Ces remontrances aussi infondées que vertueuses révèlent également l’air « woke » du temps qui fait prévaloir l’accessoire sur l’essentiel et inverse les priorités au point de se soucier de tout sauf des problèmes réels. Y compris l’inquiétude des juifs pour leur propre sécurité.
Une question existentielle, qui hante les États et remet en cause l’existence même de l’Europe : est-ce encore légal de contrôler les frontières ?
Jupiter a profité de son meeting d’hier à Strasbourg pour ajouter la Hongrie à son très long répertoire de saillies.
Un signe qui ne trompe pas et qui démontre à quel point Orbán est l’antithèse de Macron : si, en France, les déclassés et les remplacés de la mondialisation sont les grands perdants et les oubliés du Président, en Hongrie ils gagnent et sont écoutés.
Pas si sûr que cette nomination fasse l’unanimité parmi l’intelligentsia féministe, arbitre suprême des élégances politiquement correctes pour laquelle l’expression « femme conservatrice » relève du plus infâme des oxymores.
La langue est l’expression d’une vision politique et sociale, et ce guide infame ne fait que confirmer la dérive idéologique d’une institution européenne censée représenter le « bien commun ».
Orbán et Zemmour sont sur la même longueur d’onde, ils partagent le même diagnostic et préconisent des solutions similaires. Le PremiermMinistre hongrois, en outre, a l’outrecuidance de les mettre en œuvre
Le tapis rouge que les fonctionnaires européens déroulent à ces organisations est indigne et en dit long sur l’idéologisation de certains services de la Commission.
La Hongrie a décidé, en 2019, de ne plus participer à cet événement.
Les écoles européennes sont financées et indirectement gérées par la Commission européenne.
Dans la bulle bruxelloise, la migration est la chasse gardée des ONG et des députés européens les plus idéologiques.
Ces remontrances aussi infondées que vertueuses révèlent également l’air « woke » du temps qui fait prévaloir l’accessoire sur l’essentiel et inverse les priorités au point de se soucier de tout sauf des problèmes réels. Y compris l’inquiétude des juifs pour leur propre sécurité.
Une question existentielle, qui hante les États et remet en cause l’existence même de l’Europe : est-ce encore légal de contrôler les frontières ?
Jupiter a profité de son meeting d’hier à Strasbourg pour ajouter la Hongrie à son très long répertoire de saillies.
Un signe qui ne trompe pas et qui démontre à quel point Orbán est l’antithèse de Macron : si, en France, les déclassés et les remplacés de la mondialisation sont les grands perdants et les oubliés du Président, en Hongrie ils gagnent et sont écoutés.
Pas si sûr que cette nomination fasse l’unanimité parmi l’intelligentsia féministe, arbitre suprême des élégances politiquement correctes pour laquelle l’expression « femme conservatrice » relève du plus infâme des oxymores.
La langue est l’expression d’une vision politique et sociale, et ce guide infame ne fait que confirmer la dérive idéologique d’une institution européenne censée représenter le « bien commun ».
Orbán et Zemmour sont sur la même longueur d’onde, ils partagent le même diagnostic et préconisent des solutions similaires. Le PremiermMinistre hongrois, en outre, a l’outrecuidance de les mettre en œuvre
Le tapis rouge que les fonctionnaires européens déroulent à ces organisations est indigne et en dit long sur l’idéologisation de certains services de la Commission.
La Hongrie a décidé, en 2019, de ne plus participer à cet événement.
Les écoles européennes sont financées et indirectement gérées par la Commission européenne.
Dans la bulle bruxelloise, la migration est la chasse gardée des ONG et des députés européens les plus idéologiques.