Jean-Michel Blanquer ne faisait que freiner un mouvement progressiste : il était temps d’accélérer.
Le Président s’est levé de son banc. C’est décidé : la Première ministre, ce sera…
L’air de Jacques Brel me hante, ne cherchez pas pourquoi. « T’as voulu voir Vierzon et on a vu Vierzon. T’as voulu voir Vesoul et on a vu Vesoul… » On a voulu Macron, et on a eu Macron.
Alors que nous ne sommes pas « en guerre », le parti pris belliqueux, médiatisé, de certains est révélateur de violences qu’il est tentant d’instrumentaliser.
On l’écoutait sans déplaisir quand l’impression du déjà-entendu balaya tout.
Emporté par la vague du franglais, le français est en passe de ne plus être la langue de la République.
Un doute me prend alors : C’est-y la guerre ? Le tsar de toutes les Russies est-il aux portes de Paris ? Sotte que je suis (je ne me le fais pas dire), c’est porte d’Orléans qu’ils vont, ces blindés !
Dimanche dernier, en l’église Saint-Sulpice, avait lieu, en « la journée mondiale de la fraternité humaine », une rencontre « islamo-chrétienne », avec l’aide de
Apprendre notre langue n’est pas labourer la mer. C’est l’aimer.
Ce n’est donc pas le mot de Cambronne (encore que…) chargé de siècles et d’Histoire qui a choqué mais l’intention, tortueuse et brutale, de l’énonciation, traduisant un ego princier : j’ai très envie de…
La langue de « la République française une et indivisible » est le français. Une IDENTITY CARD est une forfaiture.
Du moins aura-t-il appris que « notre histoire est notre code ».
Où va la France ? titrait l’émission. Quelle question ! Grand joueur devant l’Éternel, Macron croit en son étoile là où nous voyons gabegie, violences, naufrage.
Faire du grec, c’est saisir les idées à leur source, dans leur élan créateur. Du latin, c’est apprendre notre langue. Je déplore que l’Académie française n’ait pas « conservé » la place qu’elle aurait dû aux Lettres classiques…
Un pays, c’est donc une terre avec des frontières.
À bas le mâle dominant ! La mort du taureau, portant sur son dos Europe, est programmée pour le siècle à venir.
On accuse toujours celui qui annonce la guerre de la provoquer.
France Inter explique que l’usage de ce « Iel » est de plus en plus fréquent « dans la vraie vie et sur les réseaux sociaux ». Dans la vraie vie ?
Ici, Radio Élysée. Le Président hors-sol vous parle.
Que signifie alors la vêture étriquée, faite de bric et de broc, de nos hommes ? Un mal-être cachant un mâle en quête d’être ?
Le mérite de Zemmour est de crever les abcès. Aucun mot n’est plus tabou.
Nous n’avons plus le choix : parler correctement le français est une priorité pour l’emploi. Apprendre le b.a.-ba, lire, écrire, compter est une question de survie.
Il est cocasse de les voir dénoncer « une faute » d’orthographe !
Têtu s’inquiète : et les bébés de mai promis par Olivier Véran ?
Sur le site Région Île-de-France, elle présente sa biographie en français et en anglais.
Car, enfin, quelle menace fait peser sur l’Église le rite selon Pie V quand il existe un rite ambrosien, mozarabe, dominicain et même zaïrois ?
Après les enfants avec père et les enfants sans père, les gilets jaunes et les sans gilet, la fracture est une spécialité française. Olivier Véran devrait s’en préoccuper, de cette fracture systémique.
La nation en fête ? Elle est fracturée comme jamais.
Jean-Michel Blanquer ne faisait que freiner un mouvement progressiste : il était temps d’accélérer.
Le Président s’est levé de son banc. C’est décidé : la Première ministre, ce sera…
L’air de Jacques Brel me hante, ne cherchez pas pourquoi. « T’as voulu voir Vierzon et on a vu Vierzon. T’as voulu voir Vesoul et on a vu Vesoul… » On a voulu Macron, et on a eu Macron.
Alors que nous ne sommes pas « en guerre », le parti pris belliqueux, médiatisé, de certains est révélateur de violences qu’il est tentant d’instrumentaliser.
On l’écoutait sans déplaisir quand l’impression du déjà-entendu balaya tout.
Emporté par la vague du franglais, le français est en passe de ne plus être la langue de la République.
Un doute me prend alors : C’est-y la guerre ? Le tsar de toutes les Russies est-il aux portes de Paris ? Sotte que je suis (je ne me le fais pas dire), c’est porte d’Orléans qu’ils vont, ces blindés !
Dimanche dernier, en l’église Saint-Sulpice, avait lieu, en « la journée mondiale de la fraternité humaine », une rencontre « islamo-chrétienne », avec l’aide de
Apprendre notre langue n’est pas labourer la mer. C’est l’aimer.
Ce n’est donc pas le mot de Cambronne (encore que…) chargé de siècles et d’Histoire qui a choqué mais l’intention, tortueuse et brutale, de l’énonciation, traduisant un ego princier : j’ai très envie de…
La langue de « la République française une et indivisible » est le français. Une IDENTITY CARD est une forfaiture.
Du moins aura-t-il appris que « notre histoire est notre code ».
Où va la France ? titrait l’émission. Quelle question ! Grand joueur devant l’Éternel, Macron croit en son étoile là où nous voyons gabegie, violences, naufrage.
Faire du grec, c’est saisir les idées à leur source, dans leur élan créateur. Du latin, c’est apprendre notre langue. Je déplore que l’Académie française n’ait pas « conservé » la place qu’elle aurait dû aux Lettres classiques…
Un pays, c’est donc une terre avec des frontières.
À bas le mâle dominant ! La mort du taureau, portant sur son dos Europe, est programmée pour le siècle à venir.
On accuse toujours celui qui annonce la guerre de la provoquer.
France Inter explique que l’usage de ce « Iel » est de plus en plus fréquent « dans la vraie vie et sur les réseaux sociaux ». Dans la vraie vie ?
Ici, Radio Élysée. Le Président hors-sol vous parle.
Que signifie alors la vêture étriquée, faite de bric et de broc, de nos hommes ? Un mal-être cachant un mâle en quête d’être ?
Le mérite de Zemmour est de crever les abcès. Aucun mot n’est plus tabou.
Nous n’avons plus le choix : parler correctement le français est une priorité pour l’emploi. Apprendre le b.a.-ba, lire, écrire, compter est une question de survie.
Il est cocasse de les voir dénoncer « une faute » d’orthographe !
Têtu s’inquiète : et les bébés de mai promis par Olivier Véran ?
Sur le site Région Île-de-France, elle présente sa biographie en français et en anglais.
Car, enfin, quelle menace fait peser sur l’Église le rite selon Pie V quand il existe un rite ambrosien, mozarabe, dominicain et même zaïrois ?
Après les enfants avec père et les enfants sans père, les gilets jaunes et les sans gilet, la fracture est une spécialité française. Olivier Véran devrait s’en préoccuper, de cette fracture systémique.
La nation en fête ? Elle est fracturée comme jamais.
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