Il faut remettre notre langue au cœur de notre cœur et de celui de l’école.
Lire la suite »Peu importe. L’important est que, peu à peu, l’idéologie chemine : il faut désexualiser la grammaire du monde.
Lire la suite »De nos jours, Montesquieu serait dénoncé à la LICRA.
Lire la suite »Quoi que vous fassiez et écriviez, que vous pensiez, le Dictionnaire de l’Académie fait, in fine, autorité.
Lire la suite »La folie genrée, ajoutée à la frénésie sexuée, fait rage dans tous les domaines, dans un contexte de guerre totale.
Lire la suite »Les emballages des corn flakes Kellogg’s, comme les boîtes de soupe à la tomate de chez Campbell’s.
Lire la suite »Son temps est passé et, à force de recycler le seul rôle l’ayant rendu célèbre, celui du comte Dracula, il ne tourne plus que des films mineurs...
Lire la suite »Avec le pianiste Liberace, sorte de Richard Clayderman américain avant l’heure, le mauvais goût devient un art à part entière.
Lire la suite »Comme chaque année, à l’occasion de l’été, Boulevard Voltaire vous offre des extraits de livres. Cette semaine, Les Grands Excentriques, de Nicolas Gauthier. En 1930, Howard Hughes se lance dans le cinéma, avec Hell’s Angels, film dont le devis final se monte à plus de quatre millions de dollars, soit le budget le plus onéreux de l’époque. Howard Hughes ne dispose que de deux ou trois caméras ? Il lui en faut vingt de plus ! Il veut des avions ? Mais des vrais, des avions d’époque ! Délicat à dénicher sur le territoire américain… — Je m’en fous ! Allez en Angleterre, allez en France, allez en Allemagne et ramenez-moi ces putain d’avions ! Et leurs pilotes, tant qu’à faire… — Ça va coûter une véritable fortune, risque Noah Dietrich. — Rien à foutre, je veux ces putain d’avions et leurs putain de pilotes ! Raclez les fonds de tiroirs de la fabrique d’outillage jusqu’au dernier cent s’il le faut, mais faites ce que je vous demande ! Il veut deux Zeppelin en flammes ? Il les aura. Coût du caprice : 460.000 dollars ! Et le reste à l’avenant. On tire la sonnette d’alarme ? Il s’en moque…
Lire la suite »Alors, Jean-Edern Hallier arrivait comme un diable, sa bouteille de vodka à la main...
Lire la suite »Ce Dalí n’est décidément pas fréquentable…
Lire la suite »...ils ont apporté une « pincée de vie » dans un monde qui en manque singulièrement.
Lire la suite »En trente minutes, les grands moments de la vie du « Dernier Panache » se succèdent dans une multitude de décors réels et de vidéo-projections en ultra-haute définition (le 4K).
Lire la suite »Un cheval du Puy du Fou est un poème galopant, qui rime avec la lune, le soleil, les armoiries dorées et les caparaçons de légende.
Lire la suite »Taillé comme un bouleau immémorial, il paraît dense, puissant, il a le regard farouche...
Lire la suite »Ce soir, à minuit, on saura.
