Pour cela, plusieurs angles d’attaque.
Dans son discours du 15 novembre, Trump, en habitué des vents contraires, a promis de se battre comme il ne l’a jamais fait auparavant.
À première vue, donc, Joe Biden n’a pas obtenu la sanction que présageait son faible taux de popularité.
Son slogan « God, family, country » (ou « Dieu, la famille, la nation ») n’avait pas pour projet de parler aux modérés, loin s’en faut, mais plutôt de raviver les valeurs traditionnelles des électeurs.
Beaucoup d’acharnement pour un seul homme qui, pourtant, incarne l’American dream à lui seul.
C’est un tremblement de terre que vivent les États-Unis, tant, de France, il nous paraît impossible de revenir sur de pareilles lois sociétales.
Si ces mesures de discrimination positive (« affirmative action ») à l’entrée des universités américaines ne datent pas d’hier, jamais l’ouverture à la diversité n’avait été autant encouragée sur les campus que sous le mandat Obama.
Elon Musk vient d’annoncer, sur Twitter, avoir voté républicain pour la première fois de sa vie, ce 14 juin.
En Floride, suite à la fusillade d’Ulvade, le gouverneur Ron DeSantis a, lui, tout de suite privilégié le renforcement de la sécurité des enfants au sein des écoles, dans la continuité de son mandat.
Pour un président déchu, force est de constater que l’énergie déployée par le camp de l’opposition pour le mettre davantage à terre est sans précédent. On le mesure d’autant plus face à l’inertie du gouvernement en place pour résoudre les problèmes majeurs des Américains.
Les personnes noires comprennent qu’elles n’ont pas été nommées pour les bonnes raisons et que les démocrates n’ont aucun désir de prendre en compte leur avis.
L’ambiance américaine de la fin des années 1980 et début des années 1990 (non encore « wokisée » ou soumise au politiquement correct) semble avoir façonné cette génération.
Joe Biden n’a aucun plan d’action prévu pour la frontière mexicaine, tout n’est qu’incohérences.
Ces mésaventures auront-elles (pour de bon) ouvert les yeux du milliardaire sur l’idéologie insidieuse de la gauche ?
À ceux qui lui disent que c’est impossible, comme à un Trump en son temps, Kathy Barnette répond qu’elle aime son pays et que cela lui donne le droit d’essayer.
On comprend bien en filigrane que la constitution de ce DGB est une réponse au rachat de Twitter et aux menaces de la liberté d’expression rétablie.
Côté politique, les conservateurs satisfaits expliquent qu’il s’agit d’une victoire de Donald Trump post-présidentielle. Rappelons que sur les neuf juges de la Cour suprême, Trump en a nommé trois…
L’une des trois fondatrices du mouvement, Patrisse Cullors, a acheté une villa dans le quartier chic de Malibu, à Los Angeles, pour la modique somme de 6 millions de dollars.
L’espoir suscité n’empêche pas les commentateurs de s’interroger sur les embûches. Les ennemis sont partout. Comment va donc s’y prendre le milliardaire ? Et tout d’abord en interne ?
Le Sénat de l’État de Louisiane vient de publier un texte de projet de loi (Senate Bill 44) obligeant les sportifs transgenres à ne concourir, pour les tournois universitaires, que dans les compétitions correspondant à leur sexe d’origine.
Le temps de la passivité face aux contre-pouvoirs privés de la gauche idéologique est désormais révolu.
La mesure prise par l’administration Biden fait craindre une explosion des passages illégaux à la frontière mexicaine et une crise humanitaire sans précédent.
Pour le moment, rien n’indique qu’il était lié au mouvement Black Lives Matter. Le New York Post précise, cependant, qu’il relayait des contenus affiliés à l’extrémisme identitaire noir.
La révocation de la mesure 42 fait craindre aux républicains un raz-de-marée de clandestins sans précédent, venus d’Amérique centrale et d’Haïti
Ce mardi 5 avril, Barack Obama, 44e président des États-Unis, était de retour à la Maison-Blanche.
Pour la presse, c’est le scandale. Pas les frasques et affaires de corruption du clan Biden, non. La simple mention du président russe « prouverait » que Donald Trump entretient des liens avec le va-t-en-guerre Vladimir Poutine.
Alors que la Maison-Blanche travaille d’arrache-pied pour donner l’image d’un duo Biden-Harris uni, ces nouvelles révélations présentent Kamala Harris comme incompétente et loin des critères requis pour le poste qu’elle occupe.
Le dossier chinois était un premier pas. Quid du dossier liant les Biden avec l’Ukraine en cette période très tendue ?
