COUP DE GRIFFE

Ne pas confondre assignation raciale et mauvaise éducation. Ensuite, ne pas essayer d’importer chez nous la guerre civile raciale qui fait partie de l’ADN américain. Est-ce trop demander à un ancien ministre ?

Il reste quelques Gaulois dans ce pays qui sont obligés de prendre leur bagnole pour aller bosser et conduire leurs enfants à l’école. On ne le leur a pas dit ?

Mariages éruptifs, éclats de voix et tapages divers ne sont que manifestations d’identités que le blanc-bec fermé au « vivre ensemble » rejette.

Quelques semaines seulement après l’assassinat de Mahsa Amini, ces lignes résonnent de manière plus profonde, plus étrange aussi. Certaines y ont laissé leur vie…

Au fait, cela ne vous a sans doute pas échappé qu’Agnès Pannier-Runacher a trouvé une nouvelle expression pour qualifier les pauvres : « Ceux qui sont en situation de sobriété subie. »

Dans une ultime tentative de déconstruction, Paul organisa une réunion Tupperware. En vain.

Ces gens-là n’ont aucune parole. Ils nous prennent pour des abrutis. La méthode a été rodée avec le Covid : l’essayer, c’était l’adopter.

Si Nicolas Sarkozy a été, pendant de nombreuses années, la figure tutélaire de la droite, il semblerait qu’il ne soit plus autant admiré, surtout par la nouvelle génération.

On peut reconnaître une grande conquête féministe à la gauche LFI : la vulgarité. Les femmes surpassent aujourd’hui largement les hommes.

Comment ne pas saluer les accents populaires, voire populistes, de cet insoumis, l’un peut-être des rares et véritables insoumis de l’équipée mélenchoniste…

C’est tout bête, mais c’est avec des gestes comme ça qu’on lutte contre le réchauffement climatique, fait des économies et – petit geste commercial sur le gâteau – emmerde Poutine.

En attendant ces annonces, les propriétaires de chiens à poils longs rasent les murs, les éleveurs de chats angora ferment boutique. Bruno Le Maire peut passer à tout moment et rafler les animaux à la toison la plus foisonnante.

Et puis il y a, surtout, cette arrogance française, ce sentiment que l’élite, celle qui détient le pouvoir en France, enseigne à toutes les nations les lumières du progrès.

Le maire EELV de Strasbourg veut fermer les musées deux jours par semaine et à l’heure du déjeuner les jours d’ouverture ; il veut aussi réduire les subventions aux institutions culturelles pour mieux favoriser les associations qui partagent ses valeurs.

Telle la vigie Baba condamnée à bégayer l’arrivée des Gaulois d’Astérix, la NUPES n’en finit plus de hurler au retour d’un fascisme décliné à toutes les sauces.

C’est ça que doit vouloir dire « compliqué » : ça veut dire « simple mais qui nous foutrait dans la m… »

L’histoire des luttes se répète, après la tête de Robespierre, c’est celle de Jean-Luc Mélenchon qu’elles réclament.

Suite aux sarcasmes déclenchés par sa proposition, l ministre reconnaît le caractère avant-garde du concept. « À partir d’un certain âge, les douches à deux ne plaisent pas à tout le monde », reconnaît-elle.

S’il est plus facile de regarder cette plèbe patouiller dans ses contradictions, il convient toutefois de ne pas oublier le chef, perdu dans sa verticalité et, pour l’instant, irremplaçable.

« Casser les codes » est devenu un mantra de communicant pour susciter le buzz.

Emmanuel Macron tient celui qui saura romancer le Grand Remplacement.

Les tristes nouvelles se succèdent. Après le décès de la reine d’Angleterre, le monde politique est endeuillé par le départ de Philippe Poutou vers un autre secteur d’activité.

Dans cette écrasante majorité, on trouve… les députés Renaissance. Eux aussi se sont opposés à ce que l’on enquête, ou même que l’on débatte, sur le fait que les impôts des Européens servent à financer un mouvement islamiste

Le mal du pays, l’envie de passer faire la bise au tyran, la nostalgie des tirs d’obus… Le demandeur d’asile ne peut résister au charme d’un séjour plein de rebondissements.

La plate-forme a ainsi fait des merveilles pour soigner l’image de marque du ministre, qui a sorti un livre le 8 septembre dernier, poétiquement nommé Par-delà les vagues.

Le principe même de préséance par la naissance donne évidemment des plaques d’eczéma à ces sans-culottes d’un genre nouveau.

Le but premier de cet ouvrage est, c’est certain, de faire pleurer dans les chaumières sur le sort d’un ministre pourtant incompétent, coercitif et occasionnellement hystérique…

Ce n’est pas sa faute. Ce n’est jamais de sa faute.

