En un mot comme en cent, cela s’appelle gouverner en s’appuyant sur une trouille médiatiquement organisée. Trouille du Covid, trouille de ces « extrêmes » qu’incarneraient Éric Zemmour et Marine Le Pen, trouille d’une guerre lointaine, trouille de l’inconnu.
Chacun des candidats, le sortant comme les possibles entrants, s’est retrouvé à parler seul dans son coin. Tandis que certains entrants n’ont pu se joindre à cette fête de l’esprit, ne manquant bien sûr pas de le faire savoir.
Un aveu d’impuissance qui en dit long sur les errements des instances européennes en matière diplomatique.
Josep Borrell ne fait que confirmer ce que certains affirment depuis le début de ce conflit fratricide : la culpabilité de Vladimir Poutine ne saurait excuser les responsabilités des institutions européennes et de leur maître américain.
Nous en sommes là. Au lieu de résoudre les problèmes, l’État en est réduit à gérer la crise, les plans quinquennaux de jadis laissant la place à la politique de l’urgence au doigt mouillé.
Un patriotisme gastronomique qui oblige les forces de l’ordre à protéger deux autres restaurants parisiens aux noms pouvant prêter à confusion.
Les deux partenaires de la France, Allemagne et Espagne, rechignent encore et toujours à donner le feu vert au dernier volet de cette entreprise : la création d’un avion de combat hors normes.
Est-ce l’influence russe ? Mais cette première visite à Poissy a tout de la virée en villages Potemkine.
De mauvais esprits commencent à s’inquiéter d’autres relations singulièrement plus troubles, entretenues par certain baron de la Macronie avec une puissance tout aussi étrangère et guère plus « libérale » que la Russie : la Chine.
Finalement, rien que de très logique : quand la société se délite, l’univers carcéral est souvent aux avant-postes, nous ramenant à une réalité cruelle, bien loin du « vivre ensemble » et de la « bienveillance ».
Si l’on était plus chrétien, on allumerait des cierges pour Valérie Pécresse partie, pleins phares et pied au plancher, droit dans le mur. Seulement voilà, il y a un temps pour tout : la prière et le rire ; voire même la réflexion.
La politique erratique des USA aura réussi ce miracle : réconcilier les frères ennemis russes et chinois.
Tel qu’il se doit, cette déclaration fait son petit effet, la candidate « inutile » s’étranglant devant les micros de Radio J.
Certes, il en faut du bagout pour aller décrocher ces fichues 500 signatures. Et certains s’y emploient parfois avec plus d’énergie que d’autres.
Par idéal, Jean Clémentin transmet des informations, anodines au début, puis de plus en plus confidentielles, à son agent traitant, Miroslav Merta, diplomate tchécoslovaque en poste à Paris.
Avec un sens de l’humour qu’on ne lui connaissait pas, le quotidien 20 Minutes affirme : « Les choses ne se présentent pas bien pour Christiane Taubira. » Honnêtement, on ne voit pas pourquoi.
Valérie Pécresse a jugé malin de reprendre à son compte ce slogan, évoquant en même temps « Grand Remplacement » et « grand déclassement », allant jusqu’à parler de « Français de papiers »…
Mais à deux mois de l’élection présidentielle, penser à la France d’abord ne serait-il pas plus opportun ?
Il n’empêche que la disparition du professeur Luc Montagnier, ce 8 février 2022, aurait dû, en bonne logique, susciter un peu plus d’émoi médiatique.
La défense de la nature est un sujet par trop sérieux pour être abandonné aux seuls écologistes.
Il fut un temps pas si lointain où la Maison de la radio était autrement plus ouverte d’esprit
Il est intéressant de voir un Emmanuel Macron, il y a cinq ans candidat d’une France redéfinie en « start-up nation », venir au secours du « monde ancien », quand la raison froide des États primait sur l’émotion médiatique.
Finalement, mieux vaut peut-être avoir une « tête de chameau » qu’un « profil de vautour »…
Jordan Bardella parle à la fois au nom des Français de souche et de branche, tandis qu’Ali Rabeh ne représente que ceux qui, finalement, n’ont rien à faire d’un pays leur ayant pourtant tout donné.
Le principal atout de Pécresse est la candidature de Zemmour, qui a été une « divine surprise » pour les LR…
Ne serait-il pas autrement plus sensé et efficace d’arrêter, de juger et d’éventuellement encabaner quiconque se risquerait à dégrader le bien d’autrui, au lieu de dissoudre telle ou telle organisation ?
Quoique le tout fasse un peu pousse-mégot, car pour mieux terroriser les terroristes, manquent encore clichés d’ours en peluche et dessins d’enfants.
Jean-Luc Mélenchon, Yannick Jadot et Anne Hidalgo nient toute « légitimité » au radio-crochet en question.
