Emmanuel Macron
Il n’y a pas de crise de régime, il y a seulement une crise politique provoquée par un apprenti-sorcier.
Le Président irait donc à la rencontre des vraies gens. L’information demande à être confirmée, bien sûr.
Sa joie est telle qu’un mouvement élastique incontrôlable le fait aller et venir de bas en haut.
On reste pantois devant tant de circonvolutions destinées à ne pas respecter la volonté du peuple.
Plus de gouvernement ? Les députés peuvent proposer et voter des lois.
Ce qui se prépare à moyen terme, pour 2027, c’est un second tour Le Pen/Mélenchon. On ne peut pas appeler ça autrement.
Le Président en a profité pour vanter la France multi-ethnique et rappeler notre dette envers nos anciennes colonies.
Emmanuel Macron ignore ou feint d’ignorer qu’il n’est plus maître des horloges, ni des pendules, ni des montres…
Macron recevra les chefs de parti et les présidents des groupes parlementaires le vendredi 23 août.
La Constitution de la Ve République n’interdit pas au chef de l’État de tirer les conséquences de son impopularité.
Si l’on compare les deux côtés de la Manche, force est de constater que la démocratie ne s’y exerce pas identiquement.
« Seules les forces républicaines représentent une majorité absolue », écrit Emmanuel Macron.
Des internautes peu au fait des festivités du Touquet ont cru reconnaître Laurent Baffie.
La guerre civile : l’arme politique ultime de démoralisation massive des Français ?
En cohabitation « dure », Macron peut devenir une sorte de roi d’Angleterre, l’uniforme et les décorations en moins.
Ou de l’art d’alerter sur des périls qu’il aura lui-même provoqués, si ce n’est appelés de ses vœux.
Dans un contexte plein de tensions, la décision d’Emmanuel Macron, loin de pacifier le pays, ne fait que les accroître.
Navrant : après 7 ans de pouvoir, le chef de l’État en est encore au stade de la relativisation de l’insécurité.
La Constitution offre au Président trois options : le changement de gouvernement, la dissolution et… la démission.
Depuis sept ans, le président de la République habitue les Français à les dénigrer depuis l’étranger.
« Vous ne vous arrêtez jamais, Monsieur Pignon », disait Bernard Brochant (Thierry Lhermitte) à François Pignon (Jacques Villeret), le « con » de son dîner dans
Entre la dénonciation de l’illibéralisme et la montée de l’extrême droite, Emmanuel Macron patauge..
Devant la débâcle annoncée, le Président a décidé de faire aux Français le don de sa personne
Ne faisant confiance ni à Hayer ni à Attal, Macron montera-t-il en première ligne pour les européennes ?
Nous sommes à 77 jours de l’ouverture de ces Jeux olympiques et à moins de 30 jours… des élections européennes.
La déclaration du chef de l’État est étonnante : il s’était plutôt employé jusqu’à présent à déconstruire la famille.
L’aurait-on oublié? Les pères ne sont pas tous d’épouvantables salauds qui se foutent de leurs gosses.
Il n’y a pas de crise de régime, il y a seulement une crise politique provoquée par un apprenti-sorcier.
Le Président irait donc à la rencontre des vraies gens. L’information demande à être confirmée, bien sûr.
Sa joie est telle qu’un mouvement élastique incontrôlable le fait aller et venir de bas en haut.
On reste pantois devant tant de circonvolutions destinées à ne pas respecter la volonté du peuple.
Plus de gouvernement ? Les députés peuvent proposer et voter des lois.
Ce qui se prépare à moyen terme, pour 2027, c’est un second tour Le Pen/Mélenchon. On ne peut pas appeler ça autrement.
Le Président en a profité pour vanter la France multi-ethnique et rappeler notre dette envers nos anciennes colonies.
Emmanuel Macron ignore ou feint d’ignorer qu’il n’est plus maître des horloges, ni des pendules, ni des montres…
Macron recevra les chefs de parti et les présidents des groupes parlementaires le vendredi 23 août.
La Constitution de la Ve République n’interdit pas au chef de l’État de tirer les conséquences de son impopularité.
Si l’on compare les deux côtés de la Manche, force est de constater que la démocratie ne s’y exerce pas identiquement.
« Seules les forces républicaines représentent une majorité absolue », écrit Emmanuel Macron.
Des internautes peu au fait des festivités du Touquet ont cru reconnaître Laurent Baffie.
La guerre civile : l’arme politique ultime de démoralisation massive des Français ?
En cohabitation « dure », Macron peut devenir une sorte de roi d’Angleterre, l’uniforme et les décorations en moins.
Ou de l’art d’alerter sur des périls qu’il aura lui-même provoqués, si ce n’est appelés de ses vœux.
Dans un contexte plein de tensions, la décision d’Emmanuel Macron, loin de pacifier le pays, ne fait que les accroître.
Navrant : après 7 ans de pouvoir, le chef de l’État en est encore au stade de la relativisation de l’insécurité.
La Constitution offre au Président trois options : le changement de gouvernement, la dissolution et… la démission.
Depuis sept ans, le président de la République habitue les Français à les dénigrer depuis l’étranger.
« Vous ne vous arrêtez jamais, Monsieur Pignon », disait Bernard Brochant (Thierry Lhermitte) à François Pignon (Jacques Villeret), le « con » de son dîner dans
Entre la dénonciation de l’illibéralisme et la montée de l’extrême droite, Emmanuel Macron patauge..
Devant la débâcle annoncée, le Président a décidé de faire aux Français le don de sa personne
Ne faisant confiance ni à Hayer ni à Attal, Macron montera-t-il en première ligne pour les européennes ?
Nous sommes à 77 jours de l’ouverture de ces Jeux olympiques et à moins de 30 jours… des élections européennes.
La déclaration du chef de l’État est étonnante : il s’était plutôt employé jusqu’à présent à déconstruire la famille.
L’aurait-on oublié? Les pères ne sont pas tous d’épouvantables salauds qui se foutent de leurs gosses.