Ne pas confondre assignation raciale et mauvaise éducation. Ensuite, ne pas essayer d’importer chez nous la guerre civile raciale qui fait partie de l’ADN américain. Est-ce trop demander à un ancien ministre ?

Il reste quelques Gaulois dans ce pays qui sont obligés de prendre leur bagnole pour aller bosser et conduire leurs enfants à l’école. On ne le leur a pas dit ?

Mariages éruptifs, éclats de voix et tapages divers ne sont que manifestations d’identités que le blanc-bec fermé au « vivre ensemble » rejette.

Quelques semaines seulement après l’assassinat de Mahsa Amini, ces lignes résonnent de manière plus profonde, plus étrange aussi. Certaines y ont laissé leur vie…

Au fait, cela ne vous a sans doute pas échappé qu’Agnès Pannier-Runacher a trouvé une nouvelle expression pour qualifier les pauvres : « Ceux qui sont en situation de sobriété subie. »

Dans une ultime tentative de déconstruction, Paul organisa une réunion Tupperware. En vain.

Ces gens-là n’ont aucune parole. Ils nous prennent pour des abrutis. La méthode a été rodée avec le Covid : l’essayer, c’était l’adopter.

Si Nicolas Sarkozy a été, pendant de nombreuses années, la figure tutélaire de la droite, il semblerait qu’il ne soit plus autant admiré, surtout par la nouvelle génération.

On peut reconnaître une grande conquête féministe à la gauche LFI : la vulgarité. Les femmes surpassent aujourd’hui largement les hommes.

Comment ne pas saluer les accents populaires, voire populistes, de cet insoumis, l’un peut-être des rares et véritables insoumis de l’équipée mélenchoniste…

C’est tout bête, mais c’est avec des gestes comme ça qu’on lutte contre le réchauffement climatique, fait des économies et – petit geste commercial sur le gâteau – emmerde Poutine.

En attendant ces annonces, les propriétaires de chiens à poils longs rasent les murs, les éleveurs de chats angora ferment boutique. Bruno Le Maire peut passer à tout moment et rafler les animaux à la toison la plus foisonnante.

Et puis il y a, surtout, cette arrogance française, ce sentiment que l’élite, celle qui détient le pouvoir en France, enseigne à toutes les nations les lumières du progrès.

Le maire EELV de Strasbourg veut fermer les musées deux jours par semaine et à l’heure du déjeuner les jours d’ouverture ; il veut aussi réduire les subventions aux institutions culturelles pour mieux favoriser les associations qui partagent ses valeurs.

Telle la vigie Baba condamnée à bégayer l’arrivée des Gaulois d’Astérix, la NUPES n’en finit plus de hurler au retour d’un fascisme décliné à toutes les sauces.

C’est ça que doit vouloir dire « compliqué » : ça veut dire « simple mais qui nous foutrait dans la m… »

L’histoire des luttes se répète, après la tête de Robespierre, c’est celle de Jean-Luc Mélenchon qu’elles réclament.

Suite aux sarcasmes déclenchés par sa proposition, l ministre reconnaît le caractère avant-garde du concept. « À partir d’un certain âge, les douches à deux ne plaisent pas à tout le monde », reconnaît-elle.

S’il est plus facile de regarder cette plèbe patouiller dans ses contradictions, il convient toutefois de ne pas oublier le chef, perdu dans sa verticalité et, pour l’instant, irremplaçable.

« Casser les codes » est devenu un mantra de communicant pour susciter le buzz.

Emmanuel Macron tient celui qui saura romancer le Grand Remplacement.

Les tristes nouvelles se succèdent. Après le décès de la reine d’Angleterre, le monde politique est endeuillé par le départ de Philippe Poutou vers un autre secteur d’activité.

Dans cette écrasante majorité, on trouve… les députés Renaissance. Eux aussi se sont opposés à ce que l’on enquête, ou même que l’on débatte, sur le fait que les impôts des Européens servent à financer un mouvement islamiste

Le mal du pays, l’envie de passer faire la bise au tyran, la nostalgie des tirs d’obus… Le demandeur d’asile ne peut résister au charme d’un séjour plein de rebondissements.

La plate-forme a ainsi fait des merveilles pour soigner l’image de marque du ministre, qui a sorti un livre le 8 septembre dernier, poétiquement nommé Par-delà les vagues.

Le principe même de préséance par la naissance donne évidemment des plaques d’eczéma à ces sans-culottes d’un genre nouveau.

Le but premier de cet ouvrage est, c’est certain, de faire pleurer dans les chaumières sur le sort d’un ministre pourtant incompétent, coercitif et occasionnellement hystérique…

Ce n’est pas sa faute. Ce n’est jamais de sa faute.
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