
Ce plan d’investissement annoncé par Emmanuel Macron a pour but de permettre à la France de devenir leader européen en innovation dans le secteur de la santé avec, en plus, un objectif de souveraineté technologique.

Pourquoi tant de mauvaise volonté pour favoriser l’étude de médicaments qui, sans être la panacée absolue, peuvent se révéler d’une grande utilité pour traiter le Covid ?

Ce qui se passe dans les hôpitaux ou dans les cabinets médicaux de ville n’est, hélas, que le reflet de l’évolution sociale actuelle que la crise du Covid ne fait qu’amplifier.

À l’échelon individuel, nous avons donc le choix, aujourd’hui, entre courir le risque d’attraper une maladie potentiellement grave et parfois mortelle ou se vacciner et accepter le risque d’effets secondaires sans doute rares mais mal connus pour l’instant.
Heureusement, tous les malades n’ont pas attendu d’aller faire la queue à l’hôpital et ont consulté leur médecin traitant qui, malgré les directives administratives, a réussi dans bien des cas à éviter leur hospitalisation.

Pourquoi tant de précipitation pour essayer d’éradiquer une maladie dont la létalité, qui se situe aux environs de 1 %, devrait s’améliorer si les médecins de terrain étaient mis à contribution pour traiter massivement les cas symptomatiques ?

Dans sa grande sagesse, le peuple réclame donc des données fiables et des preuves

Les historiens et sociologues auront, avec la période que nous traversons aujourd’hui, un morceau de choix pour leurs études.

Il s’agit de projets ambitieux qu’on ne peut que souhaiter voir aboutir rapidement, sans aller se perdre dans quelques arcanes administratives.

Cette maladie nous rappelle encore que nous sommes fragiles, fragiles dans notre corps et fragiles dans notre esprit.

À écouter Jean Castex on pourrait croire qu’il n’existe que l’hôpital public pour soigner les malades.

Les autorités craignent que la conjonction de ces deux épidémies ne fasse littéralement exploser le système hospitalier.

Le gouvernement semble plus enclin à protéger son système hospitalier moribond que ses citoyens.

Si, comme l’a annoncé le Président, nous sommes en guerre, où sont les munitions ?

Cet hiver nous aurons à faire face au virus grippal, au coronavirus et à tous leurs cousins qui ne vont pas tarder à arriver !

L’efficacité d’un dépistage de masse sans critère de sélection risque de tourner à la pantalonnade, tout comme « StopCovid ».

Pour la première fois cette année et bien que nous ne soyons pas en période de carnaval, la rentrée scolaire sera masquée

Va-t-on continuer à gérer la santé comme un secteur économique dont le seul credo est le profit ?

Comme dans beaucoup de domaines, l’intérêt du marché prime sur les besoins réels de la population, au point de parasiter le discours scientifique et celui des politiques afin qu’il satisfasse ses objectifs.

Va-t-on, ensuite, nous imposer le port permanent d’une moustiquaire pour lutter contre le moustique tigre qui progresse en France ?

Les médecins généralistes possèdent ce qui manque à nos décideurs ministériels qui n’ont sans doute pas approché de malades depuis de longues années : l’expérience !

Le marché est mondial et gigantesque, actuellement plus de 120 candidats-vaccins contre ce coronavirus sont à l’étude dans le monde…

Si l’épidémie, comme le pensent beaucoup de médecins, tire à sa fin, ces tests perdent beaucoup de leur intérêt.

Tous les pompiers vous diront qu’un incendie qui nécessite de gros moyens d’extinction aurait pu être maîtrisé au début par l’usage d’un extincteur.

Un volet qu’on ne peut négliger, c’est le manque à gagner pour les laboratoires fabriquant ces vaccins, et ils entretiennent des liens étroits avec l’information médicale…

À propos des tests destinés à dépister et à isoler les sujets infectés, le ministre a prévenu : pas de tests systématiques sur l’ensemble de la population française. Mais de quels tests parle-t-on ?

Faute de prise en charge suffisamment précoce, ces pathologies, parfois mineures au début, peuvent leur faire prendre des risques…

Soyons sûrs que nos experts en expertise se poseront la question de savoir comment résoudre ce problème après la crise.

