Plus de gouvernement ? Les députés peuvent proposer et voter des lois.
Le RN est le seul à ramasser le drapeau tricolore que tous les autres ont laissé tomber dans le ruisseau.
La dangerosité de l’attaque fait tout craindre si, demain, ces fous d’Allah détiennent la bombe atomique.
En cherchant un peu, je pense que vous trouverez encore quelques gloires de la France à jeter aux ordures.
Nous faisons la guerre contre l’islamisme sans la faire et nous attendons.
Tsahal aurait été folle de faire une attaque si critiquable le jour de la présence du président américain
Quel espoir nous reste-t-il de vivre dans une France, évoluant avec son temps certes, mais fidèle à sa civilisation ?
Peut-être va-t-on faire un peu de câlinothérapie avec les policiers, mais toujours pas question de colmater les brèches
L’amalgame réducteur si souvent fait entre la patrie française et la République est choquant.
On a descendu le maître de son estrade. Y a-t-on gagné quelque chose ?
En 1939, après la signature du pacte de non-agression germano-soviétique, ils ont envahi la Pologne.
Que nous reste-t-il, aujourd’hui ? Peu qui nous mette sur un pied d’égalité avec les puissants de ce monde.
Nous nous croyons encore au XVIIIe siècle, quand nous comptions beaucoup.
Ce qui compte, ce n’est pas ce que les élèves ont sur le dos, c’est ce qu’ils ont dans la tête.
Alors que l’invasion de l’Ukraine est déjà vieille de plus de deux mois, malgré l’alerte, aucun écho public d’une rallonge des crédits consacrés à la défense de notre pays.
Les partis pris sans nuance résistent même au constat aveuglant des responsabilités russes dans le drame actuel qui se joue en Ukraine.
Arrêtons de jouer les tartarins ; il n’y a pas d’enjeu vital pour nous.
Il est urgent de rétablir des relations normales avec la Russie et de cesser ces représailles économiques qui l’affaiblissent et nous affaiblissent aussi.
M. Macron vient de célébrer cet anniversaire et nous donne la mission exaltante de convaincre le monde entier d’abolir la peine capitale. La tâche va être rude ; je doute que ce projet soit favorablement accueilli partout…
Je pense aux Afghans qui nous ont aidés, nous Français, pendant la durée de la présence de nos soldats dans ce pays : traducteurs, agents de renseignement, etc.
Les patriotes de ce pays doivent comprendre que la crise sanitaire est désormais un nuage de fumée entretenu par le pouvoir et les médias et destiné à camoufler et faire oublier le reste. Ne nous en rendons pas complices.
Depuis toujours, tout le monde espionne tout le monde. Cela s’est toujours fait. Ce qui a changé, ce sont les capacités des moyens que permet la science.
Cette situation sert M. Macron, car la saturation des médias sur ce thème évite aux Français de trop penser aux problèmes plus vitaux qui assaillent notre pays
Si un vaccin avait été découvert au Congo, je suppose que les Congolais auraient été servis en premier.
La citadelle est assiégée, déjà envahie, les murailles s’écroulent pendant que nos soldats sont engagés au loin dans une lutte sans espoir de succès final.
Il y avait deux solutions : soit la nation continue à vivre, en se protégeant du mieux qu’elle peut, soit elle se protège encore mieux qu’elle peut en essayant de survivre.
Demain, des soldats français seront tués par ces gens dont notre chef aura donc tenu la main. C’est à hurler de colère, de dégoût, devant tant de sottise, de lâcheté et de naïveté.
Quand la peine de mort est hors la loi, seuls les hors-la-loi infligent la peine de mort !
Plus de gouvernement ? Les députés peuvent proposer et voter des lois.
Le RN est le seul à ramasser le drapeau tricolore que tous les autres ont laissé tomber dans le ruisseau.
La dangerosité de l’attaque fait tout craindre si, demain, ces fous d’Allah détiennent la bombe atomique.
En cherchant un peu, je pense que vous trouverez encore quelques gloires de la France à jeter aux ordures.
Nous faisons la guerre contre l’islamisme sans la faire et nous attendons.
Tsahal aurait été folle de faire une attaque si critiquable le jour de la présence du président américain
Quel espoir nous reste-t-il de vivre dans une France, évoluant avec son temps certes, mais fidèle à sa civilisation ?
Peut-être va-t-on faire un peu de câlinothérapie avec les policiers, mais toujours pas question de colmater les brèches
L’amalgame réducteur si souvent fait entre la patrie française et la République est choquant.
On a descendu le maître de son estrade. Y a-t-on gagné quelque chose ?
En 1939, après la signature du pacte de non-agression germano-soviétique, ils ont envahi la Pologne.
Que nous reste-t-il, aujourd’hui ? Peu qui nous mette sur un pied d’égalité avec les puissants de ce monde.
Nous nous croyons encore au XVIIIe siècle, quand nous comptions beaucoup.
Ce qui compte, ce n’est pas ce que les élèves ont sur le dos, c’est ce qu’ils ont dans la tête.
Alors que l’invasion de l’Ukraine est déjà vieille de plus de deux mois, malgré l’alerte, aucun écho public d’une rallonge des crédits consacrés à la défense de notre pays.
Les partis pris sans nuance résistent même au constat aveuglant des responsabilités russes dans le drame actuel qui se joue en Ukraine.
Arrêtons de jouer les tartarins ; il n’y a pas d’enjeu vital pour nous.
Il est urgent de rétablir des relations normales avec la Russie et de cesser ces représailles économiques qui l’affaiblissent et nous affaiblissent aussi.
M. Macron vient de célébrer cet anniversaire et nous donne la mission exaltante de convaincre le monde entier d’abolir la peine capitale. La tâche va être rude ; je doute que ce projet soit favorablement accueilli partout…
Je pense aux Afghans qui nous ont aidés, nous Français, pendant la durée de la présence de nos soldats dans ce pays : traducteurs, agents de renseignement, etc.
Les patriotes de ce pays doivent comprendre que la crise sanitaire est désormais un nuage de fumée entretenu par le pouvoir et les médias et destiné à camoufler et faire oublier le reste. Ne nous en rendons pas complices.
Depuis toujours, tout le monde espionne tout le monde. Cela s’est toujours fait. Ce qui a changé, ce sont les capacités des moyens que permet la science.
Cette situation sert M. Macron, car la saturation des médias sur ce thème évite aux Français de trop penser aux problèmes plus vitaux qui assaillent notre pays
Si un vaccin avait été découvert au Congo, je suppose que les Congolais auraient été servis en premier.
La citadelle est assiégée, déjà envahie, les murailles s’écroulent pendant que nos soldats sont engagés au loin dans une lutte sans espoir de succès final.
Il y avait deux solutions : soit la nation continue à vivre, en se protégeant du mieux qu’elle peut, soit elle se protège encore mieux qu’elle peut en essayant de survivre.
Demain, des soldats français seront tués par ces gens dont notre chef aura donc tenu la main. C’est à hurler de colère, de dégoût, devant tant de sottise, de lâcheté et de naïveté.
Quand la peine de mort est hors la loi, seuls les hors-la-loi infligent la peine de mort !