Coronavirus
Ce n’est pas parce qu’un masque ne protège pas du virus à 100 % qu’il est inutile d’en porter, de même que ce n’est pas parce que les contrôles aux frontières ne préviennent pas toujours entièrement la diffusion d’une épidémie qu’il faut y renoncer par principe.
Dans la frénésie actuelle, nos évêques français font du zèle : sans que personne ne leur demande rien, ils ferment leurs églises…
Heureusement, une bonne nouvelle. Les fabricants de masques et de gels désinfectants voyaient la vie en coronarose…
Le coronavirus pourrait être l’étincelle, le cygne noir de la prochaine crise économique. C’est moins la gravité sanitaire de l’épidémie qui inquiète que ses conséquences pour l’économie.
Dieu merci – on ne croit pas si bien dire -, il n’est pas encore recommandé aux prêtres de dire la messe avec un masque de protection.
« Ce n’est pas très dangereux, mais il faut prendre des mesures de protection très strictes », même s’il s’agit de mesures d’hygiène élémentaire. Le tout accompagné de conseils d’une terrifiante infantilisation…
Environ 300 passagers, en provenance de toutes les villes d’Asie. À l’arrivée à Roissy, aucun contrôle médical, ni blouse blanche, ni thermomètre. Une simple affichette…
Tel est l’engrenage de l’angoisse : le drame ultime de notre modernité.
L’Homo festivus, grand consommateur, grand voyageur et grand festoyeur, est prié de prendre garde à ce qu’il touche, à qui il rencontre, à veiller avec précaution à l’utilité et la destination de ses déplacements.
Que se passerait-il, en effet, s’il fallait confiner la population au sein d’un foyer émergent de Covid-19 sur un périmètre comprenant une zone de non-droit ?
Entre la classe politique, la presse et la Lombardie, le climat se tend.
Alors qu’on vient d’apprendre la mort du premier Français – l’enseignant d’un collège de l’Oise de 60 ans – atteint par le coronavirus, Boulevard Voltaire
L’impact de l’épidémie sur la « croissance » va être important.
le gouvernement Conte a cru bon de refuser catégoriquement les propositions de mises en quarantaine des voyageurs venant d’Asie. Pourquoi donc ? Parce que ces propositions étaient formulées, à cor et à cri, par Matteo Salvini.
Après l’Italie, des cas suspects de coronavirus ont été signalés dans les Alpes-Maritimes. Analyse de la situation de Jean-Yves Le Gallou au micro de Boulevard
Cette épidémie met le doigt où ça fait mal.
Véran a beau se montrer rassurant, la frontière avec l’Italie n’arrêtera pas plus le virus qu’elle n’avait arrêté le nuage de Tchernobyl en son temps.
Les pangolins sont consommés en Chine depuis des siècles sans qu’on n’ait jamais observé la moindre affection ou épidémie reliée à cette espèce qui traîne depuis toujours sur les marchés.
Le nombre de cas relevés pourrait continuer à doubler tous les 6 jours et atteindre un pic en avril…
Si le virus se répand, nous paierons tous très cher la désinvolture d’un régime qui sacrifie tout sur l’autel de l’expansion.
La peur, en l’occurrence, n’engendre pas la prudence : elle nourrit la bêtise.
On peut espérer que l’ampleur de cette épidémie fera réfléchir nos responsables politiques sur le système économique mondialisé, qui se développe pour son propre intérêt sans tenir compte des effets secondaires…
Fini la grève contre la réforme des retraites, qui de toute façon est finie depuis qu’elle a commencé, on ne parlait plus que de ça, impossible d’y échapper !
La Chine est devenue une bombe sanitaire et environnementale prête à exploser et à s’exporter dans le monde entier, dans l’indifférence quasi générale.
N’oubliez jamais que c’est la vie que vous êtes revenus chercher ici et que ce sont vos frères français, avec leurs impôts, qui vous l’ont accordée de bonne grâce…
Il existe plusieurs incontournables à connaître pour stimuler nos défenses naturelles.
