Emmanuel Macron
Deux nouvelles questions se posent : Macron sera-t-il à nouveau candidat en 2022 ? Et s’il se représente, sera-t-il présent au second tour ?
Thermostat de la pièce sur moins douze. Le macronisme entre dans son ère glaciaire.
Plutôt que de pérenniser des cours qui entretiennent les liens avec les pays d’origine, un dirigeant responsable, qui voudrait assimiler des populations issues de l’immigration, ne ferait-il pas mieux de mettre des moyens pour leur apprendre la langue française ?
S’attaquer au vrai problème, ce serait renforcer la laïcité en lui instaurant une réalité constitutionnelle de neutralité totale dans l’espace public, collectif et politique. Qui en est capable ?
En somme, c’est à la fois abandon et négation du modèle républicain. Et c’est peut-être de là que vient le problème. L’assimilation républicaine n’est plus.
Oui, Brune Poirson a raison, la démocratie dans notre pays s’efface au profit d’un totalitarisme soft. Mais pas pour les raisons qu’elle invoque.
Alors, le communautarisme aurait-il déjà gagné avec cet abandon sémantique ?
Emmanuel Macron s’est à nouveau présenté comme le visionnaire et le promoteur d’une Europe forte et indépendante…
L’explosion en vol de la candidature de Benjamin Griveaux à la mairie de Paris a conduit la Macronie à jouer aux chaises musicales.
Décidément cette campagne des municipales est passionnante.
C’est pas « un peu beaucoup » vieux monde, tout ça ?
Succédané de politique, le macronisme est le succès d’un technocrate pris à son propre jeu.
Ce que le Président a annoncé à l’issue du quatrième conseil de défense écologique ne satisfait personne.
Emmanuel Macron voulait en finir avec les partis ? C’est chose faite. Le sien avec les autres.
L’humilité ne franchira jamais le seuil de l’Élysée.
Dans un grand discours à l’École de guerre (française, encore), Emmanuel Macron a averti son auditoire que « les intérêts vitaux de la France ont désormais une dimension européenne ».
Peut-on imaginer, alors, qu’un telle loi puisse être instituée contre vents et marées ?
Est-ce à conclure enfin hâtivement que le parapluie nucléaire tricolore couvre désormais la totalité des pays de l’Union européenne ?
Seuls 25 à 26 % des Français font confiance au président de la République.
Rarement un pouvoir, dans notre pays, n’aura été autant pétri d’idéologie.
À sa manière, Emmanuel Macron est une sorte de Donald Trump à la française, qui parle d’abord et ne réfléchit qu’après.
Devant l’impopularité calcifiée d’Emmanuel Macron, l’hebdomadaire a eu l’idée de prendre sa lanterne et de rechercher, avec Ipsos, « qui ferait mieux que lui »…
À Angoulême, il n’a respecté ni les policiers, ni les victimes de LBD, ni – ce qui est encore plus grave – la fonction présidentielle.
Deux nouvelles questions se posent : Macron sera-t-il à nouveau candidat en 2022 ? Et s’il se représente, sera-t-il présent au second tour ?
Thermostat de la pièce sur moins douze. Le macronisme entre dans son ère glaciaire.
Plutôt que de pérenniser des cours qui entretiennent les liens avec les pays d’origine, un dirigeant responsable, qui voudrait assimiler des populations issues de l’immigration, ne ferait-il pas mieux de mettre des moyens pour leur apprendre la langue française ?
S’attaquer au vrai problème, ce serait renforcer la laïcité en lui instaurant une réalité constitutionnelle de neutralité totale dans l’espace public, collectif et politique. Qui en est capable ?
En somme, c’est à la fois abandon et négation du modèle républicain. Et c’est peut-être de là que vient le problème. L’assimilation républicaine n’est plus.
Oui, Brune Poirson a raison, la démocratie dans notre pays s’efface au profit d’un totalitarisme soft. Mais pas pour les raisons qu’elle invoque.
Alors, le communautarisme aurait-il déjà gagné avec cet abandon sémantique ?
Emmanuel Macron s’est à nouveau présenté comme le visionnaire et le promoteur d’une Europe forte et indépendante…
L’explosion en vol de la candidature de Benjamin Griveaux à la mairie de Paris a conduit la Macronie à jouer aux chaises musicales.
Décidément cette campagne des municipales est passionnante.
C’est pas « un peu beaucoup » vieux monde, tout ça ?
Succédané de politique, le macronisme est le succès d’un technocrate pris à son propre jeu.
Ce que le Président a annoncé à l’issue du quatrième conseil de défense écologique ne satisfait personne.
Emmanuel Macron voulait en finir avec les partis ? C’est chose faite. Le sien avec les autres.
L’humilité ne franchira jamais le seuil de l’Élysée.
Dans un grand discours à l’École de guerre (française, encore), Emmanuel Macron a averti son auditoire que « les intérêts vitaux de la France ont désormais une dimension européenne ».
Peut-on imaginer, alors, qu’un telle loi puisse être instituée contre vents et marées ?
Est-ce à conclure enfin hâtivement que le parapluie nucléaire tricolore couvre désormais la totalité des pays de l’Union européenne ?
Seuls 25 à 26 % des Français font confiance au président de la République.
Rarement un pouvoir, dans notre pays, n’aura été autant pétri d’idéologie.
À sa manière, Emmanuel Macron est une sorte de Donald Trump à la française, qui parle d’abord et ne réfléchit qu’après.
Devant l’impopularité calcifiée d’Emmanuel Macron, l’hebdomadaire a eu l’idée de prendre sa lanterne et de rechercher, avec Ipsos, « qui ferait mieux que lui »…
À Angoulême, il n’a respecté ni les policiers, ni les victimes de LBD, ni – ce qui est encore plus grave – la fonction présidentielle.