Lire la suite »Comme chaque année, à l’occasion de l’été, Boulevard Voltaire vous offre des extraits de livres. Cette semaine, Le Puy du Fou, un rêve d'enfance, de Philippe de Villiers. La nuit du déclic […] Nous sommes face à une civilisation paysanne, dans un vieux bourg notarial : les gens ne me croient pas. Il faut leur donner un à-valoir, un acompte sur bienfaits à venir. Un aperçu du spectacle. Il faut leur mettre l’œil à la fenêtre. Une minute d’embrassement suffira pour dégeler les cœurs. Je vais donc fabriquer cet « à-valoir » sur spectacle à venir. Ce sera un texte, une voix, une image. Un condensé de deux minutes. J'enregistre trois phrases de Jean Piat sur un petit magnétophone amateur. Par voie de presse, les autorités et toute la population des environs sont invitées à passer de l'autre côté de l'étang. Nous sommes le 3 décembre 1977. Il gèle à pierre fendre. Nous allons briser la glace. Avec un petit échantillon du spectacle : l’embrasement du château. J'ai réussi à trouver un sonorisateur. Et un volontaire, Michel Bossard, qui installe plusieurs « deux chevaux » sur la terrasse pour éclairer le château. La lumière est jaune-phare mais efficace. Pendant deux minutes et demie, s'élève la voix…
Lire la suite »Comme chaque année, à l’occasion de l’été, Boulevard Voltaire vous offre des extraits de livres. Cette semaine, Puy du Fou : Un rêve d'enfance, de Philippe de Villiers. Ce château pleure tout seul, entrailles ouvertes Je suis parti à l'aventure. C'était le 13 juin 1977, par un après-midi de grand soleil printanier. Je me suis perdu dans les routins du haut-bocage, au pied de la « colline des hêtres » - le Puy vient du latin Podium et signifie promontoire. Et le Fou, en vieux français « fouteau », signifie hêtre. Aucun panneau n'indiquait le site, passé aux oubliettes depuis deux siècles. […] Je me souviens de cette première impression, de cet instant fatidique où le songe vient de trouver son lieu. Un lieu puissant, un lieu qui parle. Un lieu qui est en soi une dramaturgie. Le poids de l'Histoire. Ce sera là. Et pas ailleurs. Partout autour de moi, un silence séculaire, lourd de sous-entendus. L’écho sublime du jour qui meurt. Là-bas, sur le côté, de grands hêtres étêtés, des arbres décharnés qui ont l'éloquence des morts naturelles. Morts de vieillesse. Contraste saisissant avec les ruines décapitées qui, elles, parlent de mort violente. Sur l'eau, se découpent des ombres de géants. Presque…
Lire la suite »Comme chaque année, à l’occasion de l’été, Boulevard Voltaire vous offre des extraits de livres. Cette semaine, Le Puy du Fou, un rêve d'enfance, de Philippe de Villiers. Une voix tremblante qui était déjà presque écriture Juste à côté de chez moi, il y avait un champ que les paysans appelaient « Le champ de la braille » [...] Un peu plus bas, sous le jardin de la maison, coulait une petite rivière anodine, la Boulogne. Elle serpentait jusqu'aux Lucs – Les-Lucs-sur-Boulogne -, à quelques kilomètres ; elle passait en contre-bas de la chapelle des martyrs, qui fut un Oradour vendéen. Petite rivière tranquille, où je fabriquais des radeaux, petite rivière de mes premiers hameçons, de mes premiers vairons. Petite rivière jadis rougie du sang suppliciés. Petite rivière métaphysique de l'autre. Vendée, celle du génocide, Vendée aux lèvres closes scellées d'un signe de croix. Déjà chantait en moi une petite voix d'enfant qui n'était plus la mienne et qui fredonnait en oratorio. Une voix tremblante qui était presque déjà une intention, une écriture. Ainsi devait éclore mon rêve du Puy du Fou. Le rêve n'est pas sorti d'un lieu. C'est au contraire le lieu qui est sorti d'un rêve. Le Puy du…
Lire la suite »Les livres qui confirment le Coran peuvent être détruits car inutiles ; ceux qui le contredisent doivent être détruits car trompeurs.
Lire la suite »Le Coran place les femmes en état d’asservissement.
Lire la suite »Tous les ans, depuis 1999, les 57 pays de l’Organisation de la conférence islamique (OCI) tentent d’introduire le délit de blasphème, omniprésent dans le Coran, dans la charte des Nations unies.
Lire la suite »Sans être le seul islam possible, l’islamisme est conforme aux textes fondateurs et au consensus des légistes.
Lire la suite »La criminalité qui dévaste aujourd’hui notre pays est fondée sur cette fracture culturelle entre l’Occident et l’islam traditionnel.
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