Ce n’est pas parce qu’un masque ne protège pas du virus à 100 % qu’il est inutile d’en porter, de même que ce n’est pas parce que les contrôles aux frontières ne préviennent pas toujours entièrement la diffusion d’une épidémie qu’il faut y renoncer par principe.
Dans la frénésie actuelle, nos évêques français font du zèle : sans que personne ne leur demande rien, ils ferment leurs églises…
Heureusement, une bonne nouvelle. Les fabricants de masques et de gels désinfectants voyaient la vie en coronarose…
Le coronavirus pourrait être l’étincelle, le cygne noir de la prochaine crise économique. C’est moins la gravité sanitaire de l’épidémie qui inquiète que ses conséquences pour l’économie.
Dieu merci – on ne croit pas si bien dire -, il n’est pas encore recommandé aux prêtres de dire la messe avec un masque de protection.
« Ce n’est pas très dangereux, mais il faut prendre des mesures de protection très strictes », même s’il s’agit de mesures d’hygiène élémentaire. Le tout accompagné de conseils d’une terrifiante infantilisation…
Environ 300 passagers, en provenance de toutes les villes d’Asie. À l’arrivée à Roissy, aucun contrôle médical, ni blouse blanche, ni thermomètre. Une simple affichette…
Tel est l’engrenage de l’angoisse : le drame ultime de notre modernité.
L’Homo festivus, grand consommateur, grand voyageur et grand festoyeur, est prié de prendre garde à ce qu’il touche, à qui il rencontre, à veiller avec précaution à l’utilité et la destination de ses déplacements.
Que se passerait-il, en effet, s’il fallait confiner la population au sein d’un foyer émergent de Covid-19 sur un périmètre comprenant une zone de non-droit ?
Entre la classe politique, la presse et la Lombardie, le climat se tend.
Alors qu’on vient d’apprendre la mort du premier Français – l’enseignant d’un collège de l’Oise de 60 ans – atteint par le coronavirus, Boulevard Voltaire
L’impact de l’épidémie sur la « croissance » va être important.
le gouvernement Conte a cru bon de refuser catégoriquement les propositions de mises en quarantaine des voyageurs venant d’Asie. Pourquoi donc ? Parce que ces propositions étaient formulées, à cor et à cri, par Matteo Salvini.
Après l’Italie, des cas suspects de coronavirus ont été signalés dans les Alpes-Maritimes. Analyse de la situation de Jean-Yves Le Gallou au micro de Boulevard
Cette épidémie met le doigt où ça fait mal.
Véran a beau se montrer rassurant, la frontière avec l’Italie n’arrêtera pas plus le virus qu’elle n’avait arrêté le nuage de Tchernobyl en son temps.
Les pangolins sont consommés en Chine depuis des siècles sans qu’on n’ait jamais observé la moindre affection ou épidémie reliée à cette espèce qui traîne depuis toujours sur les marchés.
Le nombre de cas relevés pourrait continuer à doubler tous les 6 jours et atteindre un pic en avril…
Si le virus se répand, nous paierons tous très cher la désinvolture d’un régime qui sacrifie tout sur l’autel de l’expansion.
La peur, en l’occurrence, n’engendre pas la prudence : elle nourrit la bêtise.
On peut espérer que l’ampleur de cette épidémie fera réfléchir nos responsables politiques sur le système économique mondialisé, qui se développe pour son propre intérêt sans tenir compte des effets secondaires…
Fini la grève contre la réforme des retraites, qui de toute façon est finie depuis qu’elle a commencé, on ne parlait plus que de ça, impossible d’y échapper !
La Chine est devenue une bombe sanitaire et environnementale prête à exploser et à s’exporter dans le monde entier, dans l’indifférence quasi générale.
N’oubliez jamais que c’est la vie que vous êtes revenus chercher ici et que ce sont vos frères français, avec leurs impôts, qui vous l’ont accordée de bonne grâce…
Il existe plusieurs incontournables à connaître pour stimuler nos défenses naturelles.
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