La question qui se pose est la place et l’influence de nos « élites médiatiques » dans le pouvoir décisionnel.
Né en 1942, ce pianiste tire sa révérence après un demi-siècle de virtuosité.
Si le cinéma, à l’instar de la publicité, est devenu partie intégrante de la propagande autorisée, il peut parfois révéler certaines bonnes surprises. Des nanars
Elle n’hésitait pas à dénoncer l’alignement systématique de l’Europe sur la politique américaine, succombant définitivement à l’influence de propagande mondialiste.
Bravant les missiles d’eau bénite, entre deux colonnes d’encens, trois rafales de Pater calibre 9 mm et quatre d’Ave 7,62, l’auteur dénonce l’intégration du catholicisme à d’autres aspects de la culture d’extrême droite.
Crêpage de chignon jubilatoire en vue entre féministes et progressistes. Jeanne, accusée du crime d’hérésie, l’a été comme, de nos jours, beaucoup qui s’élèvent contre le totalitarisme LGBT.
Pour son documentaire, où il dénonce la propagande LGBT des GAFA et des médias mainstream sur cette contagion sociétale, Walsh a reçu des menaces de mort, preuve de la tolérance à la contradiction de la gauche mentale.
Hélas, de la présomption d’innocence à la présomption systémique de culpabilité masculine, le féminisme vindicatif est passé par là.
Le progressisme serait-il tellement balèze qu’il finira par ringardiser un de ses plus emblématiques mantras : mon corps, mon choix, mon droit ? La réponse
Quelle est bonne, l’odeur de roussi, quand l’arsenal de torréfaction des cerveaux de la wokosphère médiatique commence à se consumer sous nos yeux !
Murray est souvent accusé par le cheptel pavlovien de la bien-pensance d’être xénophobe, islamophobe, chauvin et raciste, mais Douglas s’en fout. Ce dandy gay du politiquement très incorrect dit tout haut ce que pensent les médiocres tout bas.
Après la fabrique du crétin numérique, nous voici à l’ère du trouillard progressiste…
Dans le jargon républicain, il ne fait aucun doute : l’Australie a très envie d’emmerder Novak Djokovic.
Des propositions actuellement au stade embryonnaire, certes, de la science-fiction sociétale.
Peut-être faudrait-il rappeler à Prisca qu’« un peuple qui oublie son passé n’a pas d’avenir »…
Camille Saint-Saëns est probablement la preuve en musique, en cette année du centenaire de sa disparition, que, contrairement au progressisme, la tradition est le seul progrès qui réussit encore.
Nous orientons-nous vers la mutation d’Homo festivus en Homo vaccinus ?
À force d’ergoter sur des armes datant de la guerre de Sécession, la schizophrénie médiatique de la propagande gauchiste oublie de mentionner la sécession en cours au sein d’une multitude de nos territoires perdus.
Solution proposée : plus de toilettes pour les femmes que pour les hommes. Les pissotières prenant moins de place permettront d’élargir l’espace dédié aux femmes.
Deux informations essentielles émanent de cet hosanna : primo, on apprend qu’Edwy Plenel a une âme, deuzio, que Zemmour serait « une ombre qui gagne ».
Le Larousse nous apprend que la libanisation est un processus de fragmentation d’un État résultant de l’affrontement entre diverses communautés.
La voix de ses maîtres, parmi tant d’autres glapissements, ira chercher le détail qui fera tomber Zemmour.
Un écueil de taille : est-il possible, voire crédible, de défendre une civilisation chrétienne, mais sans chrétiens ?
« Après la police de la pensée républicaine, nous voici dans l’ère de la police alimentaire et de l’antispécisme radical ».
Avons-nous encore le bagage nécessaire (culturel, intellectuel, philosophique, politique, historique, moral) pour nous représenter à l’Eurovision des grands de ce monde, au sein de ce magistère moral ? Beaucoup pleurnicheront que non, mais oh, mais qu’ils se trompent, si, Sy.
Il fait de moins en moins de doute que le plus grand danger, à l’égard de la gent féminine, émane, de nos jours, en premier lieu, des délires de la junte féministe au pouvoir.
L’issue du procès est déjà connue d’avance, ce sera perpète, le soutien psychologique pour l’accusé sera un plus. Mais entre-temps, la république laïque veut comprendre.
Une poétesse belge progressiste, Delphine Lecompte, employée par le musée de Bruges, a signé une virulente tribune condamnant la diabolisation des pédophiles…
La question qui se pose est la place et l’influence de nos « élites médiatiques » dans le pouvoir décisionnel.
