Donald Trump poursuit son offensive diplomatique à échelle mondiale. Pour le meilleur et pour le pire. Et c’est souvent dans le pire qu’il se révèle être le meilleur.
Dans la liste des commissions, il y a, bien sûr, de tout et du rien. Du rien, surtout.
Les marchands du Temple ne connaissent ni honte ni frontières, fussent-elles religieuses.
Un peu comme si une nation entière se sentait un peu catholique ce soir ; même ceux qui ne le sont pas.
Derrière le discours de la reine mère, verbiage d’une Miss France qui aurait trop fréquenté le catéchisme, se niche aussi un fieffé cynisme.
Heureusement que ces « belles personnes » veillent, dans l’ombre, face aux menées sournoises de ces forces ténébreuses…
Benyamin Netanyahou devrait donc entamer son cinquième mandat de Premier ministre, battant le record de longévité de David Ben Gourion, l’un des pères fondateurs de la nation.
Les populismes européens à la croisée des chemins ? Nous n’en sommes pas loin. Et le « Système » dans l’impasse ? Nous n’en avons jamais été aussi près.
Du coup, montagne qui accouche d’une souris ? Ou taupinière qui nous aurait pondu une paramécie. La réponse aux prochaines échéances électorales.
Qui oserait parler, aujourd’hui, de « mondialisation heureuse » ou d’immigration « chance pour la France » ?
En attendant, Emmanuel Macron devrait clore sa tournée sur un feu d’artifice. La marque des grands artistes, n’est-il pas ?
Comme quoi, en la matière, la République peut se montrer aussi intransigeante que le comte de Chambord.
Ce devait être un grand débat national et ça devient du stand-up ; un peu comme Jamel Debbouze – les rires en moins. Ainsi Emmanuel
Dans le monde politico-médiatique, la nomination de ce trio de champions entraîne des réactions qu’on dira « mitigées », juste histoire de rester polis.
« Beaucoup de gens m’ont dit qu’il était intouchable. » La mise en garde à vue de cette « belle personne » en attendant qu’il soit déféré devant un juge semble prouver que non.
Il faut donc à cet État profond, concentrant en ses mains l’essentiel de l’appareil politico-économique algérien, trouver une porte de sortie honorable.
Au terme de 675 jours d’enquête, Donald Trump se retrouve donc blanchi d’une possible collusion avec une Russie suspectée d’avoir aidé à sa tonitruante élection face à Hillary Clinton
Aux échecs, on est là pour tuer l’autre. Au go, on se contente de se répartir le terrain ; à son avantage, évidemment.
Aujourd’hui, ce qui demeure de l’industrie du disque se trouve sous la houlette de diplômés d’écoles de commerce. Néanmoins, il existe encore des exceptions…
Une chance pour le téléspectateur, il y a Mélenchon et Le Pen, les seuls à faire de la politique.
Les cœurs de ville sont en passe de ressembler à des cimetières, avec des commerces mettant la clef sous la porte les uns après les autres…
La présence d’autant de talents réunis pouvait laisser augurer une sorte de feu d’artifice, à la fois intellectuel et politique.
Deux célèbres gazettes concordent néanmoins sur le fil des événements : c’était le samedi 9 mars, au Noto, restaurant branché du VIIIe arrondissement parisien…
Si seulement la France était gérée comme Parlan…
En attendant de probables rebondissements à venir, ça navigue à vue, au 10 Downing Street.
Comme quoi, en Algérie, tout n’est pas tout vert, tout n’est pas tout noir.
Donald Trump poursuit son offensive diplomatique à échelle mondiale. Pour le meilleur et pour le pire. Et c’est souvent dans le pire qu’il se révèle être le meilleur.
Dans la liste des commissions, il y a, bien sûr, de tout et du rien. Du rien, surtout.
Les marchands du Temple ne connaissent ni honte ni frontières, fussent-elles religieuses.
Un peu comme si une nation entière se sentait un peu catholique ce soir ; même ceux qui ne le sont pas.
Derrière le discours de la reine mère, verbiage d’une Miss France qui aurait trop fréquenté le catéchisme, se niche aussi un fieffé cynisme.
Heureusement que ces « belles personnes » veillent, dans l’ombre, face aux menées sournoises de ces forces ténébreuses…
Benyamin Netanyahou devrait donc entamer son cinquième mandat de Premier ministre, battant le record de longévité de David Ben Gourion, l’un des pères fondateurs de la nation.
Les populismes européens à la croisée des chemins ? Nous n’en sommes pas loin. Et le « Système » dans l’impasse ? Nous n’en avons jamais été aussi près.
Du coup, montagne qui accouche d’une souris ? Ou taupinière qui nous aurait pondu une paramécie. La réponse aux prochaines échéances électorales.
Qui oserait parler, aujourd’hui, de « mondialisation heureuse » ou d’immigration « chance pour la France » ?
En attendant, Emmanuel Macron devrait clore sa tournée sur un feu d’artifice. La marque des grands artistes, n’est-il pas ?
Comme quoi, en la matière, la République peut se montrer aussi intransigeante que le comte de Chambord.
Ce devait être un grand débat national et ça devient du stand-up ; un peu comme Jamel Debbouze – les rires en moins. Ainsi Emmanuel
Dans le monde politico-médiatique, la nomination de ce trio de champions entraîne des réactions qu’on dira « mitigées », juste histoire de rester polis.
« Beaucoup de gens m’ont dit qu’il était intouchable. » La mise en garde à vue de cette « belle personne » en attendant qu’il soit déféré devant un juge semble prouver que non.
Il faut donc à cet État profond, concentrant en ses mains l’essentiel de l’appareil politico-économique algérien, trouver une porte de sortie honorable.
Au terme de 675 jours d’enquête, Donald Trump se retrouve donc blanchi d’une possible collusion avec une Russie suspectée d’avoir aidé à sa tonitruante élection face à Hillary Clinton
Aux échecs, on est là pour tuer l’autre. Au go, on se contente de se répartir le terrain ; à son avantage, évidemment.
Aujourd’hui, ce qui demeure de l’industrie du disque se trouve sous la houlette de diplômés d’écoles de commerce. Néanmoins, il existe encore des exceptions…
Une chance pour le téléspectateur, il y a Mélenchon et Le Pen, les seuls à faire de la politique.
Les cœurs de ville sont en passe de ressembler à des cimetières, avec des commerces mettant la clef sous la porte les uns après les autres…
La présence d’autant de talents réunis pouvait laisser augurer une sorte de feu d’artifice, à la fois intellectuel et politique.
Deux célèbres gazettes concordent néanmoins sur le fil des événements : c’était le samedi 9 mars, au Noto, restaurant branché du VIIIe arrondissement parisien…
Si seulement la France était gérée comme Parlan…
En attendant de probables rebondissements à venir, ça navigue à vue, au 10 Downing Street.
Comme quoi, en Algérie, tout n’est pas tout vert, tout n’est pas tout noir.