Sciences
Le graal de la puissance ne réside pas dans la démographie, mais dans la combinaison de l’excellence technologique et de l’affirmation civilisationnelle.
Nicolas Dhuicq n’évolue pas. Il progresse. Car il a des convictions.
Confites de bons sentiments, qui sont ce qu’est la graisse à un foie d’oie, elles ont trouvé le Graal, qui ressemble pathétiquement à ce genre de mignardise sociologique qu’affectionnent les pédagogues.
Par sa démission, le général de Villiers a su briser le silence car non seulement la vie de nos soldats engagés sur les théâtres extérieurs est menacée, mais la vie des citoyens est elle-même en danger sur leur propre sol.
Le professeur Bernard Debré, ancien ministre, ancien député, donne sa position sur la question de l’euthanasie.
Laissons ces misérables là où ils sont, là où ils ont voulu aller. C’est la dure loi du vaincu.
Les Républicains se sont enfin choisi à leur tour leur Napoléon.
On met l’accent sur la forme au détriment du fond.
Ne peuvent s’en sortir que les privilégiés, ceux dont les parents vont de diverses manières compenser par des sorties, des lectures, des cours particuliers, des manuels échangés sous le manteau entre amis.
L’homme est intelligent, respecté, son patriotisme républicain n’est pas en cause. Il n’est pas, pour autant, infaillible.
La présidente de La Manif pour tous commente le sondage indiquant que 60 % des Français seraient favorables à la PMA.
La panique des Mollahs est celle de voir s’effondrer leur monde d’hier, fait d’interdits et de contraintes.
Force d’appoint durant des décennies, le centre devient – sans lapalissade – force centrale.
Inutile de se voiler la face, les cœurs généreux pro-migrants n’ont pas à s’inquiéter.
Non seulement les gamins ânonnent, mais plus grave encore : ils ne comprennent pas le sens de ce qu’ils lisent.
La presse a largement passé sous silence le quatrième péril énoncé par notre Président.
Les musulmans ont compris que la conquête politique se gagne d’abord par les batailles idéologiques.
M. Blanquer a eu l’immense habileté d’utiliser un biais pour justifier le virage à 180 degrés qu’il compte imprimer à l’Éducation nationale.
Jean-Paul Gourévitch revient de Moscou où s’est tenu un colloque international, organisé par l’Institut d’Europe de l’Académie des Sciences de Russie et rassemblant des spécialistes des questions migratoires.
La peur de paraître « islamophobe » paralyse le corps professoral comme jadis l’accusation d’anticommunisme le paralysait face à des thèses marxistes.
Don Camillo et Peppone se sont réconciliés depuis longtemps, même si cela déplaît aux caciques d’une révolution rouge.
Leur objectif n’est pas de transmettre le savoir. Dans leurs bouches, il n’est question que de « savoir-être ».
« Nous sommes victimes d’une invasion soft, comme tout le reste. »
« Notre combat est éminemment politique, c’est une certitude. »
Souhaitons bonne chance à Jean-Michel Blanquer pour sa réforme.
On laisse 58.000 étudiants en première année de médecine, quand 14 % seulement intègrent la deuxième année !
Il serait temps que les gens responsables s’instruisent.
L’attitude de certains membres du corps médical qui confondent finalement l’homme et le cobaye, « au nom de la bioéthique », me fait peur…
Le graal de la puissance ne réside pas dans la démographie, mais dans la combinaison de l’excellence technologique et de l’affirmation civilisationnelle.
Nicolas Dhuicq n’évolue pas. Il progresse. Car il a des convictions.
Confites de bons sentiments, qui sont ce qu’est la graisse à un foie d’oie, elles ont trouvé le Graal, qui ressemble pathétiquement à ce genre de mignardise sociologique qu’affectionnent les pédagogues.
Par sa démission, le général de Villiers a su briser le silence car non seulement la vie de nos soldats engagés sur les théâtres extérieurs est menacée, mais la vie des citoyens est elle-même en danger sur leur propre sol.
Le professeur Bernard Debré, ancien ministre, ancien député, donne sa position sur la question de l’euthanasie.
Laissons ces misérables là où ils sont, là où ils ont voulu aller. C’est la dure loi du vaincu.
Les Républicains se sont enfin choisi à leur tour leur Napoléon.
On met l’accent sur la forme au détriment du fond.
Ne peuvent s’en sortir que les privilégiés, ceux dont les parents vont de diverses manières compenser par des sorties, des lectures, des cours particuliers, des manuels échangés sous le manteau entre amis.
L’homme est intelligent, respecté, son patriotisme républicain n’est pas en cause. Il n’est pas, pour autant, infaillible.
La présidente de La Manif pour tous commente le sondage indiquant que 60 % des Français seraient favorables à la PMA.
La panique des Mollahs est celle de voir s’effondrer leur monde d’hier, fait d’interdits et de contraintes.
Force d’appoint durant des décennies, le centre devient – sans lapalissade – force centrale.
Inutile de se voiler la face, les cœurs généreux pro-migrants n’ont pas à s’inquiéter.
Non seulement les gamins ânonnent, mais plus grave encore : ils ne comprennent pas le sens de ce qu’ils lisent.
La presse a largement passé sous silence le quatrième péril énoncé par notre Président.
Les musulmans ont compris que la conquête politique se gagne d’abord par les batailles idéologiques.
M. Blanquer a eu l’immense habileté d’utiliser un biais pour justifier le virage à 180 degrés qu’il compte imprimer à l’Éducation nationale.
Jean-Paul Gourévitch revient de Moscou où s’est tenu un colloque international, organisé par l’Institut d’Europe de l’Académie des Sciences de Russie et rassemblant des spécialistes des questions migratoires.
La peur de paraître « islamophobe » paralyse le corps professoral comme jadis l’accusation d’anticommunisme le paralysait face à des thèses marxistes.
Don Camillo et Peppone se sont réconciliés depuis longtemps, même si cela déplaît aux caciques d’une révolution rouge.
Leur objectif n’est pas de transmettre le savoir. Dans leurs bouches, il n’est question que de « savoir-être ».
« Nous sommes victimes d’une invasion soft, comme tout le reste. »
« Notre combat est éminemment politique, c’est une certitude. »
Souhaitons bonne chance à Jean-Michel Blanquer pour sa réforme.
On laisse 58.000 étudiants en première année de médecine, quand 14 % seulement intègrent la deuxième année !
Il serait temps que les gens responsables s’instruisent.
L’attitude de certains membres du corps médical qui confondent finalement l’homme et le cobaye, « au nom de la bioéthique », me fait peur…