La succession de points médians et de finales entrelacées gêne la lecture et retarde la compréhension.
Cette semaine, les enseignants ont reçu leur désormais habituel message ministériel.
Nos gouvernants, comme une grande partie de la population, ne portent-ils pas un attachement excessif au port du masque ?
La session du baccalauréat 2020 sera une session extraordinaire. Mais sa gestion restera scandaleuse.
De tout temps, la question de la famille ne repose pas sur le sentiment de l’amour, mais plutôt sur celui de la communauté d’intérêts.
Et l’on pourra être encore plus choqué de voir que la propagande se fait désormais ouvertement…
Il conviendrait peut-être de demander au pape François s’il est encore possible de défendre une culture chrétienne ou s’il faudra également accepter les migrants de la spiritualité…
N’y a-t-il pas un mensonge à appeler « mère » une femme qui n’est que l’épouse d’une autre femme ?
Le mot d’ordre de ce discours est « réussir ». Mais quel est l’objectif à atteindre ?
C’est là que monsieur Blanquer intervient et veut se mêler d’éducation !
Il ne faut pas oublier le nouveau principe de cette année : l’anonymisation partielle des dossiers…
Il est scandaleux, non pas que Laurent Wauquiez veuille prévenir une dérive dangereuse de la PMA, mais que Marlène Schiappa et Agnès Buzyn soient aveugles ou veuillent le cacher à la population.
Le ministère devrait plutôt se concentrer sur la transmission de connaissances scientifiques générales, non sur la délivrance d’une « vérité ».
On en vient ainsi à une École de la République fantasmée, où l’égalité des filières prévaut avec un seul profil d’élève.
Faudra-t-il donc également interdire l’usage du mot « racine » car il dériverait du mot « race » ?
Durant son développement, l’enfant a besoin de stabilité.
Jean-Michel Blanquer a attendu la Saint Valentin 2018 pour présenter son grand projet : la réforme du baccalauréat. Il faut lui reconnaître un courage certain : sa réforme modifie totalement la forme de ce diplôme.
Restons vigilants devant des effets de manche qui pourraient se révéler n’être qu’un arbre conservateur qui cache la forêt progressiste.
L’amour relié au foyer naturel, primitif, celui constitué d’un homme et d’une femme, est aujourd’hui devenu tabou et évoquer la possibilité de ne pas avorter devient un blasphème.
Rêve de grandeur ou geste attentionné ?
Certaines écoles britanniques, sous couvert de ne heurter aucune sensibilité spirituelle, n’utiliseront plus les références « avant et après Jésus-Christ ».
Où se trouve donc la pertinence et la justesse d’expression de monsieur Macron ?
L’« incarnation du pacte républicain », selon les mairies de Paris et de Saint-Denis, consiste donc à propager des idéologies, insulter, amalgamer ?
Sous couvert de dénoncer une propagande, les deux mairies en propagent une autre !
Effacer les différences, éduquer à la sexualité, créer du désir en tout visent un seul et même objectif : supprimer l’identité d’un individu.
Nos supérieurs hiérarchiques sont parfois plus ignares que nos élèves ou nos ouvriers et il faut commencer par le rappeler à monsieur Macron.
Faire lire les Fables de La Fontaine est à la fois judicieux et habile…
Jean-Michel Blanquer, semble vouloir perpétuer la tradition, initiée par madame Najat Vallaud-Belkacem, d’écrire régulièrement aux agents de son ministère.
La succession de points médians et de finales entrelacées gêne la lecture et retarde la compréhension.
Cette semaine, les enseignants ont reçu leur désormais habituel message ministériel.
Nos gouvernants, comme une grande partie de la population, ne portent-ils pas un attachement excessif au port du masque ?
La session du baccalauréat 2020 sera une session extraordinaire. Mais sa gestion restera scandaleuse.
De tout temps, la question de la famille ne repose pas sur le sentiment de l’amour, mais plutôt sur celui de la communauté d’intérêts.
Et l’on pourra être encore plus choqué de voir que la propagande se fait désormais ouvertement…
Il conviendrait peut-être de demander au pape François s’il est encore possible de défendre une culture chrétienne ou s’il faudra également accepter les migrants de la spiritualité…
N’y a-t-il pas un mensonge à appeler « mère » une femme qui n’est que l’épouse d’une autre femme ?
Le mot d’ordre de ce discours est « réussir ». Mais quel est l’objectif à atteindre ?
C’est là que monsieur Blanquer intervient et veut se mêler d’éducation !
Il ne faut pas oublier le nouveau principe de cette année : l’anonymisation partielle des dossiers…
Il est scandaleux, non pas que Laurent Wauquiez veuille prévenir une dérive dangereuse de la PMA, mais que Marlène Schiappa et Agnès Buzyn soient aveugles ou veuillent le cacher à la population.
Le ministère devrait plutôt se concentrer sur la transmission de connaissances scientifiques générales, non sur la délivrance d’une « vérité ».
On en vient ainsi à une École de la République fantasmée, où l’égalité des filières prévaut avec un seul profil d’élève.
Faudra-t-il donc également interdire l’usage du mot « racine » car il dériverait du mot « race » ?
Durant son développement, l’enfant a besoin de stabilité.
Jean-Michel Blanquer a attendu la Saint Valentin 2018 pour présenter son grand projet : la réforme du baccalauréat. Il faut lui reconnaître un courage certain : sa réforme modifie totalement la forme de ce diplôme.
Restons vigilants devant des effets de manche qui pourraient se révéler n’être qu’un arbre conservateur qui cache la forêt progressiste.
L’amour relié au foyer naturel, primitif, celui constitué d’un homme et d’une femme, est aujourd’hui devenu tabou et évoquer la possibilité de ne pas avorter devient un blasphème.
Rêve de grandeur ou geste attentionné ?
Certaines écoles britanniques, sous couvert de ne heurter aucune sensibilité spirituelle, n’utiliseront plus les références « avant et après Jésus-Christ ».
Où se trouve donc la pertinence et la justesse d’expression de monsieur Macron ?
L’« incarnation du pacte républicain », selon les mairies de Paris et de Saint-Denis, consiste donc à propager des idéologies, insulter, amalgamer ?
Sous couvert de dénoncer une propagande, les deux mairies en propagent une autre !
Effacer les différences, éduquer à la sexualité, créer du désir en tout visent un seul et même objectif : supprimer l’identité d’un individu.
Nos supérieurs hiérarchiques sont parfois plus ignares que nos élèves ou nos ouvriers et il faut commencer par le rappeler à monsieur Macron.
Faire lire les Fables de La Fontaine est à la fois judicieux et habile…
Jean-Michel Blanquer, semble vouloir perpétuer la tradition, initiée par madame Najat Vallaud-Belkacem, d’écrire régulièrement aux agents de son ministère.