

Ce qui paraît aisément intelligible par un enfant de moins de cinq ans ne l’est pas forcément par des mâles blancs d’extrême gauche de plus de soixante ans préférant mettre en cause le thermomètre par leurs soins créé plutôt que de soigner la fièvre qui monte, la vraie.

Plus primordial que la lutte des classes : celle des places…

D’ailleurs, qui écoute encore François Hollande, aujourd’hui ?

Aussitôt, les démocrates indignés tweetent comme si leur vie en dépendait. Pour anecdotique qu’elle soit, cette joute nous en dévoile néanmoins beaucoup sur l’état de délabrement du pouvoir.

Qui les soutiendra ?

Le tassement de ces partis donnés naguère pour être institutionnels laisse place à la montée en puissance du Rassemblement national, mouvement désormais hors normes, puisque incarnant un bloc populaire dressé contre son homologue élitaire.

Quant à la réinsertion, on ne voit pas très bien en quoi le rap pourrait aider à la manœuvre.

En quelque sorte, Matignon redécouvre les valeurs d’autrefois qui faisaient dire à nos aïeux que gaspiller n’était pas chrétien.

Cinquante-sept pour cent des Français jugent La France insoumise toujours plus « dangereuse » pour cette même démocratie.

Pour résumer, la France importe désormais 50% des denrées alimentaires qu’elle consomme annuellement.

Après trois décennies de gouvernance progressiste, Rezé connaît des records de délinquance.

Un tel ralliement peut-il être déterminant pour l’issue du scrutin ?

Si la situation internationale n’était pas si inquiétante, on dirait que cet homme a malgré tout le don de remettre un peu de poésie dans la vie de tous les jours.

En Hollande, des bateaux géants sont aménagés pour des transferts massifs de migrants en Europe.

Paradis, non point des djihadistes, qui y demeurent minoritaires et fort mal vus et guère mieux traités, mais surtout des trafiquants d’êtres humains ; d’où l’actuelle déferlante migratoire qu’on sait, naguère jugulée par un Kadhafi faisant office de garde-frontière.

Au train où ces gens s’épurent les uns les autres, on sera bientôt dans Dix Petits Nègres…

Là où ça se corse, c’est que les amateurs de bonne viande porteraient majoritairement à droite et même au-delà, épris qu’ils sont « de patrimoine culinaire, de tradition, voire de nation ».

Aujourd’hui, avec le discours d’Emmanuel Macron, principalement consacré à la guerre russo-ukrainienne, il ne s’agit plus de faire entendre la voix singulière de la France mais seulement celle de l’Occident ; ou de la Maison-Blanche, pour faire court.

Voilà des propos méritant qu’on s’y arrête, surtout en cette période où ces mêmes « valeurs républicaines », infiniment brandies, mais jamais clairement définies, envahissent à n’en plus pouvoir le champ lexical du microcosme politicien.

Dans des villas dont la plus modeste doit au moins compter trente pièces, il n’y aurait donc pas moyen de se tasser un tout petit peu, pour une toute petite cinquantaine d’immigrés vénézuéliens ?

Dans ces unions, il y a toujours un dominant et un dominé, un gagnant et un perdant.

Faire l’Europe, oui. Mais surtout sans les Européens, semble-t-il.
Jean-Luc Godard aurait voulu se fâcher avec tout le monde qu’il ne s’y serait pas pris autrement.

Il est vrai que le gaz de l’Azerbaïdjan est bien utile, par les temps qui courent. Ceci expliquant peut-être cela…

Décidément, tout fout le camp. Rome n’est plus dans Rome et la Fête de l’Humanité n’est même plus à La Courneuve.

Comme quoi la reine était décidément celle de tous ses sujets, même les plus turbulents, les plus bruyants.

Pourtant, quel crime a commis Ségolène Royal, si ce n’est celui consistant à faire preuve de la plus élémentaire prudence ?

Le grand gourou d’une France insoumise portant de moins en moins bien son nom ajoute une dernière louche de repentance, plaidant « coupable pour des époques où on ignorait qu’on était des criminels »… Fichtre ! Tout ça pour avoir pris l’avion.

