Société

Cette mesure exceptionnelle ferait-elle partie de la stratégie électorale du gouvernement qui, en quête de voix pour les prochaines échéances, va chasser sur les terres du Parti animaliste…

Quoi qu’entendent certaines oreilles bien-pensantes, le brouhaha de 20 h donne la mesure d’une unité nationale.
Les prunes symboliques ont remplacé les pruneaux de la mitraille. En un mois de confinement, plus d’un demi-million d’amendes ont été dressées.

Les lettres anonymes fleurissent sur les paillassons… déposées peut-être par les mêmes qui applaudissent aux fenêtres.

Le confinement vu de Campagnol !

Plus que jamais, il semble urgent de se préparer à des temps incertains.

La gravité de la pandémie semble proportionnelle à l’incurie d’un pouvoir qui paraît agir contre le bon sens.

Eux décèdent seuls, puisque les visites des familles sont interdites.

C’est parfois la famille elle-même qui suspend nos interventions par peur de la contamination. Elles se retrouvent seules et coupées de tout contact.

Bien sûr, les deux éminents membres du gouvernement affirment que cette application ne sera en rien liberticide…

Plate-forme d’échanges, Over the Blues centralise les offres et les demandes entre les particuliers, les soignants et les entreprises.

À Rungis, où un entrepôt frigorifique a été réquisitionné pour décharger les services funéraires, pour que le corps puisse être conservé une semaine, il faut aux familles payer 250 euros…

Retour, donc, au travail de la terre. L’État s’appuie sur la famille et encourage au patriotisme économique. Et dire qu’on est en Macronie !

Si la nation ne se débarrasse pas en priorité de ce parasite mortel qu’est devenu l’État, elle n’a aucune chance de remonter la pente.
Le déconfinement n’est pas un caprice d’enfant indocile mais une question de survie.
Pour le peuple confiné, les journées sont longues. Pour la secrétaire d’État chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes, elles doivent paraître bien courtes, tant il y a de travail à abattre.

Je me demande de quoi nous souffrons le plus, en ces temps qu’on nous décrit comme apocalyptiques…

Une remise en question personnelle qui s’impose à nous individuellement bien avant de vouloir changer le monde.

La République en marche aurait-elle abandonné son sectarisme et, surtout, son arrogance ?

Alors que la France est frappée par l’épidémie du coronavirus, l’appel à la prière des musulmans a retenti dans plusieurs villes de France.

Pour que la redistribution soit viable sur le temps long, il faut que le riche et le pauvre se sentent appartenir à un même corps : ce n’est pas le cas quand la redistribution est ouverte à la Terre entière.

Pour l’instant, j’ai l’impression que c’est l’atmosphère générale qui est contaminée par la maladie, plus que les gens.

Pour ma part, tant que cette question de la maternité ne sera pas prise en compte dans la carrière des femmes, je continuerai à dire à mes collègues féministes qu’elles se sont acheté un concept d’égalité en solde pour une bataille irréelle.

En ces circonstances, il est souvent d’usage de prétendre que « plus rien ne sera plus jamais comme avant ». Vœu pieux ou pensée magique ?

Face à la dégradation de cette situation, l’Ordre de Malte organise une montée en puissance de son dispositif : les maraudes sont rétablies, leur fréquence augmentée. Un appel à volontaires est lancé !

Le cimetière est très grand, il n’y a pas de confinement dans un cimetière, très peu de personne se croisent, pourquoi faire autant souffrir les gens quand ils perdent un être cher ?

Pour reprendre l’anaphore de Darmanin, « qu’est-il arrivé à l’Europe » pour qu’on doive mettre la nourriture sous clef ?

La France réussit ce paradoxe d’une dépense publique record et d’un État inefficace !

Cette mesure exceptionnelle ferait-elle partie de la stratégie électorale du gouvernement qui, en quête de voix pour les prochaines échéances, va chasser sur les terres du Parti animaliste…

Quoi qu’entendent certaines oreilles bien-pensantes, le brouhaha de 20 h donne la mesure d’une unité nationale.
Les prunes symboliques ont remplacé les pruneaux de la mitraille. En un mois de confinement, plus d’un demi-million d’amendes ont été dressées.

Les lettres anonymes fleurissent sur les paillassons… déposées peut-être par les mêmes qui applaudissent aux fenêtres.

Le confinement vu de Campagnol !

Plus que jamais, il semble urgent de se préparer à des temps incertains.

La gravité de la pandémie semble proportionnelle à l’incurie d’un pouvoir qui paraît agir contre le bon sens.

Eux décèdent seuls, puisque les visites des familles sont interdites.

C’est parfois la famille elle-même qui suspend nos interventions par peur de la contamination. Elles se retrouvent seules et coupées de tout contact.

Bien sûr, les deux éminents membres du gouvernement affirment que cette application ne sera en rien liberticide…

Plate-forme d’échanges, Over the Blues centralise les offres et les demandes entre les particuliers, les soignants et les entreprises.

À Rungis, où un entrepôt frigorifique a été réquisitionné pour décharger les services funéraires, pour que le corps puisse être conservé une semaine, il faut aux familles payer 250 euros…

Retour, donc, au travail de la terre. L’État s’appuie sur la famille et encourage au patriotisme économique. Et dire qu’on est en Macronie !

Si la nation ne se débarrasse pas en priorité de ce parasite mortel qu’est devenu l’État, elle n’a aucune chance de remonter la pente.
Le déconfinement n’est pas un caprice d’enfant indocile mais une question de survie.
Pour le peuple confiné, les journées sont longues. Pour la secrétaire d’État chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes, elles doivent paraître bien courtes, tant il y a de travail à abattre.

Je me demande de quoi nous souffrons le plus, en ces temps qu’on nous décrit comme apocalyptiques…

Une remise en question personnelle qui s’impose à nous individuellement bien avant de vouloir changer le monde.

La République en marche aurait-elle abandonné son sectarisme et, surtout, son arrogance ?

Alors que la France est frappée par l’épidémie du coronavirus, l’appel à la prière des musulmans a retenti dans plusieurs villes de France.

Pour que la redistribution soit viable sur le temps long, il faut que le riche et le pauvre se sentent appartenir à un même corps : ce n’est pas le cas quand la redistribution est ouverte à la Terre entière.

Pour l’instant, j’ai l’impression que c’est l’atmosphère générale qui est contaminée par la maladie, plus que les gens.

Pour ma part, tant que cette question de la maternité ne sera pas prise en compte dans la carrière des femmes, je continuerai à dire à mes collègues féministes qu’elles se sont acheté un concept d’égalité en solde pour une bataille irréelle.

En ces circonstances, il est souvent d’usage de prétendre que « plus rien ne sera plus jamais comme avant ». Vœu pieux ou pensée magique ?

Face à la dégradation de cette situation, l’Ordre de Malte organise une montée en puissance de son dispositif : les maraudes sont rétablies, leur fréquence augmentée. Un appel à volontaires est lancé !

Le cimetière est très grand, il n’y a pas de confinement dans un cimetière, très peu de personne se croisent, pourquoi faire autant souffrir les gens quand ils perdent un être cher ?

Pour reprendre l’anaphore de Darmanin, « qu’est-il arrivé à l’Europe » pour qu’on doive mettre la nourriture sous clef ?

La France réussit ce paradoxe d’une dépense publique record et d’un État inefficace !
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