RN
Si l’on résume, Marine Le Pen peut se vanter d’avoir mis un sacré désordre chez ses adversaires.
Fantastique ! L’Assemblée a donc débattu et voté une loi. Le Sénat a fait de même. Le gouvernement et le ministre ont communiqué sur cette grande avancée pour les agriculteurs, mais la France est soumise à la tutelle bruxelloise. On oublie, on rentre à la niche.
Louis Aliot prône plus de « générosité » et d’« ouverture sur le monde » car il faut parler aux Français « de toutes origines et de toutes religions ».
Et s’il existe des députés de seconde zone, y aurait-il aussi des électeurs de seconde zone ?
Les opposants au RN ne se privent pas de ressusciter les vieux démons de l’Histoire de France.
La première séance devrait avoir lieu dans un lieu parisien discret dès ce 17 octobre. « Il faut que les élus sachent les conséquences de ce qu’ils votent sur les entreprises », explique à Boulevard Voltaire Sophie de Menthon.
Cinquante-sept pour cent des Français jugent La France insoumise toujours plus « dangereuse » pour cette même démocratie.
La fondation Jean-Jaurès, qui alertait déjà en 2021 sur la « dédiabolisation » du Rassemblement national, fait part de son inquiétude dans cette nouvelle enquête.
Dimanche matin, à Bruz, près de Rennes, des familles ont eu très peur, retranchées dans une ferme assiégée par 200 antifas armés de cocktails Molotov.
Les Français sont peut-être inconsciemment en manque de leurs rois, parce qu’un peuple ne peut pas avoir vécu durant mille trois cents ans en monarchie sans qu’il en reste quelque chose.
Pour Boulevard Voltaire, Sébastien Chenu évoque les thèmes qui ont agité les élus et les militants. Le RN regarde désormais l’avenir sans complexe.
À l’image des comptes du parti assainis par d’excellents scores aux élections législatives et de la future élection pour la présidence du parti, Marine Le Pen et ses troupes actent une forme de « reset ».
À dix jours des législatives italiennes, une échéance majeure aussi pour l’Europe, Vincenzo Sofo, mari de Marion Maréchal, député européen et membre de Fratelli d’Italia, le parti de Giorgia Meloni, nous livre en exclusivité son analyse sur les enjeux du scrutin et sa vision de la politique française.
Jordan Bardella et Louis Aliot sont deux candidats sur la même ligne, ils n’ont pas de points de divergence idéologique.
Le RN de Bardella se met en ordre de marche pour 2027. Et ce ne sera pas sans Marine Le Pen.
Loin des injonctions festivistes et des appels à l’insouciance, Olivier Fisher a perdu la sienne, ce soir-là, en même temps que l’un de ses meilleurs amis. Pas question, pour lui, de sombrer dans l’angélisme.
À cet instant, le garde des Sceaux redevient ce qu’il est, un bloc. Un bloc de haine de la nation, de ses représentants et de ceux qui y sont attachés.
C’est qu’ils sont malins, au RN. Ils vous font disparaître un « grand gaillard » député en un clin d’œil plus vite qu’un cadavre de journaliste dans une ambassade saoudienne !
Le maire de Perpignan, ancien député et vice-président du Rassemblement national, annonce officiellement sa candidature à la présidence du parti anciennement présidé par Marine Le Pen et brigué par Jordan Bardella.
On voit mal qui pourrait barrer la route au jeune et fulgurant Bardella. Seule Marine Le Pen en aurait les capacités.
Il y a là plus qu’une provocation, plus qu’une dispute sur le fond : une entreprise profondément antidémocratique, une volonté de tuer, d’exclure, de disqualifier, de marquer au fer rouge, coûte que coûte, une partie de la représentation nationale.
Comment expliquer cette opposition du RN à une mesure apparemment de bon sens, soutenant les salariés les plus précaires ?
Lors de cette intervention magistrale, Julien Odoul évoque les agressions du week-end du 14 juillet. Éric Dupond-Moretti rit, puis marmonne derrière son masque…
Le mot de colère d’Élisabeth Borne est révélateur. Il dévoile la duplicité du macronisme vis-à-vis de ce qui fait la France : ses frontières.
Le jeune homme confie avoir dénombré une quarantaine de personnes, certains masqués, tous vêtus de noir.
Comment le RN peut-il dès lors sortir de ce piège qui interdit d’évoquer certains thèmes, sous peine de basculer à nouveau dans le camp des réprouvés ?
Une majorité de circonstance s’est reconstituée au sein de chaque commission pour écarter le Rassemblement national des postes clés, alors même qu’il est le deuxième groupe de l’Assemblée nationale.
