COUP DE GRIFFE
En brandissant cette menace, Macron fait de la dissuasion, il espère n’avoir pas besoin de s’en servir, car l’issue d’un nouveau scrutin ne lui serait pas a priori favorable.
Quatre mois qu’elle est au gouvernement, il était donc temps qu’elle fasse son épiphanie, si elle veut éviter de basculer dans la catégorie des ministres qui n’impriment pas.
Comme en pareil cas, Yannick Jadot appelle le Numéro Vert « Sandrine Assistance ».
Devons-nous nous attendre ensuite au contrôle technique des vélos ou des trottinettes ?
Carton plein, en tout cas, pour Sandrine Rousseau, qui a de nouveau réussi à enflammer la Toile en à peine quelques heures.
« Oh la boulette ! » Qui ne se souvient de François Pignon, interprété par le regretté Jacques Villeret, dans Le Dîner de cons ?
Une famille, c’est quoi, alors ? Un agrégat de gens qui se définissent comme famille. Et puis voilà.
Ce qui est intéressant, c’est que le voile de fiction qui avait été jeté sur le Covid, le faux sérieux des attestations, des slogans neuneus, etc., ce voile commence à se soulever.
Avoir avoir salué les employés, il éteint lumière et chauffage, ferme portes à double tour et rentre chez lui boire un bon vin chaud à la santé de ses gardiens de nuit bénévoles.
À l’heure où nos compatriotes faisaient des heures de queue pour pouvoir seulement aller travailler, cet optimisme a dû être apprécié à sa juste mesure.
Le rôle du politique, ce n’est pas de philosopher sur le « pourquoi » mais de se poser la question du « comment ». Comment faire pour qu’une telle horreur soit évitée…
Le temps des voitures débonnaires semble révolu.
Finalement, on se retrouve un peu dans les ambiances de fin de gilets Jaunes, épuisés après deux ans de mobilisation. Sauf qu’en l’occurrence, on n’est qu’au début.
Ce paradoxe religieux définit à lui seul l’action de la Libre Pensée qui, loin de lutter contre les atteintes à la laïcité comme le promet son manifeste, mène un combat résolument anticatholique.
Ne pas confondre assignation raciale et mauvaise éducation. Ensuite, ne pas essayer d’importer chez nous la guerre civile raciale qui fait partie de l’ADN américain. Est-ce trop demander à un ancien ministre ?
Il reste quelques Gaulois dans ce pays qui sont obligés de prendre leur bagnole pour aller bosser et conduire leurs enfants à l’école. On ne le leur a pas dit ?
Mariages éruptifs, éclats de voix et tapages divers ne sont que manifestations d’identités que le blanc-bec fermé au « vivre ensemble » rejette.
Quelques semaines seulement après l’assassinat de Mahsa Amini, ces lignes résonnent de manière plus profonde, plus étrange aussi. Certaines y ont laissé leur vie…
Au fait, cela ne vous a sans doute pas échappé qu’Agnès Pannier-Runacher a trouvé une nouvelle expression pour qualifier les pauvres : « Ceux qui sont en situation de sobriété subie. »
Dans une ultime tentative de déconstruction, Paul organisa une réunion Tupperware. En vain.
Ces gens-là n’ont aucune parole. Ils nous prennent pour des abrutis. La méthode a été rodée avec le Covid : l’essayer, c’était l’adopter.
Si Nicolas Sarkozy a été, pendant de nombreuses années, la figure tutélaire de la droite, il semblerait qu’il ne soit plus autant admiré, surtout par la nouvelle génération.
On peut reconnaître une grande conquête féministe à la gauche LFI : la vulgarité. Les femmes surpassent aujourd’hui largement les hommes.
Comment ne pas saluer les accents populaires, voire populistes, de cet insoumis, l’un peut-être des rares et véritables insoumis de l’équipée mélenchoniste…
C’est tout bête, mais c’est avec des gestes comme ça qu’on lutte contre le réchauffement climatique, fait des économies et – petit geste commercial sur le gâteau – emmerde Poutine.
En attendant ces annonces, les propriétaires de chiens à poils longs rasent les murs, les éleveurs de chats angora ferment boutique. Bruno Le Maire peut passer à tout moment et rafler les animaux à la toison la plus foisonnante.
Et puis il y a, surtout, cette arrogance française, ce sentiment que l’élite, celle qui détient le pouvoir en France, enseigne à toutes les nations les lumières du progrès.