Pour cela, plusieurs angles d’attaque.
Dans son discours du 15 novembre, Trump, en habitué des vents contraires, a promis de se battre comme il ne l’a jamais fait auparavant.
À première vue, donc, Joe Biden n’a pas obtenu la sanction que présageait son faible taux de popularité.
Son slogan « God, family, country » (ou « Dieu, la famille, la nation ») n’avait pas pour projet de parler aux modérés, loin s’en faut, mais plutôt de raviver les valeurs traditionnelles des électeurs.
Beaucoup d’acharnement pour un seul homme qui, pourtant, incarne l’American dream à lui seul.
C’est un tremblement de terre que vivent les États-Unis, tant, de France, il nous paraît impossible de revenir sur de pareilles lois sociétales.
Si ces mesures de discrimination positive (« affirmative action ») à l’entrée des universités américaines ne datent pas d’hier, jamais l’ouverture à la diversité n’avait été autant encouragée sur les campus que sous le mandat Obama.
Elon Musk vient d’annoncer, sur Twitter, avoir voté républicain pour la première fois de sa vie, ce 14 juin.
En Floride, suite à la fusillade d’Ulvade, le gouverneur Ron DeSantis a, lui, tout de suite privilégié le renforcement de la sécurité des enfants au sein des écoles, dans la continuité de son mandat.
Pour un président déchu, force est de constater que l’énergie déployée par le camp de l’opposition pour le mettre davantage à terre est sans précédent. On le mesure d’autant plus face à l’inertie du gouvernement en place pour résoudre les problèmes majeurs des Américains.
Les personnes noires comprennent qu’elles n’ont pas été nommées pour les bonnes raisons et que les démocrates n’ont aucun désir de prendre en compte leur avis.
L’ambiance américaine de la fin des années 1980 et début des années 1990 (non encore « wokisée » ou soumise au politiquement correct) semble avoir façonné cette génération.
Joe Biden n’a aucun plan d’action prévu pour la frontière mexicaine, tout n’est qu’incohérences.
Ces mésaventures auront-elles (pour de bon) ouvert les yeux du milliardaire sur l’idéologie insidieuse de la gauche ?
À ceux qui lui disent que c’est impossible, comme à un Trump en son temps, Kathy Barnette répond qu’elle aime son pays et que cela lui donne le droit d’essayer.
On comprend bien en filigrane que la constitution de ce DGB est une réponse au rachat de Twitter et aux menaces de la liberté d’expression rétablie.
Côté politique, les conservateurs satisfaits expliquent qu’il s’agit d’une victoire de Donald Trump post-présidentielle. Rappelons que sur les neuf juges de la Cour suprême, Trump en a nommé trois…
L’une des trois fondatrices du mouvement, Patrisse Cullors, a acheté une villa dans le quartier chic de Malibu, à Los Angeles, pour la modique somme de 6 millions de dollars.
L’espoir suscité n’empêche pas les commentateurs de s’interroger sur les embûches. Les ennemis sont partout. Comment va donc s’y prendre le milliardaire ? Et tout d’abord en interne ?
Le Sénat de l’État de Louisiane vient de publier un texte de projet de loi (Senate Bill 44) obligeant les sportifs transgenres à ne concourir, pour les tournois universitaires, que dans les compétitions correspondant à leur sexe d’origine.
Le temps de la passivité face aux contre-pouvoirs privés de la gauche idéologique est désormais révolu.
La mesure prise par l’administration Biden fait craindre une explosion des passages illégaux à la frontière mexicaine et une crise humanitaire sans précédent.
Pour le moment, rien n’indique qu’il était lié au mouvement Black Lives Matter. Le New York Post précise, cependant, qu’il relayait des contenus affiliés à l’extrémisme identitaire noir.
La révocation de la mesure 42 fait craindre aux républicains un raz-de-marée de clandestins sans précédent, venus d’Amérique centrale et d’Haïti
Ce mardi 5 avril, Barack Obama, 44e président des États-Unis, était de retour à la Maison-Blanche.
Pour la presse, c’est le scandale. Pas les frasques et affaires de corruption du clan Biden, non. La simple mention du président russe « prouverait » que Donald Trump entretient des liens avec le va-t-en-guerre Vladimir Poutine.
Alors que la Maison-Blanche travaille d’arrache-pied pour donner l’image d’un duo Biden-Harris uni, ces nouvelles révélations présentent Kamala Harris comme incompétente et loin des critères requis pour le poste qu’elle occupe.
Le dossier chinois était un premier pas. Quid du dossier liant les Biden avec l’Ukraine en cette période très tendue ?
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