Si l’on résume, Marine Le Pen peut se vanter d’avoir mis un sacré désordre chez ses adversaires.
Fantastique ! L’Assemblée a donc débattu et voté une loi. Le Sénat a fait de même. Le gouvernement et le ministre ont communiqué sur cette grande avancée pour les agriculteurs, mais la France est soumise à la tutelle bruxelloise. On oublie, on rentre à la niche.
Louis Aliot prône plus de « générosité » et d’« ouverture sur le monde » car il faut parler aux Français « de toutes origines et de toutes religions ».
Et s’il existe des députés de seconde zone, y aurait-il aussi des électeurs de seconde zone ?
Les opposants au RN ne se privent pas de ressusciter les vieux démons de l’Histoire de France.
La première séance devrait avoir lieu dans un lieu parisien discret dès ce 17 octobre. « Il faut que les élus sachent les conséquences de ce qu’ils votent sur les entreprises », explique à Boulevard Voltaire Sophie de Menthon.
Cinquante-sept pour cent des Français jugent La France insoumise toujours plus « dangereuse » pour cette même démocratie.
La fondation Jean-Jaurès, qui alertait déjà en 2021 sur la « dédiabolisation » du Rassemblement national, fait part de son inquiétude dans cette nouvelle enquête.
Dimanche matin, à Bruz, près de Rennes, des familles ont eu très peur, retranchées dans une ferme assiégée par 200 antifas armés de cocktails Molotov.
Les Français sont peut-être inconsciemment en manque de leurs rois, parce qu’un peuple ne peut pas avoir vécu durant mille trois cents ans en monarchie sans qu’il en reste quelque chose.
Pour Boulevard Voltaire, Sébastien Chenu évoque les thèmes qui ont agité les élus et les militants. Le RN regarde désormais l’avenir sans complexe.
À l’image des comptes du parti assainis par d’excellents scores aux élections législatives et de la future élection pour la présidence du parti, Marine Le Pen et ses troupes actent une forme de « reset ».
À dix jours des législatives italiennes, une échéance majeure aussi pour l’Europe, Vincenzo Sofo, mari de Marion Maréchal, député européen et membre de Fratelli d’Italia, le parti de Giorgia Meloni, nous livre en exclusivité son analyse sur les enjeux du scrutin et sa vision de la politique française.
Jordan Bardella et Louis Aliot sont deux candidats sur la même ligne, ils n’ont pas de points de divergence idéologique.
Le RN de Bardella se met en ordre de marche pour 2027. Et ce ne sera pas sans Marine Le Pen.
Loin des injonctions festivistes et des appels à l’insouciance, Olivier Fisher a perdu la sienne, ce soir-là, en même temps que l’un de ses meilleurs amis. Pas question, pour lui, de sombrer dans l’angélisme.
À cet instant, le garde des Sceaux redevient ce qu’il est, un bloc. Un bloc de haine de la nation, de ses représentants et de ceux qui y sont attachés.
C’est qu’ils sont malins, au RN. Ils vous font disparaître un « grand gaillard » député en un clin d’œil plus vite qu’un cadavre de journaliste dans une ambassade saoudienne !
Le maire de Perpignan, ancien député et vice-président du Rassemblement national, annonce officiellement sa candidature à la présidence du parti anciennement présidé par Marine Le Pen et brigué par Jordan Bardella.
On voit mal qui pourrait barrer la route au jeune et fulgurant Bardella. Seule Marine Le Pen en aurait les capacités.
Il y a là plus qu’une provocation, plus qu’une dispute sur le fond : une entreprise profondément antidémocratique, une volonté de tuer, d’exclure, de disqualifier, de marquer au fer rouge, coûte que coûte, une partie de la représentation nationale.
Comment expliquer cette opposition du RN à une mesure apparemment de bon sens, soutenant les salariés les plus précaires ?
Lors de cette intervention magistrale, Julien Odoul évoque les agressions du week-end du 14 juillet. Éric Dupond-Moretti rit, puis marmonne derrière son masque…
Le mot de colère d’Élisabeth Borne est révélateur. Il dévoile la duplicité du macronisme vis-à-vis de ce qui fait la France : ses frontières.
Le jeune homme confie avoir dénombré une quarantaine de personnes, certains masqués, tous vêtus de noir.
Comment le RN peut-il dès lors sortir de ce piège qui interdit d’évoquer certains thèmes, sous peine de basculer à nouveau dans le camp des réprouvés ?
Une majorité de circonstance s’est reconstituée au sein de chaque commission pour écarter le Rassemblement national des postes clés, alors même qu’il est le deuxième groupe de l’Assemblée nationale.