Né en 1942, ce pianiste tire sa révérence après un demi-siècle de virtuosité.
Si le cinéma, à l’instar de la publicité, est devenu partie intégrante de la propagande autorisée, il peut parfois révéler certaines bonnes surprises. Des nanars
Elle n’hésitait pas à dénoncer l’alignement systématique de l’Europe sur la politique américaine, succombant définitivement à l’influence de propagande mondialiste.
Bravant les missiles d’eau bénite, entre deux colonnes d’encens, trois rafales de Pater calibre 9 mm et quatre d’Ave 7,62, l’auteur dénonce l’intégration du catholicisme à d’autres aspects de la culture d’extrême droite.
Crêpage de chignon jubilatoire en vue entre féministes et progressistes. Jeanne, accusée du crime d’hérésie, l’a été comme, de nos jours, beaucoup qui s’élèvent contre le totalitarisme LGBT.
Pour son documentaire, où il dénonce la propagande LGBT des GAFA et des médias mainstream sur cette contagion sociétale, Walsh a reçu des menaces de mort, preuve de la tolérance à la contradiction de la gauche mentale.
Hélas, de la présomption d’innocence à la présomption systémique de culpabilité masculine, le féminisme vindicatif est passé par là.
Le progressisme serait-il tellement balèze qu’il finira par ringardiser un de ses plus emblématiques mantras : mon corps, mon choix, mon droit ? La réponse
Quelle est bonne, l’odeur de roussi, quand l’arsenal de torréfaction des cerveaux de la wokosphère médiatique commence à se consumer sous nos yeux !
Murray est souvent accusé par le cheptel pavlovien de la bien-pensance d’être xénophobe, islamophobe, chauvin et raciste, mais Douglas s’en fout. Ce dandy gay du politiquement très incorrect dit tout haut ce que pensent les médiocres tout bas.
Après la fabrique du crétin numérique, nous voici à l’ère du trouillard progressiste…
Dans le jargon républicain, il ne fait aucun doute : l’Australie a très envie d’emmerder Novak Djokovic.
Des propositions actuellement au stade embryonnaire, certes, de la science-fiction sociétale.
Peut-être faudrait-il rappeler à Prisca qu’« un peuple qui oublie son passé n’a pas d’avenir »…
Camille Saint-Saëns est probablement la preuve en musique, en cette année du centenaire de sa disparition, que, contrairement au progressisme, la tradition est le seul progrès qui réussit encore.
Nous orientons-nous vers la mutation d’Homo festivus en Homo vaccinus ?
À force d’ergoter sur des armes datant de la guerre de Sécession, la schizophrénie médiatique de la propagande gauchiste oublie de mentionner la sécession en cours au sein d’une multitude de nos territoires perdus.
Solution proposée : plus de toilettes pour les femmes que pour les hommes. Les pissotières prenant moins de place permettront d’élargir l’espace dédié aux femmes.
Deux informations essentielles émanent de cet hosanna : primo, on apprend qu’Edwy Plenel a une âme, deuzio, que Zemmour serait « une ombre qui gagne ».
Le Larousse nous apprend que la libanisation est un processus de fragmentation d’un État résultant de l’affrontement entre diverses communautés.
La voix de ses maîtres, parmi tant d’autres glapissements, ira chercher le détail qui fera tomber Zemmour.
Un écueil de taille : est-il possible, voire crédible, de défendre une civilisation chrétienne, mais sans chrétiens ?
« Après la police de la pensée républicaine, nous voici dans l’ère de la police alimentaire et de l’antispécisme radical ».
Avons-nous encore le bagage nécessaire (culturel, intellectuel, philosophique, politique, historique, moral) pour nous représenter à l’Eurovision des grands de ce monde, au sein de ce magistère moral ? Beaucoup pleurnicheront que non, mais oh, mais qu’ils se trompent, si, Sy.
Il fait de moins en moins de doute que le plus grand danger, à l’égard de la gent féminine, émane, de nos jours, en premier lieu, des délires de la junte féministe au pouvoir.
L’issue du procès est déjà connue d’avance, ce sera perpète, le soutien psychologique pour l’accusé sera un plus. Mais entre-temps, la république laïque veut comprendre.
Une poétesse belge progressiste, Delphine Lecompte, employée par le musée de Bruges, a signé une virulente tribune condamnant la diabolisation des pédophiles…