Coronavirus
Fallait-il reporter les élections municipales ? La question se pose encore aujourd’hui, même si cela semble trop tard. Ramu de Bellescize tente de répondre à
Une rumeur court : il pourrait ne pas y avoir de fêtes pascales cette année, dans la capitale italienne ! Ce serait du jamais-vu dans l’Histoire romaine.
Bien entendu, et tous les chefs d’entreprise le savent, il ne faut pas compter sur les banques.
Une crise n’appelle pas seulement une communication de crise, mais d’abord de sortir de la com’ et de délivrer des messages clairs, cohérents. Et courageux.
Toute crise majeure est l’occasion (ou le prétexte), pour notre État jacobin, de resserrer son emprise sur nos vies, et il est douteux qu’il rate celle-ci.
Il faut, comme un seul homme, se féliciter de cette réduction de notre liberté puisqu’elle a du sens et que l’observer scrupuleusement nous permettra d’éviter que l’univers hospitalier et de ville soit trop vite surchargé.
Dira-t-on que Macron a voulu éviter la « dictature » en ne reportant pas les élections municipales au prix de laisser passer le coronavirus mais que nous aurons la « dictature » et le coronavirus ?
La technique d’enfumage consiste à convaincre les abeilles citoyennes que le feu se propage dans l’habitat pour les alarmer et les inciter à se concentrer sur leurs affaires domestiques…
Les conditions dans lesquelles il a décidé de maintenir les élections municipales ne laissent pas d’intriguer aussi.
Déjà, en 2014, on avait battu des records historiques d’abstention, qui s’éleva à près de 39 % au second tour.
Que nous le voulions ou pas, nous sommes entrés dans une période épidémique lourde.
Selon Xavier Raufer, l’une des conséquences de la crise du coronavirus sera la baisse de la délinquance, car avec moins de gens dans les rues
Peu de certitudes pour notre avenir, sauf celle-ci : quand nous aurons enfin tordu le coup à ce virus sanitaire, il en restera encore bien d’autres à combattre, idéologiques et délétères…
Et c’est de la sorte que semble se conclure la parenthèse libérale initiée, de l’autre côté de la Manche et de l’Atlantique, par Margaret Thatcher et poursuivie par Ronald Reagan…
Plus prosaïquement, la politique du gouvernement fédéral américain pourrait se résumer d’une phrase : quand les événements nous dépassent, feignons d’en être les organisateurs.
Le sens des frontières plutôt que le courant d’air…
Tout est fermé, conformément au couvre feu…
Madame Lagarde, patronne de la BCE, a revêtu les habits de pompier, à défaut d’infirmière, pour tenter de calmer les marchés qui s’emballent sur une dangereuse pente.
Réaction de Nicolas Dupont-Aignan à l’allocution d’Emmanuel Macron sur la gestion de la crise du coronavirus. Vous avez écouté Emmanuel Macron. Qu’avez-vous pensé de la
Au micro de Boulevard Voltaire, réaction de Guillaume Bernard à la suite de l’allocution d’Emmanuel Macron sur la crise sanitaire du coronavirus. Vous avez écouté
Emmanuel Macron vient de s’exprimer lors d’une allocution télévisée sur le coronavirus. Plusieurs mesures ont été annoncées : maintien des élections municipales, fermetures des établissements
Cette pimprenelle exporte ses talents à l’international, puisque se mêlant de la manière qu’ont les autorités italiennes de gérer l’actuelle épidémie.
La totalité du territoire italien a été mise en quarantaine pour lutter contre l’expansion de l’épidémie de coronavirus. Témoignage d’Arthur Herlin, qui vit et travaille
La décision prise par Trump de stopper, pendant un mois, tout vol en provenance de l’Europe se décode ainsi…
Dans ce contexte éprouvant, il faut soutenir les équipes médicales mais aussi des troupes, le moral.
Nos prisons sont pleines, surchargées, prêtes à exploser. Leur population n’a plus rien à voir avec celle du XIXe siècle, ni même avec celle des années 70.
Faute de mesures et faute de la moindre anticipation, c’est donc la panique qui s’installe sur tout le territoire.
Le monde est incapable de vivre dans l’incertitude. L’inconnu nous terrifie. L’homme moderne ne supporte pas l’agresseur anonyme et imprévisible, ce qu’autrefois on aurait appelé le destin, mais contre lequel on ne se serait pas résigné.