En un mot comme en cent, cela s’appelle gouverner en s’appuyant sur une trouille médiatiquement organisée. Trouille du Covid, trouille de ces « extrêmes » qu’incarneraient Éric Zemmour et Marine Le Pen, trouille d’une guerre lointaine, trouille de l’inconnu.
Chacun des candidats, le sortant comme les possibles entrants, s’est retrouvé à parler seul dans son coin. Tandis que certains entrants n’ont pu se joindre à cette fête de l’esprit, ne manquant bien sûr pas de le faire savoir.
Un aveu d’impuissance qui en dit long sur les errements des instances européennes en matière diplomatique.
Josep Borrell ne fait que confirmer ce que certains affirment depuis le début de ce conflit fratricide : la culpabilité de Vladimir Poutine ne saurait excuser les responsabilités des institutions européennes et de leur maître américain.
Nous en sommes là. Au lieu de résoudre les problèmes, l’État en est réduit à gérer la crise, les plans quinquennaux de jadis laissant la place à la politique de l’urgence au doigt mouillé.
Un patriotisme gastronomique qui oblige les forces de l’ordre à protéger deux autres restaurants parisiens aux noms pouvant prêter à confusion.
Les deux partenaires de la France, Allemagne et Espagne, rechignent encore et toujours à donner le feu vert au dernier volet de cette entreprise : la création d’un avion de combat hors normes.
Est-ce l’influence russe ? Mais cette première visite à Poissy a tout de la virée en villages Potemkine.
De mauvais esprits commencent à s’inquiéter d’autres relations singulièrement plus troubles, entretenues par certain baron de la Macronie avec une puissance tout aussi étrangère et guère plus « libérale » que la Russie : la Chine.
Finalement, rien que de très logique : quand la société se délite, l’univers carcéral est souvent aux avant-postes, nous ramenant à une réalité cruelle, bien loin du « vivre ensemble » et de la « bienveillance ».
Si l’on était plus chrétien, on allumerait des cierges pour Valérie Pécresse partie, pleins phares et pied au plancher, droit dans le mur. Seulement voilà, il y a un temps pour tout : la prière et le rire ; voire même la réflexion.
La politique erratique des USA aura réussi ce miracle : réconcilier les frères ennemis russes et chinois.
Tel qu’il se doit, cette déclaration fait son petit effet, la candidate « inutile » s’étranglant devant les micros de Radio J.
Certes, il en faut du bagout pour aller décrocher ces fichues 500 signatures. Et certains s’y emploient parfois avec plus d’énergie que d’autres.
Par idéal, Jean Clémentin transmet des informations, anodines au début, puis de plus en plus confidentielles, à son agent traitant, Miroslav Merta, diplomate tchécoslovaque en poste à Paris.
Avec un sens de l’humour qu’on ne lui connaissait pas, le quotidien 20 Minutes affirme : « Les choses ne se présentent pas bien pour Christiane Taubira. » Honnêtement, on ne voit pas pourquoi.
Valérie Pécresse a jugé malin de reprendre à son compte ce slogan, évoquant en même temps « Grand Remplacement » et « grand déclassement », allant jusqu’à parler de « Français de papiers »…
Mais à deux mois de l’élection présidentielle, penser à la France d’abord ne serait-il pas plus opportun ?
Il n’empêche que la disparition du professeur Luc Montagnier, ce 8 février 2022, aurait dû, en bonne logique, susciter un peu plus d’émoi médiatique.
La défense de la nature est un sujet par trop sérieux pour être abandonné aux seuls écologistes.
Il fut un temps pas si lointain où la Maison de la radio était autrement plus ouverte d’esprit
Il est intéressant de voir un Emmanuel Macron, il y a cinq ans candidat d’une France redéfinie en « start-up nation », venir au secours du « monde ancien », quand la raison froide des États primait sur l’émotion médiatique.
Finalement, mieux vaut peut-être avoir une « tête de chameau » qu’un « profil de vautour »…
Jordan Bardella parle à la fois au nom des Français de souche et de branche, tandis qu’Ali Rabeh ne représente que ceux qui, finalement, n’ont rien à faire d’un pays leur ayant pourtant tout donné.
Le principal atout de Pécresse est la candidature de Zemmour, qui a été une « divine surprise » pour les LR…
Ne serait-il pas autrement plus sensé et efficace d’arrêter, de juger et d’éventuellement encabaner quiconque se risquerait à dégrader le bien d’autrui, au lieu de dissoudre telle ou telle organisation ?
Quoique le tout fasse un peu pousse-mégot, car pour mieux terroriser les terroristes, manquent encore clichés d’ours en peluche et dessins d’enfants.
Jean-Luc Mélenchon, Yannick Jadot et Anne Hidalgo nient toute « légitimité » au radio-crochet en question.