépolitiser restera un vœu pieux tant que la majorité silencieuse ne prendra pas la parole pour s’opposer à une gauche d’autant plus sectaire qu’elle a la certitude d’avoir raison.
Un mouvement spontané numérique est né : les Corsaires. Pour défendre la liberté d’expression menacée par les Sleeping Giants, ces activistes numériques qui s’attaquent à
Selina Todd, une autre universitaire anglaise, est contrainte de s’entourer d’agents de sécurité lorsqu’elle prononce une conférence.
Incapable d’apporter la sécurité aux Français, l’État macroniste se réveille pour attaquer le porteur de mauvaises nouvelles et le défenseur de l’intérêt général.
Nos dirigeants osent affirmer qu’au nom des « valeurs de la République », ils défendent contre vents et marées la libre expression de toutes les opinions…
On le sait depuis le 29 septembre : à quelque mois de l’élection présidentielle, Emmanuel Macron a donc décidé de créer une commission composée de
Mardi, une centaine de manifestants se sont rassemblés devant le CSA, à Paris, pour protester contre l’éviction d’Éric Zemmour de la chaîne CNews. Une manifestation
Des barricades ont été dressées devant le studio, des alarmes activées, des chiens dressés à la détection de la mauvaise pensée sont prêts à bondir. Il ne passera pas.
Le trublion du PAF sera omniprésent en cette rentrée. Une victoire… provisoire.
Comme C8, L’Incorrect fait l’expérience de ce que vit la presse sous les régimes autoritaires.
Imaginez… Ou plutôt, faisons un horrible cauchemar ! Imaginez un dirigeant dangereux pour la démocratie, un Trump, un Orbán, un Poutine, un Erdoğan : complotiste,
À Wikipédia, falsification des fiches et bannissement : un moyen commode d’écarter les empêcheurs de penser en rond.
Malheur à celui qui ose remettre en cause le saint dogme du réchauffement dû à l’homme
Cette femme qui vient de faire l’objet de menaces de mort est placée sous protection policière.
Désormais, soyez donc méfiant ! Pensez à éviter tous propos litigieux envers les sous-groupes regroupés en groupe !
Sous couvert d’un droit prétorien assez peu lisible qui s’est construit à mesure de l’évolution des mœurs, chaque offensé peut désormais estimer que les propos qu’on lui oppose sont une incitation à la discrimination et à la haine.
Nouvel épisode de la saga des Sleeping Giants depuis que le député Louis Boyard a eu l’altercation que l’on sait avec Cyril Hanouna.
Pascal Légitimus nous l’a laissé entendre, hélas, sans clair-obscur : en 2022, la liberté d’expression n’est pas égalitaire.
On comprend bien en filigrane que la constitution de ce DGB est une réponse au rachat de Twitter et aux menaces de la liberté d’expression rétablie.
Le rapport de Reporters sans frontières (RSF) paru la semaine dernière fustige la « foxisation de l’information » comme une cause d’aggravation des tensions sociales en France.
Jupiter a profité de son meeting d’hier à Strasbourg pour ajouter la Hongrie à son très long répertoire de saillies.
Wikipédia propose un savoir universel à travers une organisation pyramidale et sous contrôle pour un site qu’on pourrait croire à tort un lieu de débat et d’échanges constructifs.
Ce samedi après-midi, à Caen, en pleine période électorale, époque où chacun fait campagne, des femmes s’étaient donné rendez-vous pour afficher leur soutien à la
En janvier 2021, nous avions eu la preuve de la peur réelle régnant dans les écoles, sensées être des sanctuaires.
À chaque fois, c’est tout un écosystème qui se met en mouvement et organise la censure en s’appuyant sur le triptyque surveillance – dénonciation – répression.
Avec le trio Castex-Véran-Macron, nous sommes retournés avant la nuit du 4 août 1789 : l’état de vaccination, comme alors la naissance, détermine deux types de citoyens, avec des droits différents : le piqué et le non-piqué.
Lorsque ce dispositif se penche sur la pornographie, l’utilisation de mineurs dans des activités manifestement illicites ou le piratage, il est acceptable. S’il s’applique un jour aux opinions, on pourra craindre une dérive à la chinoise.
Il en faut plus pour satisfaire les braves gens ; les zones de non-droit ne seront, de toutes façons, pas contrôlées. Ce n’est, il est vrai, pas la priorité : ce qu’il faut, c’est mettre la pression à ces salauds de non-vaccinés…
Leur souhait de voir leur école se dépolitiser restera un vœu pieux tant que la majorité silencieuse ne prendra pas la parole pour s’opposer à une gauche d’autant plus sectaire qu’elle a la certitude d’avoir raison.
Un mouvement spontané numérique est né : les Corsaires. Pour défendre la liberté d’expression menacée par les Sleeping Giants, ces activistes numériques qui s’attaquent à
Selina Todd, une autre universitaire anglaise, est contrainte de s’entourer d’agents de sécurité lorsqu’elle prononce une conférence.
Incapable d’apporter la sécurité aux Français, l’État macroniste se réveille pour attaquer le porteur de mauvaises nouvelles et le défenseur de l’intérêt général.
Nos dirigeants osent affirmer qu’au nom des « valeurs de la République », ils défendent contre vents et marées la libre expression de toutes les opinions…
On le sait depuis le 29 septembre : à quelque mois de l’élection présidentielle, Emmanuel Macron a donc décidé de créer une commission composée de
Mardi, une centaine de manifestants se sont rassemblés devant le CSA, à Paris, pour protester contre l’éviction d’Éric Zemmour de la chaîne CNews. Une manifestation
Des barricades ont été dressées devant le studio, des alarmes activées, des chiens dressés à la détection de la mauvaise pensée sont prêts à bondir. Il ne passera pas.