En brandissant cette menace, Macron fait de la dissuasion, il espère n’avoir pas besoin de s’en servir, car l’issue d’un nouveau scrutin ne lui serait pas a priori favorable.
Quatre mois qu’elle est au gouvernement, il était donc temps qu’elle fasse son épiphanie, si elle veut éviter de basculer dans la catégorie des ministres qui n’impriment pas.
Comme en pareil cas, Yannick Jadot appelle le Numéro Vert « Sandrine Assistance ».
Devons-nous nous attendre ensuite au contrôle technique des vélos ou des trottinettes ?
Carton plein, en tout cas, pour Sandrine Rousseau, qui a de nouveau réussi à enflammer la Toile en à peine quelques heures.
« Oh la boulette ! » Qui ne se souvient de François Pignon, interprété par le regretté Jacques Villeret, dans Le Dîner de cons ?
Une famille, c’est quoi, alors ? Un agrégat de gens qui se définissent comme famille. Et puis voilà.
Ce qui est intéressant, c’est que le voile de fiction qui avait été jeté sur le Covid, le faux sérieux des attestations, des slogans neuneus, etc., ce voile commence à se soulever.
Avoir avoir salué les employés, il éteint lumière et chauffage, ferme portes à double tour et rentre chez lui boire un bon vin chaud à la santé de ses gardiens de nuit bénévoles.
À l’heure où nos compatriotes faisaient des heures de queue pour pouvoir seulement aller travailler, cet optimisme a dû être apprécié à sa juste mesure.
Le rôle du politique, ce n’est pas de philosopher sur le « pourquoi » mais de se poser la question du « comment ». Comment faire pour qu’une telle horreur soit évitée…
Le temps des voitures débonnaires semble révolu.
Finalement, on se retrouve un peu dans les ambiances de fin de gilets Jaunes, épuisés après deux ans de mobilisation. Sauf qu’en l’occurrence, on n’est qu’au début.
Ce paradoxe religieux définit à lui seul l’action de la Libre Pensée qui, loin de lutter contre les atteintes à la laïcité comme le promet son manifeste, mène un combat résolument anticatholique.
Ne pas confondre assignation raciale et mauvaise éducation. Ensuite, ne pas essayer d’importer chez nous la guerre civile raciale qui fait partie de l’ADN américain. Est-ce trop demander à un ancien ministre ?
Il reste quelques Gaulois dans ce pays qui sont obligés de prendre leur bagnole pour aller bosser et conduire leurs enfants à l’école. On ne le leur a pas dit ?
Mariages éruptifs, éclats de voix et tapages divers ne sont que manifestations d’identités que le blanc-bec fermé au « vivre ensemble » rejette.
Quelques semaines seulement après l’assassinat de Mahsa Amini, ces lignes résonnent de manière plus profonde, plus étrange aussi. Certaines y ont laissé leur vie…
Au fait, cela ne vous a sans doute pas échappé qu’Agnès Pannier-Runacher a trouvé une nouvelle expression pour qualifier les pauvres : « Ceux qui sont en situation de sobriété subie. »
Dans une ultime tentative de déconstruction, Paul organisa une réunion Tupperware. En vain.
Ces gens-là n’ont aucune parole. Ils nous prennent pour des abrutis. La méthode a été rodée avec le Covid : l’essayer, c’était l’adopter.
Si Nicolas Sarkozy a été, pendant de nombreuses années, la figure tutélaire de la droite, il semblerait qu’il ne soit plus autant admiré, surtout par la nouvelle génération.
On peut reconnaître une grande conquête féministe à la gauche LFI : la vulgarité. Les femmes surpassent aujourd’hui largement les hommes.
Comment ne pas saluer les accents populaires, voire populistes, de cet insoumis, l’un peut-être des rares et véritables insoumis de l’équipée mélenchoniste…
C’est tout bête, mais c’est avec des gestes comme ça qu’on lutte contre le réchauffement climatique, fait des économies et – petit geste commercial sur le gâteau – emmerde Poutine.
En attendant ces annonces, les propriétaires de chiens à poils longs rasent les murs, les éleveurs de chats angora ferment boutique. Bruno Le Maire peut passer à tout moment et rafler les animaux à la toison la plus foisonnante.
Et puis il y a, surtout, cette arrogance française, ce sentiment que l’élite, celle qui détient le pouvoir en France, enseigne à toutes les nations les lumières du progrès.