Fallait-il reporter les élections municipales ? La question se pose encore aujourd’hui, même si cela semble trop tard. Ramu de Bellescize tente de répondre à
Une rumeur court : il pourrait ne pas y avoir de fêtes pascales cette année, dans la capitale italienne ! Ce serait du jamais-vu dans l’Histoire romaine.
Bien entendu, et tous les chefs d’entreprise le savent, il ne faut pas compter sur les banques.
Une crise n’appelle pas seulement une communication de crise, mais d’abord de sortir de la com’ et de délivrer des messages clairs, cohérents. Et courageux.
Toute crise majeure est l’occasion (ou le prétexte), pour notre État jacobin, de resserrer son emprise sur nos vies, et il est douteux qu’il rate celle-ci.
Il faut, comme un seul homme, se féliciter de cette réduction de notre liberté puisqu’elle a du sens et que l’observer scrupuleusement nous permettra d’éviter que l’univers hospitalier et de ville soit trop vite surchargé.
Dira-t-on que Macron a voulu éviter la « dictature » en ne reportant pas les élections municipales au prix de laisser passer le coronavirus mais que nous aurons la « dictature » et le coronavirus ?
La technique d’enfumage consiste à convaincre les abeilles citoyennes que le feu se propage dans l’habitat pour les alarmer et les inciter à se concentrer sur leurs affaires domestiques…
Les conditions dans lesquelles il a décidé de maintenir les élections municipales ne laissent pas d’intriguer aussi.
Déjà, en 2014, on avait battu des records historiques d’abstention, qui s’éleva à près de 39 % au second tour.
Que nous le voulions ou pas, nous sommes entrés dans une période épidémique lourde.
Selon Xavier Raufer, l’une des conséquences de la crise du coronavirus sera la baisse de la délinquance, car avec moins de gens dans les rues
Peu de certitudes pour notre avenir, sauf celle-ci : quand nous aurons enfin tordu le coup à ce virus sanitaire, il en restera encore bien d’autres à combattre, idéologiques et délétères…
Et c’est de la sorte que semble se conclure la parenthèse libérale initiée, de l’autre côté de la Manche et de l’Atlantique, par Margaret Thatcher et poursuivie par Ronald Reagan…
Plus prosaïquement, la politique du gouvernement fédéral américain pourrait se résumer d’une phrase : quand les événements nous dépassent, feignons d’en être les organisateurs.
Le sens des frontières plutôt que le courant d’air…
Tout est fermé, conformément au couvre feu…
Madame Lagarde, patronne de la BCE, a revêtu les habits de pompier, à défaut d’infirmière, pour tenter de calmer les marchés qui s’emballent sur une dangereuse pente.
Réaction de Nicolas Dupont-Aignan à l’allocution d’Emmanuel Macron sur la gestion de la crise du coronavirus. Vous avez écouté Emmanuel Macron. Qu’avez-vous pensé de la
Au micro de Boulevard Voltaire, réaction de Guillaume Bernard à la suite de l’allocution d’Emmanuel Macron sur la crise sanitaire du coronavirus. Vous avez écouté
Emmanuel Macron vient de s’exprimer lors d’une allocution télévisée sur le coronavirus. Plusieurs mesures ont été annoncées : maintien des élections municipales, fermetures des établissements
Cette pimprenelle exporte ses talents à l’international, puisque se mêlant de la manière qu’ont les autorités italiennes de gérer l’actuelle épidémie.
La totalité du territoire italien a été mise en quarantaine pour lutter contre l’expansion de l’épidémie de coronavirus. Témoignage d’Arthur Herlin, qui vit et travaille
La décision prise par Trump de stopper, pendant un mois, tout vol en provenance de l’Europe se décode ainsi…
Dans ce contexte éprouvant, il faut soutenir les équipes médicales mais aussi des troupes, le moral.
Nos prisons sont pleines, surchargées, prêtes à exploser. Leur population n’a plus rien à voir avec celle du XIXe siècle, ni même avec celle des années 70.
Faute de mesures et faute de la moindre anticipation, c’est donc la panique qui s’installe sur tout le territoire.
Le monde est incapable de vivre dans l’incertitude. L’inconnu nous terrifie. L’homme moderne ne supporte pas l’agresseur anonyme et imprévisible, ce qu’autrefois on aurait appelé le destin, mais contre lequel on ne se serait pas résigné.