Ce qui paraît aisément intelligible par un enfant de moins de cinq ans ne l’est pas forcément par des mâles blancs d’extrême gauche de plus de soixante ans préférant mettre en cause le thermomètre par leurs soins créé plutôt que de soigner la fièvre qui monte, la vraie.

Plus primordial que la lutte des classes : celle des places…

D’ailleurs, qui écoute encore François Hollande, aujourd’hui ?

Aussitôt, les démocrates indignés tweetent comme si leur vie en dépendait. Pour anecdotique qu’elle soit, cette joute nous en dévoile néanmoins beaucoup sur l’état de délabrement du pouvoir.

Qui les soutiendra ?

Le tassement de ces partis donnés naguère pour être institutionnels laisse place à la montée en puissance du Rassemblement national, mouvement désormais hors normes, puisque incarnant un bloc populaire dressé contre son homologue élitaire.

Quant à la réinsertion, on ne voit pas très bien en quoi le rap pourrait aider à la manœuvre.

En quelque sorte, Matignon redécouvre les valeurs d’autrefois qui faisaient dire à nos aïeux que gaspiller n’était pas chrétien.

Cinquante-sept pour cent des Français jugent La France insoumise toujours plus « dangereuse » pour cette même démocratie.

Pour résumer, la France importe désormais 50% des denrées alimentaires qu’elle consomme annuellement.

Après trois décennies de gouvernance progressiste, Rezé connaît des records de délinquance.

Un tel ralliement peut-il être déterminant pour l’issue du scrutin ?

Si la situation internationale n’était pas si inquiétante, on dirait que cet homme a malgré tout le don de remettre un peu de poésie dans la vie de tous les jours.

En Hollande, des bateaux géants sont aménagés pour des transferts massifs de migrants en Europe.

Paradis, non point des djihadistes, qui y demeurent minoritaires et fort mal vus et guère mieux traités, mais surtout des trafiquants d’êtres humains ; d’où l’actuelle déferlante migratoire qu’on sait, naguère jugulée par un Kadhafi faisant office de garde-frontière.

Au train où ces gens s’épurent les uns les autres, on sera bientôt dans Dix Petits Nègres…

Là où ça se corse, c’est que les amateurs de bonne viande porteraient majoritairement à droite et même au-delà, épris qu’ils sont « de patrimoine culinaire, de tradition, voire de nation ».

Aujourd’hui, avec le discours d’Emmanuel Macron, principalement consacré à la guerre russo-ukrainienne, il ne s’agit plus de faire entendre la voix singulière de la France mais seulement celle de l’Occident ; ou de la Maison-Blanche, pour faire court.

Voilà des propos méritant qu’on s’y arrête, surtout en cette période où ces mêmes « valeurs républicaines », infiniment brandies, mais jamais clairement définies, envahissent à n’en plus pouvoir le champ lexical du microcosme politicien.

Dans des villas dont la plus modeste doit au moins compter trente pièces, il n’y aurait donc pas moyen de se tasser un tout petit peu, pour une toute petite cinquantaine d’immigrés vénézuéliens ?

Dans ces unions, il y a toujours un dominant et un dominé, un gagnant et un perdant.

Faire l’Europe, oui. Mais surtout sans les Européens, semble-t-il.
Jean-Luc Godard aurait voulu se fâcher avec tout le monde qu’il ne s’y serait pas pris autrement.

Il est vrai que le gaz de l’Azerbaïdjan est bien utile, par les temps qui courent. Ceci expliquant peut-être cela…

Décidément, tout fout le camp. Rome n’est plus dans Rome et la Fête de l’Humanité n’est même plus à La Courneuve.

Comme quoi la reine était décidément celle de tous ses sujets, même les plus turbulents, les plus bruyants.

Pourtant, quel crime a commis Ségolène Royal, si ce n’est celui consistant à faire preuve de la plus élémentaire prudence ?

Le grand gourou d’une France insoumise portant de moins en moins bien son nom ajoute une dernière louche de repentance, plaidant « coupable pour des époques où on ignorait qu’on était des criminels »… Fichtre ! Tout ça pour avoir pris l’avion.
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