Ce plan d’investissement annoncé par Emmanuel Macron a pour but de permettre à la France de devenir leader européen en innovation dans le secteur de la santé avec, en plus, un objectif de souveraineté technologique.

Pourquoi tant de mauvaise volonté pour favoriser l’étude de médicaments qui, sans être la panacée absolue, peuvent se révéler d’une grande utilité pour traiter le Covid ?

Ce qui se passe dans les hôpitaux ou dans les cabinets médicaux de ville n’est, hélas, que le reflet de l’évolution sociale actuelle que la crise du Covid ne fait qu’amplifier.

À l’échelon individuel, nous avons donc le choix, aujourd’hui, entre courir le risque d’attraper une maladie potentiellement grave et parfois mortelle ou se vacciner et accepter le risque d’effets secondaires sans doute rares mais mal connus pour l’instant.
Heureusement, tous les malades n’ont pas attendu d’aller faire la queue à l’hôpital et ont consulté leur médecin traitant qui, malgré les directives administratives, a réussi dans bien des cas à éviter leur hospitalisation.

Pourquoi tant de précipitation pour essayer d’éradiquer une maladie dont la létalité, qui se situe aux environs de 1 %, devrait s’améliorer si les médecins de terrain étaient mis à contribution pour traiter massivement les cas symptomatiques ?

Dans sa grande sagesse, le peuple réclame donc des données fiables et des preuves

Les historiens et sociologues auront, avec la période que nous traversons aujourd’hui, un morceau de choix pour leurs études.

Il s’agit de projets ambitieux qu’on ne peut que souhaiter voir aboutir rapidement, sans aller se perdre dans quelques arcanes administratives.

Cette maladie nous rappelle encore que nous sommes fragiles, fragiles dans notre corps et fragiles dans notre esprit.

À écouter Jean Castex on pourrait croire qu’il n’existe que l’hôpital public pour soigner les malades.

Les autorités craignent que la conjonction de ces deux épidémies ne fasse littéralement exploser le système hospitalier.

Le gouvernement semble plus enclin à protéger son système hospitalier moribond que ses citoyens.

Si, comme l’a annoncé le Président, nous sommes en guerre, où sont les munitions ?

Cet hiver nous aurons à faire face au virus grippal, au coronavirus et à tous leurs cousins qui ne vont pas tarder à arriver !

L’efficacité d’un dépistage de masse sans critère de sélection risque de tourner à la pantalonnade, tout comme « StopCovid ».

Pour la première fois cette année et bien que nous ne soyons pas en période de carnaval, la rentrée scolaire sera masquée

Va-t-on continuer à gérer la santé comme un secteur économique dont le seul credo est le profit ?

Comme dans beaucoup de domaines, l’intérêt du marché prime sur les besoins réels de la population, au point de parasiter le discours scientifique et celui des politiques afin qu’il satisfasse ses objectifs.

Va-t-on, ensuite, nous imposer le port permanent d’une moustiquaire pour lutter contre le moustique tigre qui progresse en France ?

Les médecins généralistes possèdent ce qui manque à nos décideurs ministériels qui n’ont sans doute pas approché de malades depuis de longues années : l’expérience !

Le marché est mondial et gigantesque, actuellement plus de 120 candidats-vaccins contre ce coronavirus sont à l’étude dans le monde…

Si l’épidémie, comme le pensent beaucoup de médecins, tire à sa fin, ces tests perdent beaucoup de leur intérêt.

Tous les pompiers vous diront qu’un incendie qui nécessite de gros moyens d’extinction aurait pu être maîtrisé au début par l’usage d’un extincteur.

Un volet qu’on ne peut négliger, c’est le manque à gagner pour les laboratoires fabriquant ces vaccins, et ils entretiennent des liens étroits avec l’information médicale…

À propos des tests destinés à dépister et à isoler les sujets infectés, le ministre a prévenu : pas de tests systématiques sur l’ensemble de la population française. Mais de quels tests parle-t-on ?

Faute de prise en charge suffisamment précoce, ces pathologies, parfois mineures au début, peuvent leur faire prendre des risques…

Soyons sûrs que nos experts en expertise se poseront la question de savoir comment résoudre ce problème après la crise.
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